Crimes D’Etat \ Assassinat de l’Etudiant Fallou Sène\ Deux procureurs factices au secours du tyran ? Par Ahmadou Diop.
En lieu et place d’un état véritable régalien, c’est la République de l’anarchie et du banditisme et des coquilles vides : Ibrahima Ndoye et Serigne Bassirou Guèye :deux procureurs-alimentaires, factices, réquisitionnés à la fois sont tous alignés, agissent parallèlement dans une même affaire de crimes, dans laquelle chacun veut ravir la vedette et pour le compte de qui ? Nous perdons notre Cocc Barma. Entre les deux, on ne sait plus qui est qui et qui fait quoi ?
Ce qui en dit long sur une exception sénégalaise sous le règne le plus calamiteux du tonitruant caniche de l’occident. La vérité ne risque jamais de triompher pour situer les responsables des tueries massives mystiques. Pour faire durer le faux suspense, qui n’a pas sa raison d’être, durera des mois, des années. Un duel permanent, surréaliste, dans lequel chacun y va avec son verbatim singulier de piètre qualité, mais il n’y aura jamais de coupables désignés, rien que des victimes, comme c’est le cas toujours au Sénégal.
Nous avons les preuves matérielles. Macky et la mort de Fallou Sène : «Je situerai moi-même les responsabilités».
Paiement des bourses : Macky active l’Ige- dirige tout, imprime sa marque totalitaire, diligente tout, par derrière – décidément, kaluk dof du teer- le berger colonial passe aux aveux. Il n’y a donc pas de séparation des pouvoirs ?
Il est le seul juge et l’unique procureur réel de la république des caïds et des voyous. Rompez les rangs. Circulez, il n’y a rien à voir !
Inutile de faire durer le faux suspense ! L’exécutant est bien niché au sein des forces de la tyrannie waffen SS. Point n’est besoin de chercher loin de midi à quatorze heures. Le principal commanditaire direct, est un secret de polichinelle et son exécutant, a l’aval du chef d’en haut, a tué, a bien agi sur commande, a prémédité l’assassinat lâche de l’étudiant Fallou Sène. Chez les despotes nègres de nègres de service, la démocratie se conçoit dans les violences interposées par des forces répressives étatiques, et les assassinats et les arrestations arbitraires, constituent une pédagogie imparable, pour tuer dans l’œuf toute capacité de résistance.
Alors que tous les mercenaires –alimentaires, qui sont encartés à la république des Criminels, tous bénéficient des largesses extensibles et de gros émoluments indus, payés à coups de prélèvements d’impôts et des taxes de toutes sortes par le contribuable sénégalais gorgorlu à qui l’on promet l’enfer, le sang et les larmes, tandis que les étudiants, qui réclament le paiement immédiat de leurs bourses face aux irrégularités récurrentes de leurs dus, dont ils restent les victimes éternelles, sont massacrés sans état d’âme et au nom de la soi-disant légitime défense mensongère.
Après les dérapages et les légèretés fumantes du Ministron des forces de la répression, Augustin Tine, l’autre scandaleux ministron, Ali Ngouille ndiaye, l’enrobé, le pantouflard- traitre, prend le relais, lequel déclarait, il y a quelques semaines à la place publique, qu’il travaille pour que Macky Sall gagne au premier tour.
Son « bienfaiteur »- s’est transformé en porte-malheur, menteur professionnel, profanateur dans l’âme.
Le nouveau « doungourou » de l’intérieur, qui ne vaut pas plus que son devancier- Abdoulaye Daouda Diallo, occupe d’autre postes- mais le décomplexé, attitré, dénommé l’ attardé mental-déclaré arriviste, comme tout fasciste, de son espèce, et du haut de son rang, pour justifier les crimes abjects de l’ Etat –APR Hitlérien – qui font florès. « Le Goebbels sénégalais » de la propagande des méthodes décriées, s’arroge la qualité peu reluisante de pantin, est imbu de sa personne, monte encore au créneau, met les bouchées doubles, en accouchant à l’accoutumée ses propres mensonges grossiers, cousus de fil, qu’il pimente avec un culot, frisant la démence, dont il a l’unique secret, selon lesquels 18 gendarmes ont été blessés par la violence des étudiants déchaînés, ont perdu leur sang froid.
Les effroyables arguties emphatiques ne peuvent servir de prétexte aux forces de la Stasi, qui sont arrimées au Machiavel, pour commettre et justifier la boucherie permanente, comme système doctrinaire tyrannique, ethnique« à la Nédo ko bandoum ».
Voilà les messages et les simagrées d’un inculte, criminel né. Et dieu sait qu’il n’est pas le seul dans ce bazar pourri des guignols ligués les uns et aux autres.
En vérité, tout Etat criminel, terroriste, est fasciste, par définition, légitime de facto sa défense et sa violence, par les vacarmes des mensonges sismiques, les met mis en avant, se victimise, en attribuant par la renverse, et fait sciemment porter lâchement le chapeau à ses victimes, à qui il souille volontairement la mémoire, de manière que ces dernières passent comme des coupables à la place des fachos. C’est connu.
Décidément dans la république des acrobates clowns, unifiés, le ridicule ne tue plus, puisque chaque vers de terre qui veut manger encore goulûment , s’exprime de façon incongrue, en rajoute nécessairement des couches épaisses, supplémentaires, veut faire entendre sa musique, veut se faire voir, pour attirer l’attention et plaire au chef clanique, qui est lui-même le vrai coupable, désigné, pour ses crimes mystiques.
Décidément, la république des incivilités et des fascistes, négationnistes, criminels, veut laver à grande eau et balayer d’un revers de main ses crimes organisés à répétitions, tient à se tirer d’affaire, comme toujours, réquisitionne à tout vent, tous les médias d’état et privés, accuse toute l’opposition. Voila ce à quoi excelle la rhétorique de caniveau, qui sévit de plus belle, depuis le 25 mars 2012. C’est la règle des voleurs et des fripouilles indignes en jointure.