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Aliou Sall -Cheikh Kanté: Le Gala Des Sorciers de l’Impunité. [Par Ahmadou Diop]

Aliou  Sall -Cheikh Kanté: Le Gala Des  Sorciers de l’Impunité. [Par  Ahmadou Diop]

L’étrange   Gala  Cataclysmique  Contre Modèle, ou le  Label  du  Foutage de l’Impunité continue  de plus belle  dans le ciel sénégalais totalement obscurci.

En Afrique des larbins, tous unifiés,  la notoriété et la promotion sociale se conçoivent, se mesurent  à l’aune  du pouvoir ethnique, familial, clanique. C’est la règle érigée comme système moribond et  au nom de  l’immoralité.

Le monstre  atypique,  en témoigne,  et qui  ressemble  comme une goutte d’eau  à son frère,  surnommé  le  SallGate continue de nous  narguer,  sans scrupules, ni respect,   franchit de plus en plus le Rubicon,  devient  si bavard  et s’autorise tout   bassement toutes les  libertés,  monopolise pour son compte   la presse de servitude, qui lui donne une tribune de caniveau.

Selon la conscience abimée, étriquée  d’Aliou Sall,  le repoussoir  lâche, le mouton blanc  de la démesure,  est aussi pire et aussi dégonflé que son aîné,  se prête à  son jeu  d’opportuniste, agitateur,  vulgaire, qu’il prouve éloquemment et quotidiennement.

L’arrogant , hautain déloyal,  se transforme en archétype, acariâtre  de son rang, dérape, brille  lamentablement   par ses ratonnades, ses  platitudes et ses invectives monstrueuses,  démentielles , bien connues,  abuse dangereusement  de la posture  de son propre frère, écrabouille, brocarde sans retenue,  ni humilité,  à tout  vent, sans répit,  tire à boulets rouges  contre  tous ceux qui manifestent leur différence contre le pouvoir totalitaire auquel il est partie prenante,  comme si la démocratie familiale ethnique prime sur tout.

En définitive, l’homme, qui s’accommode, s’y complaît  bassement  ne vise qu’à allumer  en permanence  partout un contre-feu, et à  dessein de faire  oublier  son enrichissement totalement illicite.

Le sénégalais  aime bien  que l’on félicite, gratifie,  son frère,  sa sœur, sa famille, quand ces derniers ne sont  coupables de rien,  mais à contrario,   lorsqu’ un membre   de sa famille commet  l’irréparable   des détournements massifs  de deniers publics sur les affaires de la cité.

Autrement dit, lorsque  le sénégalais s’éloigne des raisons pour lesquelles  il a été désigné,  le  frère, la sœur, le cousin, la cousine, font bloc par nature et par solidarité familiale, se braquent,  hystériquement,  balayent d’un revers demain,  ce dont un des leurs a été accusé,  se replient sur eux-mêmes,  se rebiffent,  s’en  offusquent et n’aiment  guère  qu’on les critique  tout haut  et à la place publique.  Les critiques rationnelles  sont  considérées comme des attaques personnelles ou des atteintes contre  le coupable. C’est ça la  particularité, propre  singulière   du sénégalais désertique,  qui  est juge et partie.

L’éternel spectacle ubuesque permanent à huis clos   est en marche reprend ses droits, pendant  que  de l’autre côté, les uns et les autres qui sont mauvaise posture, présumés coupables de  détournement  de la caisse d’avance,  trinquent, trépassent, dans les geôles du nouveau Guatanamo- rebeuss, pour la gloire du Mussolini- noir en chair et en os,  dont la culpabilité avérée , devrait être le voisin  immédiat  des encellulés, qui ne se comptent plus dans notre pays, qui est d’ores  et déjà  la terre d’accueil  et  le  recyclage des anciens détenus innocentés  de Guantanamo.

 Je le rappelle. Hitler, le Reich, qui fut    élu démocratiquement,  avait  crée  lui-même ses chambres  à gaz, mais Macky Sall, qui est dénommé « le  Mussolini noir »,  a  aussi ses chambres politiques  qu’il remplit  avec ses adversaires  politiques, immédiats,  peu à peu chaque jour que dieu fait, pour n’importe quel motif bidon  farfelu et sous le soubassement de piètre qualité .

Les  preuves matérielles  sur le terrain du crime en témoignent éloquemment.   Après les révélations bien documentées  du journaliste d’investigation,  Baba Aïdara  sur  le  dossier explosif   ou  l’affaire  Sallgate Pétrotim  qui implique  et éclabousse directement  Macky Sall et son frère,  Aliou Sall, le pitre,   un tel  scandale  si  grave d’un  état mafieux  familial,  ethnique, ségrégationniste intégralement intégriste  d’apartheid   n’aurait pu tenir une seule  minute de plus, si nous étions dans un état de droit qui tourne à plein . Mais chez nous, la servitude  symbolisée par la justice  alignée, est indiscutablement synonyme de  banditisme suffocant et de trahisons multiples.

Tous ceux  qui parlent, écrivent, dénoncent légitiment  les restrictions des libertés de conscience, qui constituent le premier droit de tout peuple libre, souverain et indépendant, peuvent être  séquestrés pour n’importe quel motif bidon de jour  comme de nuit.

On l’oublie souvent. Autres  faits nébuleux, d’autres qui se cachent,  se succèdent, sous le magistère  calamiteux  macky Sall. Tout dépend des juges et des procureurs, tous  assujettis ne travaillent que sur commande du chef de l’exécutif, qui est juge et partie, diligente, cornaque  tout par derrière sans bruit.et dans  le secret des dieux Il y’ a  tellement de scandales ubuesque que l’on ne saurait les  énumérer tous .

Dieu seul peut les compter. Nous en citons un seul qui relève d’un  banditisme financier international  de grande envergure  et d’une  gravité exceptionnelle, passe sous silence. Il s’agit de l’affaire Abdoulaye Sylla, un proche du couple  présidentiel macky Sall- Marième Faye.   En fait, c’est la face cachée de l’iceberg, émergée  d’un régime   gangstérisme chaotique,  dont le  misérabilisme dépasse largement ce que  l’on peut penser.

Abdoulaye  Sylla, est  l’homme des scandales  parmi tant d’autres à l’infini et à la pelle.  De quoi s’agit-il ? Alors  Aussi  curieux que cela puisse paraître,  Karim Wade et ses  principaux présumés complices [dont Mamadou Pouye et Ibrahim Aboukhalil dit Bibo],  ont payé un lourd tribut, pour s’être enrichis illicitement,  d’après la crei. Mais  Abdoulaye  Sylla,  administrateur provisoire  de Ahs,  semble bénéficier d’un philtre magique, passe sous les mailles du filet.  Une curiosité qui nous renseigne sur une justice qui agit  à deux vitesses sans vergogne   ni éthique, ni équité !

Abdoulaye  Sylla,  administrateur provisoire  de Ahs est un  proche de Marième faye et de Macky Sall a laissé une ardoise de 800  millions  de francs CFA.

Pourtant, l’homme qui administre  provisoirement  Ahs, circule aujourd’hui librement et  tranquillement,  sans être inquiété,  traîne des dettes à hauteur de 800 millions de francs Cfa,  selon le parquet spécial. Le même homme  est redevable d’une créance  au Crédit agricole qui avoisine le milliard de francs Cfa.

Décidément, la politique du Coumba am ndey ak Coumba amoul ndey ,   qui a la tête dure, continue et se prolonge sur les mêmes. Circulez, il n’y a rien à voir, pendant que les brebis galeuses se frottent les mains, pourvu que cela dure éternellement !  Ceux qui veulent  voir, sont largement édifiés sur la nature d’un régime  de prédateur  jusqu’à la lie. Rien absolument ne changera, d’un iota, dans le sens des progrès,  tant que nous  nous évertuons  à reporter ce qui est possible maintenant , pour en finir avec la bande  des médiocres  nihilistes,  qui tient mordicus   à nous mépriser et qui nous considère comme des moins que rien,  et malheureusement, qu’importe le cirque électoral,  législatif des mêmes parodies irrécusables  de juillet  2017, n’y feront rien. Car au contraire,  comme tout félon de son espèce,  le personnage curieux, changeant, tel un caméléon,  se taillera  sa propre convenance, une majorité parlementaire  présidentialiste , totalitaire par l’entregent de son Doungourou- fidèle captif –Minstron de pacotille, en l’occurrence,  le teigneux, sournois, Abdoulaye Daouda Diallo, s’accommodera au ndiguël, venu d’en haut du palais.

Et la Communauté dite internationale,  cataclysmique, suprématiste blanche, présumée faiseur d’opinion contre l’ensemble  sénégalais réunis, entrera une fois de plus dans la danse, s’ingérera  directement dans les affaires sénégalo-sénégalaises,  légalisera à tout prix,  l’escroquerie politique  en pis.

 La mauvaise cuisine se sent par son odeur, n’est-ce pas ? Et pour cause.

Qu’en est-il donc  du guichet automatique,  sorti de nulle part, représenté par la personne de  Cheikh kanté,  bénéficie autant   de largesses incommensurables  que le pâteux  prétendu maire de  Gudédiawaye,  est  devenu miraculeusement si riche, ne se prive pas de distribuer  l’argent du contribuable sénégalais,  criblé d’impôts et de taxes de toutes  sortes  ?

Et Aliou sall, le moelleux, le multimilliardaire étrange,  propriétaire de la société Sahel  aviation , domicilié aux Etats-Unis,  et dispose, entre autres,  d’entreprises  écran  à la pelle,  plus connu  sous  le prête-nom  du référent de la françafrique, comme si rien n’était.

 Que nenni, après  les sorties  salutaires et les parades magistrales de y’en a marre , qui énoncent  la mal gouvernance de la politique des deux poids et deux mesures, la  marque de fabrique  symbolisée par  la  tyrannie  et le rituel  des folies dépensières  infinies,  continuent par le duo Cheikh  Kanté–Aliou sall, le plouque.

Cheikh  Kanté,  Docteur – Musicien , Cantateur, Guitariste,  chef d’orchestre,  s’adjuge la qualité  de directeur du port de Dakar, sous la complicité du faussaire,  persiste dans   son sillage de plus belle  et dans le ciel obscurci sénégalais,  qui s’est transmué immanquablement en   cartel  défroqué, détestable  en  des béni oui.  Depuis le 25  mars 2017 sévit  le  pacte   de la  dégénérescence  et  de  la   corruption massive à haut débit,  versus l’Autopsie ou la  profession de foi d’un professionnel, profanateur menteur dans l’âme.

Apparemment  la ribambelle  de  l’ethnocentrisme défie  tout le peuple en vers et contre tous,  reprend que jamais du serve.  Une telle cavalcade  en continu est source de négationnisme,  d’affront, jouit de l’actuel  pouvoir, dans lequel la démocratie familiale et son clan immédiat  demeurent des goinfrés indécrottables, se nourrissent vertement  des deniers de l’état, sans que les  mêmes juges  et les procureurs –mercenaires, qui roulent  pour le compte du même bord apocalyptique, s’en auto saisissent.

L’étrange presdigitateur,  Guisanékate-  Al Kadoukalpé , présumé  le  directeur du port- Cheikh KANTE sèchement  fulmine  à qui veut le croire : « L’argent que je distribue n’est pas celui du Port, mais le mien ».  Le  personnage atypique   porte-il un talisman ?

Le  chanteur redevenu  pdg  du port de Dakar  est-il donc l’argentier  du Foutage du  régime ethnique, qui l’arrose  par derrière ?   L’homme  rempile, passe  quotidiennement à la vitesse supérieure, ne  s’inquiète outre mesure,  et en met  encore toujours des couches épaisses  sous la barbe et au nez des juges et des procureurs politicards- mercenaires,  qui ferment sciemment  leurs yeux, sont synonymes  de  couardise et de  trahisons  corpulentes.

 

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