Les procès politiques, ubuesques de la débauche, à géométrie variable, contre les récalcitrants, indomptables, selon les tètes des clients au mauvais endroit, qui lorgnent le fauteuil du monarque- président , ne sont pas les seules victimes, mais ceux qui sont affidés à eux, subissent également une sanction, d’où la double peine, digne d’un état familial totalitaire , usurier jusqu’à la lie.
CONO DU YEM CI BOPU BOROM- comme le dit l’adage bien connu, le malheur ne vient jamais seul. Il y a le visible et l’invisible.
Puisque la machine répressive voit beaucoup loin qu’elle le laisse croire. Et pour cause. Soyez donc patients ! Nous allons décrypter de fond en comble dans les lignes qui suivent, la face cachée de la double peine, d’autant plus que le funeste plan ourdi par le tonitruant machiavel sénégalais, juge et partie, est immature politiquement par son incapacité manifeste.
Alors, pour arriver à ses fins, le versatile, blindé, encombrant, qui est mentalement bien préparé pour faire le sale boulot, de ce qu’il sait faire de plus répugnant; ne s’encombre outre mesure, d’aucune moralité palpable , tant soi peu, ne lésine jamais sur les moyens d’état, dont il use et abuse dangereusement, et peu importe que les méthodes soient abjectes et au regard de la morale.
L’imposteur-troubadour, ethniciste , déclaré, soumis, digne de son rang, agit, sans état d’âme, ni scrupules, ni vertu, ni éthique, ni équité contre tous ses adversaires politiques, lui faisant de l’ombre. Ses légèretés, lâches, n’échappent plus à personne, à l’exception de sa bande d’ouailles, se frottent les mains, se sont gloutonnées par les mêmes raccourcis politiques, en échange des services rendus de piètre qualité.
Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, malgré sa condamnation par la CREI, le bras armé du totalitarisme, et pour des raisons bassement politiques, rien absolument rien n’empêchait Karim Wade, l’ex-super ministre d’état du Ciel et de la Terre, de concourir à la présidentielle de 2019.
Karim Wade, depuis le Qatar, s’est pourtant inscrit sur les listes électorales le 16 avril 2018.
Tout est prétexte d’éloigner des adversaires gênants. Khalifa Sall, malgré son procès en appel, risque de subir la même fatwa mortifère que Karim Wade :L’État –APR? capitulard, réclame outrancièrement la somme de 2,8 milliards à Khalifa Sall et Cie. Voilà donc une surenchère incongrue, digne d’un cynisme profanateur de la part d’un affabulateur mythomane, qui le prouve matériellement sur le terrain du crime !
Alors que l’affaire Prodac est la plus grave, portant sur les 30 milliards FCFA, qui éclabousse Mame Mbaye Niang et Macky Sall, son chef supérieur, passe au silence, comme les autres scandales incommensurables .
Le juge Samba Sall et son assistant, soi-disant procureur, Serigne Bassirou Guèye, font profil bas.
Au-delà même du caractère blasphématoire, qui élimine d’office et par l’arbitraire, jusqu’à preuve du contraire, Karim Wade à la course de présidentielle de 2019, par la seule volonté unilatérale du chef de l’exécutif, qui est par définition, le premier coupable désigné, le casseur du siècle, l’ennemi public numéro Undu Sénégal, par ses ratonnades mensongères et ses casseroles exceptionnelles, les plus bruyantes, que ceux qu’il accuse d’enrichissement illicite.
Manifestement, il y a un déni de justice à la renverse , qui obéit à un habillage fasciste, voire une déclaration de guerre contre le pouvoir du peuple, qui en paye le prix, qu’il offense en permanence, qu’il désoriente pour des raisons bassement obscures.
En vérité, le traire, qui le prouve, tente savamment d’orienter mécaniquement le pouvoir du peuple, qui est privé de ses champions, n’aurait d’autre choix que de se déporter, la mort dans l’âme, dans le sens non voulu.
En même temps que certains acteurs politiques , qui en ont pour leur grade, la praxis autoritaire, punit simultanément, sévèrement les citoyens libres, pour les empêcher d’exercer pleinement leurs libertés civiques de conscience, et dont le but inavoué , est de nature à limiter leurs champs d’action , pour éviter qu’ils puissent voter en toute indépendance aux camps de leurs choix. C’est un sacrilège digne des méthodes fascistes.
À vaincre sans péril, on triomphante sans gloire. Voilà ce à quoi le couard veut jouer !
Tout se tient politique, n’est-ce pas ? Pour le lâche, son opposition est un jouet. Évidemment, lorsqu’il ne la respecte pas, qui est elle-même l’émanation du peuple, et dans ces conditions, il ne respecte pas non plus, ce dernier, qu’il nie dans son existence, et qu’il relègue au second plan.
Qui agit, parle, se découvre, et s’expose. C’est la règle. » ku wax feñ, ku jef feñ. lu ay di ndiambat «
Le poltron en chair et en os, veut aller en guerre, mais donc a peur de mourir dans le champ de bataille, choisit d’avance et ses propres adversaires, les trie méticuleusement au volet, en les combattant avec des armes non conventionnelles, espérant, ainsi, les renvoyer massivement et facilement dans la corde. Entre celui qui n’a qu’un » Meux Dom » face à son adversaire, qui dispose d’un canon à manuelle, lequel des deux aura donc le dernier mot ?
Rien n’y fait, car décidément, depuis 7 ans, au Sénégal, et sans répit, les étranges procès judiciaires, spectaculaires,
ubuesques, en cascades, qui pleuvent torrentiellement et à grand renfort de publicité mensongère dans le ciel obscurci du pays de la Téranga , d’une politique à double standard et à géométrie variable, prennent les entournures autoritaires et par presse alignée, ligotée, réquisitionnée, laquelle pour exister, est encartée au label d’un foutoir.
Affaire Khalifa Sall \karim wade : une déclaration de guerre de la part d’un bougre fasciste de naissance lâche, se dresse tout seul contre l’agrégat, et la volonté du peuple debout, fier de l’être, à qui il dénie toute émergence politique- qu’il ignore, insulte, qu’il tient à éroder par les preuves matérielles, bien établies ?
Face à la soldatesque tyrannique Waffen SS et ses valets, unifiés, et teigneux, tous des corrompus, nous, qui sommes debout et membres actifs de la Conscience patriotique pour le Changement au Sénégal -CPC- ״XAM SA REW – BËG SA REW – JARIÑ SA REW״, solennellement, nous déclarons nul et non avenu le verbatim en continu d’un cancre. Car les intérêts mesquins d’un voyou et son clan ne peuvent être supérieurs à ceux du peuple.
Pour toutes ces raisons, nous nous mettons en porte à porte faux avec la politique du caniche de l’occident, en l’occurrence, le larbin, chouchouté, en chair et en os, qui a décidé déloyalement par son banditisme repoussant, tient absolument à trancher et à huis clos par sa lâcheté, pour éliminer tous ses concurrents politiques, immédiats, les plus redoutables, tout en gardant dans sa besace, ses préférés, selon sa propre volonté et sa convenance personnelle.
Alors, contrairement à ce que l’on croit, ici ou là, les procès politiques cataclysmiques contre Karim Wade et le député-maire de Dakar , ne constituent pas seulement une sanction exclusive, mais un casus belli contre tout le peuple, qu’il tient à assujettir, qu’il méprise, piétine, étouffe, à dessein de l’avilir à jamais, quoiqu’il arrive.
Le but, c’est de tuer dans l’œuf toute capacité de résistance, qui fait face à lui, et qui consiste à utiliser par devers des mécanismes autoritaires, décriés, tendant à usurper, diviser, étioler autant que possible, tant qu’il sera nécessaire, le pouvoir de la masse populaire, par la ruse, et ce, sur fond de méthodes autoritaires, afin que celui-ci ne puisse pas remplir correctement son devoir civique, inaliénable, conformément à l’esprit du suffrage universel , et dans les règles de l’art , dans un état de droit, régalien, qui tourne à plein régime.
Bizarrement dans les 14 pays africains qui sont honteusement baptisés francophones, et en tète desquels des rats lâches, fantoches, fourbes, les candidats opposants, qui briguent le fauteuil du monarque, sont rigoureusement et soigneusement triés au volet.
Mais le comble du comble, est que les populations payent elles aussi un lourd tribut, n’ont gère le choix libre, pour voter librement en toute indépendance et en toute conscience sur des bases voulues, pour leurs candidats respectifs .
Le virtuose de classe exceptionnelle en place, par sa peur bleue envers ses concurrents immédiats, et du haut de son ignorance patente, criarde, corde sa justice corrompue, farandole, dite de carpe, sélectionne ceux qui doivent concourir ou non à la rituelle comédie présidentielle, permanente .