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2019 : la chronique annoncée des parades militaires à Dakar ? Par Ahmadou Diop.

L’unique option  contre la démocratie :  ou  la rigueur de la terreur ?

Le récidiviste pantin nègre de service, brigand,  s’est décidé à garder le  pouvoir, arrachera–t-il   cette fois ci, sa  propre victoire, comme  sa règle édictée pour sortir l’armée  et le sous fallacieux  prétexte de trouble à l’ordre public ?

Sans  le dire ouvertement, le régime fantoche,  inquisitoire, fasciste jusqu’à l’os,  semble   choisir la voie obscure, opterait-il, comme toujours,   par  la  répression brutale  et rempoter par la petite porte les scrutins présidentiels de 2019.

Compte tenu de ce que nous avons subi jusqu’ici, comme déboires, l’esprit rationnel  peut-il accepter que l’on puisse renouveler  le mandat  plus que calamiteux d’un irresponsable ?

 L’indignité du tonitruant, qui est au sommet de l’état sénégalais,  est devenue par la force des choses   une norme, partagée. Mais voulez-vous, lorsque la majorité des sénégalais  s’complaisent aisément, votent les yeux fermés  pour un fraudeur incorrigible.

À peine, qu’il  a fixé  la date des présidentielles en 2019,   Macky Sall commande des Ejder Yalcin et des Ejder Toma,  le revoilà encore avec ses sabots, annonce  la couleur,  et  tient mordicus à bâillonner les scrutins présidentiels ! Plus personne ne l’ignore. Un Cassius belli  indiscutable contre tout le peuple.

Le  planificateur  écrit le scénario, et nous  donne un avant-goût par la  bande annonce : achat des Ejder Toma,  dont le chiffre reste un secret, en sus  de la commande  d’armes à la France, estimée  officiellement  à  30 millions d’euros

 En vérité, ce n’est pas beau à entendre, mais  qu’on le veuille ou non,  le vote majoritaire, irrationnel, crée les conditions obligatoires, élisent leurs propres  bourreaux, qu’il catapulte au sommet de l’état, qui  le tuent, l’enterrent  violemment le plus  remarquablement du monde, sans autre forme de procès.

Rafraîchissons les mémoires et la  Grave révélation de Macky Sall: « des armes de types « Taser » ont débarquées au port de Dakar » en mars 2102.

 En mars 2012, Macky Sall, le candidat  de la France, en  meeting de clôture au Stade Alassane Djigo de Pikine, déclarait : «  le régime a commandé et débarqué au port de Dakar des «Taser» et d’autres types d’armes pour réprimer le peuple après le hold-up électoral, y ajoutait que le régime  était  prêt à tout pour faire du « fokharci (hold-up),  mais le coup de force ne passera pas   »

L’accusateur ou l’arroseur  arrosé des  Fake news contre l’ancien  régime auquel il a cheminé  pendant  8 ans, lui a permis de s’enrichir gloutonnement,  s’est  lamentablement  métamorphosé   en  Cheval de Troie de la haine viscérale, reste  plus que jamais  le même  menteur professionnel-profanateur sans vergogne,   commande du matériel de répression.

Macky félicite Aly Ngouille Ndiaye, l’homme des propos scandaleux, déclare qu’il  a l’intention  de travailler  pour que  le président Macky Sall  gagne au premier tour.

 Décidément, le délinquant de la république familiale, n’a plus aucune limite, s’autorise par son mépris congénital contre  tout le peuple sénégalais, qu’il insulte en permanence, depuis le  triste regrettable soir historique du 25 mars 2012. Plus on le laisse faire,  l’homme des paroles dédites, empêtré dans ses contradictions et ses mensonges politiques les plus saugrenus, continue et s’en fout de tout,  piétine allégrement les fondements d’un état  vassalisé, y met  nécessairement  des couches épaisses par son banditisme et son verbatim de piètre qualité, qui lui collent  à la peau.

Sommes-nous alors ses sujets taillables, corvéables à merci, ou  des couards, des maudits par notre consentement réactionnaire  quasi généralisé, pour lui laisser  le terrain, et qu’il paisse  ses âneries purulentes, qui se perlent à longueur de journée, dont il détient l’exclusivité ?

Si nous étions dans une démocratie parlante et dans  un pays civilisé avec des acteurs politiques à  la hauteur  et à l’endroit,  nous devrions appliquer systématiquement à la lettre, spontanément,  le principe  de l’appel à l’action matérielle, c’est à dire  la réponse du berger à la bergère, face au  désolant,  n’aurait pas eu le temps  de passer une seule minute au palais.  Malheureusement, nous avons affaire à des politicards, discoureurs, incantatoires,  qui parlent plus qu’ils n’en font en réalité.

 Avant qu’il ne soit trop tard,  il faut le virer  sans attendre les élections de 2019, qu’il volerait.

A quoi bon  de  réélire un braqueur électoral  Gouvernement de capharnaüm, paresseux , qui    est composé   d’une  pléthore  de  chiffonniers,  clientélistes,  vindicatifs , égoïstes et  inutiles  vivent aux crochets   de la république,  passent leur sale temps  à  égrener  les éloges imaginaires d’un félon  autocrate, opportuniste,  versatile   hautain et suffisant ?

Les stratégies Secrètes  d’un  Grand Guignol, Délinquant froid, hargneux,  agit  sans scrupules, ni vertu,  ni humilité, ni empathie au sommet de l’état  sénégalais, vassalisé.

Alors  que bizarrement, contre toute morale,  une telle  dynastie  familiale  de la dernière minute, qui est sortie des ténèbres, devient  si gloutonnée  massivement, est piteusement, copieusement  engraissée dans les deniers de l’état,  n’a jamais existé  dans les annales  de  toute l’histoire du  Sénégal ;   comme par hasard,  au moment où le valet nègre de service  de la France, digne de son rang,  arrive au pouvoir,  grâce à l’esclandre blasphématoire  en grand renfort de publicité mensongère, cataclysmique, par la baguette magique de la propagande abracadabrantesque  des médias, présumés faiseurs de roi et d’opinion.

Karim wade défie Daker et Doha, titre la sarabande mercenaire de ramassis se déchaîne, perd son sang froid.  La déchéance est à son comble dans notre  pays.

  Et  le mercenaire,  amnésique, arriviste,  le directeur-alimentaire   du quotidien de caniveau,  fait parler de lui encore,  s’arroge  piteusement  la remorque des pantalonnades  suintantes massives  à couper  le souffle, s’accommode en spectacle, titre […] indignement  Karim, de quel Peuple prétendrais-tu être le candidat ? (Par Madiambal Diagne).

De qui se moque encore   le  ripoux- pion  invétéré, pouilleux,  le  teigneux,   le  valet  le  plus sûr  de la ribambelle médiocre, alignée, plaide pour la cause et les faits   d’un contrefacteur.  Le plumitif est-il vraiment digne ?

L’irréfléchi, corrompu, l’acteur politique,l’écervelé, ou l’homme des légèretés haineuses,  abracadabrantesques, décousues, peut-il nous dire à la place publique  sa valeur ajoutée en matière  d’objectivité et sur la confronté des idées ?  Que valent donc ses simagrées ?

La même presse propagandiste de référence,  populiste, qui  tire à boulets rouges  sur les uns et les autres,  légalise et labellise ses méthodes fascistes, en échange des rétributions financières, volées dans les caisses de l’état agenouillé, vassalisé jusqu’à l’abîme.

  Gouverner, ce  n’est pas synonyme d’un chèque en blanc.  Mais  l’imposteur ne l’entend pas de cette oreille,  qui nomme sa justice  instrumentalisée,  la  manipule à sa propre guise,  contrôle tous les corps de contrôle, soi-disant  institutionnels, sème la terreur, emprisonne à tour de bras  tous adversaires,  n’a  pas confiance en lui. C’est le cas du facho  qui imprime sa marque de fabrique. Un tel  individu n’est pas digne.

 Alors, que feraient  donc l’armée nationale, la police et la gendarmerie jusque là,  qui apparaissent jouer leur rôle supplétif, semblent être toutes équidistantes  en retrait et au nom d’une neutralité  bizarroïde ?

Alors,  le secrétaire général de l’APR, qui est présumé le président de la république, est un chef de clan par définition.   Si les élections présidentielles se dérouleront dans  les conditions optimales, la transparence  et  la démocratie,  le parti cliniquement  clanique,  fatigant,  n’aura aucune chance de se  qualifier au deuxième tour arithmétiquement, politiquement au regard des rapports de force en face.

 Face à l’étrange comédie électorale  à l’horizon 2019, qui se jouera inéluctablement  dans la cour des voleurs  milliardaires en bande organisée  et  dans laquelle  le pire  Casseur du Siècle, qui  utilise  par devers  et  sans discernement tous les moyens  de l’état,   risquerait de  remporter  la mise par sa lâcheté à coup sûr.

A moins que le peuple, debout,  comme un seul homme,  s’unisse  et se soulève massivement, pour en découdre avec le traitre place  pour en finir avec lui.

Comme toujours, le nullard de la république des voyous et des proxènes ethnique,  oriente le débat, imprime sa marque totalitaire  et se focalise sur ce qu’on lui dicte, s’exécute le sale boulot,  la caste  empestée médiatique, de carpette,  médiocre presse des pantalonnades décidée,  décriée  et  opportuniste, envoyée aux charbons, démontre son véritable hideux qu’on lui connaît.  Karim wade n’est-il  pas donc  un citoyen  sénégalais ?

 La même  mécanique ordurière qui  marche  au pas du politiquement incapable, fait du bruit, tendant à masquer la culpabilité du pion – qui joue sur le piano américano français pour leur donner du travail.  Qui construit la langue de barbarie et à  quel prix ?

 C’est ça l’émergence coloniale de piètre qualité !  Et l’affaire Abdoulaye Sylla, administrateur provisoire de Aviation Handling Services (Ahs  himself, nommé par la CREI et sur ndiguel  direct  d’en haut,  est un ami intime de Marième Faye et l’homme à tout faire du couple présidentiel, selon une certaine bien informée Et pour cause.

Abdoulaye Sylla , très humidifié Taxrip-  un proche de Marième Faye,  qui a détourné plus de 800 millions  de  F CFA devant la barbe et au nez d de ladite  Crei, ou la face cachée d’un  gouvernement capitulard  de capharnaüm, n’est qu’un prête- nom du paresseux fiston, Amadou Sall, le multimilliardaire  fils  du cambrioleur né,  passe comme une lettre à la poste, juge et partie ?

 Celui  qui contrôle  tous  les médias par sa petitesse d’esprit, contrôle tout le pays.   Ce n’est plus acceptable, qu’on le veuille ou non.

On est bien dans   l’absolution  des intuitions pour les phagocyter.  ne nous laissons pas divertir par  cette bande de  farandoles, qui se complaisent, se dégonflent piteusement, ,dangereusement,  n’ont aucune vertu ,  ni  aucune parcelle de  déontologie professionnelle.

 Nous  ne leurrons pas ! Ceux qui parlent le plus du haut de leur ignorance, sont les plus mouillés.  On ne le répétera jamais sans assez, la dépendance  politique, financière, constitue une menace réelle à la démocratie.  je le répète. Tout pouvoir abusif, pour être charismatique, musèle et contrôle la presse, est par définition, totalitaire. Et la cohorte  des suppôts  corporatistes, fachos tentent de blanchir les forfaitures   gigantesques du berger colonial,  qui n’a aucune parole,   ne dispose guère d’un iota de  moralité, peu ou prou,  car d’un côté, on  rejette  l’ancien super ministre du Ciel et de la Terre,  tandis que disque de l’autre côté,  on légalise par devers, en fermant nos yeux  sur les mêmes pratiques, douteuses d’une république familiale, qui est pire que tout.   Il faut que nous soyons tous  justes et responsables.

Et la presse corrompue,  antipatriotique,  matelassée, dressée en coupe réglée,  brille elle même par son silence  cynique,  est coupable,  a  choisi son camp- un secret de polichinelle- vit aux dépens de la mendicité, compte tenu de son immoralité affligeante. 

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