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La Face Cachée Des Etranges Prix Scandaleux, décernés au Prédateur en place ? Par Ahmadou Diop.

Malgré ses  éternels  reniements en continu, le pantin  de classe exceptionnelle, est  bombardé de prix, reste  le seul  en bénéficier  et de façon douteuse, quand bien  d’autres sénégalais  à diplômes supérieurs,  sont gratifiés, mais boycottés par le pouvoir lamentablement  totalitaire,  ethnique  intégralement négationniste, terroriste par définition et dans les faits matériellement prouvés.

 C’est par exemple  le cas  du  professeur,  chercheur sénégalais,  Celestino Furtado Rodrigues Pereira,  a été   dignement honoré et désigné lauréat 2015 par  l’Académie internationale de Cytologie, pour ses travaux de recherches sur la cytopathologie (Etude des pathologies cellulaires). 

 Ses  prix  complaisants, décousus des ivraies,  qui sont  attribués  au Caniche de l’Occident, collectionne, compile  des gratifications  ambigües, obéissent toutes  à des  légèretés,  alors que   le patriote sénégalais- le Pr  Celestino,  un des gros calibres,  a obtenu  le vrai prix, contraste  parfaitement  avec  celui de l’imposteur,  le faussaire,  ou l’homme des parodies cataclysmiques.

Rien n’y fait.  Rebelote, le renégat remet le couvercle,  pour se donner une virginité  imaginaire, commande sur place  ses prix par sa clientèle exogène  et endogène –  par Abdou Diouf- interposé-  le français, l’artificier, le combinard, francophile que wolofophile,  le chef de la sarabande  des pions alignés,  adulés,   le silencieux, agit dans les égouts politiques.

Car ce n’est pour  rien  que le mercenaire Ousmane Tanor Dieng,  qui  n’est pas assagi,   l’agitateur,  euphorique,  l’affabulateur,  l’écervelé, reste plus que jamais très prolixe,  prend  de plus  en plus des galons, alors  que sous d’autres  cieux, il  faisait profil bas.

 L’archétype, qui  ne dévie jamais de sa trajectoire  autoritaire, tisse sa toile d’araignée, utilise   tous les moyens de l’état, opte pour une escroquerie à grande échelle internationale, multidimensionnelle et  sur fond de  combines.

Au moment où le  corrompu, corrupteur s’achète  son prix, qui n’en est un, comme par magie, Abdou Diouf, se trouve à Dakar.  Un  hasard, une coïncidence ou un accident ?

Le maître des marchés de gré à gré, des  transvasements quasi forcés,  qui s’est renié sur toutes ses promesses électorales  pour lesquelles il  a été élu dans des conditions exceptionnelles,  monopolise toute la presse, place ses homme ; mêle ouvertement  et publiquement  toute sa famille  pithiatique dans la gestion de l’état, reçoit à longueur de journées des prix à l’abondance nauséabonde.  Comment est-ce possible ?

Soyons vigilants sur nos gardes pour éviter  des surprises  plus gigantesques  celles  des législatives  du 30 juillet 2017 ! Et pour cause.

Le  récidiviste,  caractériel, ou  l’éternel  planificateur du Casse du Siècle au Sénégal,  s’est métamorphosé peu à peu en  professionnel menteur, profanateur dans l’âme,  nous prépare encore  un grand coup  et dans l’éventualité d’orchestrer  un autre hold-up électoral  plus  gigantesque et plus dévastateur que celui  du référendum-Deum  en  mars 2016, qui  défraya la chronique à l’époque.

 Si nous  serons  vigilants  le moment, l’homme ne dérogera jamais, rempilera de nouveau, se taillera lui-même  son propre score fantasmagorique, digne de lui, comme tout  fasciste de sa trempe, amènera dans le secret des dieux, dans ses valises  des  observateurs douteux, présumés impartiaux,  cousus de fil blanc,  valideront  à coup sûr  les parodies présidentialistes,  électoralistes,  pour leur donner un caractère prétendument  transparent et démocratique.

En réalité, l’objectif   majeure ne vise  qu’à blanchir une fois de plus l’imposteur, déclaré, non éclairé,  à dessein de  se peindre à nouveau  sous le manteau  faux d’un   démocrate, qu’il n’est jamais, ne le sera jamais,  ne risquera pas de l’être.

L’usurpateur  nègre  de service achète-t-il   ses  compilations de prix  sur  des marchandises  dans le secret  des dieux et   à coup de mrds de FCFA,  puisés dans les deniers  de l’état sénégalais ?

Le  30 janvier 2015 à Dresde, en Allemagne, le Prix pour la Paix et le dialogue entre les Peuples, a   été attribué à  Macky sall .

 Est-il  raisonnable   que  le tyran  en place  collectionne   des compilations de  prix   pour  celui qui tue délibérément  la démocratie, emprisonne à tout vent,  interdit toute manifestation légale,   qui s’est enrichi  gloutonnement,  a  fait  de même pour  toute  sa famille biologique,  qu’il   nomme à des postes   de haut niveau dans les plus structures de l’état ,  réduit au silence toute son opposition à  sa plus simple expression ?

 Rappel : 01/04/2015- Macky Sall reçu et décoré par le Roi Salman d’Arabie Saoudite-lui décerne   la plus haute distinction de l’Arabie Saoudite, le Wistam, ou la  décoration Roi Abdel Aziz.

 Cerise sur le gâteau, en décembre 2016,  le président Macky Sall reçoit le prix Nelson Mandéla

L’ancien   premier ministre  de Senghor,  qui a  été élu président de la république  par décret présidentiel, le 01 janvier 1981,  reprend du service et du poil- qui  est juge et partie- par le truchement   d’une soi-disant  Fédération pour la paix universelle interposée, qui est  une structure,   sortie de  terre on ne sait où,  offre le prix de la mal gouvernance  clanique  au prédateur  de la  république.

Celui, qui  n’a jamais  rien obtenu  de  lui-même, ne compte jamais prendre  sa retraite, s’est octroyé lui-même un prestige international et au nom  de la francophonie.

Oui, la francophonie : est  le  logiciel   d’asservissement, du service public,  ou le prolongement du colonialisme soft, apparaît comme un  instrument  politique, de domination, linguistique, culturel,  économique, financier,  présumé universaliste.

La  gratification peu vertueuse  porte  incontestablement  des soubassements politique en arrière-plan,  pour croire pouvoir  réélire par la ruse et  par la baguette magique,  l’Envoyé Spécial Colonial en Afrique, Attitré et Accrédité  à Dakar  à l’horizon 2019.

Alors,  l’élève de Senghor,  tente vaille que vaille  de donner une bouée de sauvetage  à son disciple, encombrant,    s’adjuge  comme étant  le porte-parole  des nègres valets  et  le porte-voix  du Sénégal,  prend son bâton de pèlerin,  se croit plus   futé  que  l’ensemble  pays de la Téranga,  réuni, se substitue  à nous, nous méprise, nous nargue,  et nous ignore, comme si nous sommes  des moins que rien.

 Au fur et à mesure que nous nous approchons  des  échéances Présidentialistes de 2019, des voleurs en bande organisée,  l’autre  mercenaire, attitré,  pour la survie   des  leuco dermiques, travaille  en bandoulière de façon souterraine et dans le secret des dieux,  communique, se solidarise avec  son élève  qu’il adule, en échange des liasses  des valises  de billets de  banques  de F  FCFA. Car  comme on dit souvent,   ceux qui se ressemblent, s’assemblent tous.

Tous les deux  pédigrées se valent, sont en osmose totale,  se ressemblent comme deux gouttes d’eau par leur  promotion sociale, des postes de nomination tans sa bula nex-  voilà les raisons  décousues, emphatiques d’un prix  de la corruption massive, comme tant d’autres  à la pelle !

Nous  n’avons  d’autre choix que  d’amender le régime présidentiel totalitaire n’est qu’une écharde à la démocratie et à laquelle, d’ailleurs, il faut mettre un terme définitif.

Le prétendu  parangon de la rupture  reste plus que jamais  le secrétaire général de son propre parti politique cliniquement clanique réhabilité, « bénit » et adoube le pion de la francophonie, en lui  construisant un centre international,  qu’il bâtit avec l’argent du contribuable sénégalais, qui porte son effigie.  C’est d’abord  parti avant la patrie, ou la particratie tyrannique.

 Alors, silencieux,   qui était en hibernation  pendant  12 ans,  immaculé  le  français  du Sénégal, le soldat de la francophonie- «  le bon élève » de la France, le père  spirituel du Référent  Nègre de la Françafrique,  demeure plus que  jamais   les oreilles et les yeux  du changeant,  revient  au galop et avec  force,   atterrit encore au Sénégal,  organise  son prix  et  l’octroie  à la mascotte du  népotisme,  bénit  le faussaire né :  C’est  la réciprocité  cordiale par entente directe et par télépathie  des services rendus de piètre qualité.

 Le Centre international de Conférence Abdou Diouf de Diamniadio :  une entreprise unipersonnelle  familiale , parrainée par le mercenaire  suscité,  travaille en coulisse  et  sur commande d’en haut, fait  constamment  la promotion du despote changeant machiavélique.

La Fédération pour la paix universelle (FPU) est à Dakar, pour un sommet mondial les 17 et 18 Janvier au Centre international de Conférence Abdou Diouf de Diamniadio. Une première en Afrique, titre emphatiquement la sarabande  médiatico-politique, corrompue.

Elle a décerné ce jeudi au président de la République Macky Sall, le “Prix du leadership pour la bonne gouvernance”, avec une enveloppe de 50 millions de Francs CFA.

Quel crédit peut-on accorder à ce simulacre de   prix   à un réfractaire à la  démocratie  et aux libertés  fondamentales de conscience ?

 

Rappel. Décidément, l’homme  imbu de sa personne qu’il se fait de lui-même, nous  promettait tout  et n’importe quoi, en particulier,  s’était engagé de ramener son mandat présidentiel  de  7  à 5 ans, est-il donc  oublieux ?

 “Personne ne peut me forcer à faire un référendum”, fulminait  le changeant,  en décembre 2015, qu’ils attendent de voir ma réaction, ajouta-t-il. La suite qui  est bien  connue, nous reste dans nos gorges comme du plomb.

 Nous avons  déjà vécu et beaucoup vu. Un tel arrogant,  imprévisible,  impassible,  à la sotte d’humeur,  fait systématiquement  l’apologie de la monnaie nazie, coloniale du  Franc CFA- qu’’il estime «  bonne à garder »,  selon ses pulsions. névrotiques, pathologiques.

Un   tel pédigrée, faussaire, tueur des libertés fondamentales de conscience,  interdit tout et toute marche légale,  autorisée par la constitution,  sous le fallacieux prétexte de trouble à l’ordre public,  mérite-t-il  vraiment  des égards et  notre confiance,  et  qui  bénéficie des compilations de  prix grotesques  ?   On peut se demander qui vraiment  trouble l’ordre public, c’est n’est lui-même par sa lâcheté, utilise par devers  la force publique et les moyens de l’état, qu’il croit  être ses auxiliaires de service.

 Décidément, le ridicule ne  tue plus dans notre pays  étrange à la renverse.  Pourquoi  l’homme, qui s’auto déclare piteusement  à la face du monde,  le socle fondamentale   de  la démocratie  et  le cheval de Troie de la rupture,   garde-t-il  son mandat présidentiel  de 7 ans, alors qu’il avait promis de le réduire à 5 ans ?

Pourquoi la  non réduction de son mandat n’a  suscité autant de bruits,  n’a pas eu la même tonalité  que le  ticket présidentiel de Wade ?  Or, celui-ci a bien abandonné  le funeste  projet et  sous la pression de la rue.

 En vérité, le silence coupable des puissances  en dit long sur leur parti pris. Deux poids  deux mesures. Qui peut l’ignorer ?

La médiocratie  de la République familiale  des proxénètes  ethniques, ségrégationnistes d’apartheid,  des  pantalonnades exponentielles,  décriées  en faillite ,  est  en  totale déliquescence  et sur toute la ligne, utilise, confisque  la démocratie,  monopolise  par  devers  et par  l’arbitraire et la tyrannie, la sarabande  des  médias serviles  du service public  et privés,  constituent  la   ribambelle  Meute  de Chiens galeux  interposée,  tous des défroqués, détestables,  dévoués, restent  plus que jamais aux gémonies  et  pour la cause et  les faits accablants d’un terroriste en chair et en chair, épargne ses rats mais à contrario,  met  ouvertement au pinacle, chaque jour que dieu fait,   tous ses adversaires politiques, immédiats,  potentiels,  ou  déclarés, et à qui il nie toute existence légale, toute visibilité, tant soit  peu ou prou,  dans un état supposé de droit.

  L’APR,  le parti liberticide  est par définition,  ce Géant de circonstance  Virtuel aux Pieds d’argile. Que pèse-t-il réellement  dans l’échiquier politique singulier  sénégalais ?

En termes d’assise politique, de poids, de popularité,  de programmes  cohérents politiques,  de représentativité, de crédibilité, de transparence,  de bonne gouvernance, de droiture, de déontologie, à l’épreuve des faits,  le vrai Bazar des litanies abrasives, est objectivement  le parti politique cliniquement clanique  le plus minoritaire,  par sa  médiocrité décapante  en de matière de visibilité de tout l’échiquier politique  singulier sénégalais.  Pour ce parti, la démocratie se conçoit exclusivement par la corruption massive à  haut débit et par des transvasements  forcés des  chantages.

 Un tel parti politique honni par ses dénégations  absolues,  en continu,   en lambeau,  n’aura aucune chance de  gagner les élections présidentielles de 2019, si touffe fois elles auront lieu à date échue, et dans les règles de l’art,  si elles   se passeront  convenablement dans  la transparence et la démocratie  par des urnes parlantes, à moins qu’il les arrache, comme d’habitude.

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