La Junte Familiale Autocratique À la Blaise Compaoré : un Cassius Belli ! Par Ahmadou Diop.
La démocratie est par définition, le pouvoir du peuple par le peuple et pour le peuple.
Autrement dit, le pouvoir du peuple s’exerce par ses représentants légaux, qui sont choisis par le suffrage universel.
Mais en Afrique les nègres de service en ont une autre lecture. Car le suffrage universel est totalement biaisé, déformé, dévoyé de sa substance fondamentale, n’est autre qu’une coquille vide. C’est comme une maison sans fondement qui finira par s’effondrer tôt ou tard.
C’est bien le cas d’espèce du faussaire né, le traitre encombrant, qui nous gouverne unilatéralement par des charrettes des décrets présidentiels, nomme par devers et contre tous toute sa famille, et oublie les raisons pour lesquelles il a été élu par dépit et à défaut dans des conditions totalement exceptionnelles, inédites même. Le chemin le plus court est le plus rapide, n’est-ce pas ? Ne jamais reporter ce qui est possible.
À quoi bon donc d’organiser des comédies électorales, permanentes, ou dialoguer avec un éternel changeant, braqueur électoral, qui gagne à tous les coups et s’érige constamment en maître habituel des faux bonds ?
Nous devons lui opposer rigoureusement une réponse immédiate, proportionnelle à son impunité par le rapport de force. C’est la seule réponse possible qui vaille pour qu’il puisse entendre raison !
Depuis le regrettable soir historique du 25 mars 2012 l’Interconnexion syndicale, Ethnique et ses francs-tireurs Doungouous moribonds, corrompus grossissent étrangement, tandis que, hélas, malheureusement, la majorité des citoyens lassés et laissés pour compte sur le quai, trinquent, trépassent et s’amincissent davantage qu’ils ne l’ont été.
La caractéristique singulière d’une certaine classe politique reste amorphe, aphone, se tut sur les pouvoirs scandaleux exorbitants du président de la république, mais s’érige en maître spécialiste du plagiat hystérique historique, s’approprie allégrement, habilement les récurrentes thématiques analyses politiques des sentinelles sénégalaises, qui s’expriment depuis des années sur les ondes de notre radio ruepublique.com : la première radio panafricaine en Californie.
Le monde a été toujours une jungle dans laquelle les plus forts imposent, agissent leurs propres lois sans foi ni loi, en se donnant une bonne conscience et verse des larmes de crocodile, tandis que les plus faibles en prennent pour leur grade, subissent, trinquent et trépassent. Voilà la réalité d’un monde cruel, animal où l’hypocrisie et le sauve-qui 6peut priment sur tout !
Les discours jadis vibrants estropiés d’autan, trompe-l’œil sont ceux d’un escroc, ne valent rien. Il n’y à pas de rupture, ni d’éthique, ni d’équité de la moindre lueur. Mais nous avons à la tête de l’état sénégalais un affairiste un délinquant financier, maître des reniements scandaleux chroniques vont en pis. Point barre.
Croyant à une rupture dure comme fer, pour opérer à un changement radical dans le sens des progrès pérennes, nous avons délogé électoralement, bruyamment Me Abdoulaye wade, en mettant par notre étourderie manifeste, généralisée à la place un abominable imposteur-dictateur-manipulateur-perturbateur, mythomane, qui n’a pas de méthode de travail, se réduit en cleptomane, dangereux altéré, converti en lamentable berger colonial, ethniciste, monstrueux, déclaré chevronné, cliniquement clanique, dont nous payons massivement le prix fort.
Dans la tête du calculateur ethnique, négationniste, qui a jaugé la conscience des sénégalais éviteront à tout prix d’en piper un seul mot sur le sujet, constituerait de facto une poudrière.
C’est pourquoi le satanique joue cette musique qui nous divise. Voilà donc le piège dans lequel tombent nos concitoyens !
La molécule nocive détient et bat la palme exceptionnelle de braqueur électoral en permanence, apparaît nettement comme l’un des pires dictateurs des nègres de service les plus affreux que nous ayons connus à ce jour.
Le référent de la Françafrique, qui connaît parfaitement la passivité des sénégalais et en abuse, dont la gouvernance clientéliste, usurière consanguine, népotique par ses folies dépensières, outrancières personnelles avec le point d’orgue, symbolisée par la corruption massive comme label n’échappe plus à personne.
Il n’y a ni plus ni moins que d’un magistère calamiteux, moribond, entre perdant pour le peuple, laissé pour compte et gagnant pour un traitre devenu si riche , qui place son ses beaux frères et beau pères dans des postes les plus juteux et sa bande sa bande d’ouailles, si bien qu’ils sont tous riches et très puissants demeurent plus que jamais à l’abri de tout besoin; disposent de comptes bancaires ouverts qui sont à l’abri des regards indiscrets plus aussi bien fournis à l’intérieur du pays qu’à l’étranger.
Tous les coups ostentatoires et attentatoires fussent-ils abjects, sont permis chez le délinquant clan, clinquant, clivant ne s’inquiète pas outre mesure.
Aliou Sall, qui est scandaleusement parachuté à la direction générale de la caisse des dépôts et consignations.
L’inimitable prétentieux est devenu subitement si riche miraculeusement en un temps record, grâce à la bénédiction effective de son frère qui le couvre, le couve abondamment pour des raisons évidentes.
Le parachutage de son clone à la direction générale de la caisse des dépôts et Consignations. est un Cassius belli qui rime avec un affront qui nous offense.
Un Cassius belli qui dit en long sur une délinquance familiale, ne doit pas rester impuni, si nous voulons aller, de l’avant, à l’instar des pays civilisés.
Pour cela, nous devons donc méditer réfléchir sur ce proverbe africain, selon lequel aussi longtemps que les lions n’auront pas leur historien, les récits tourneront toujours à la gloire du chasseur.
C’est une thèse philosophique, plus qu’une métaphore, plus qu’un programme politique, englobe plusieurs thématiques pluridisciplinaires, multidimensionnelles de haute portée. Tout y est.
Cette maxime surpasse de loin toute la pensée présumée universaliste. Une telle assertion n’est qu’une goutte d’eau parmi des milliers que nous ignorons.
Nous devons absolument réécrire nous-mêmes notre propre histoire et nous l’approprier.
Abdoulaye Timbo, multimilliardaire, maire autoproclamé de Pikine, oncle présumé du promoteur du népotisme, qui a les mains plus que baladeuses, tout Mansour Faye, fulmine lui aussi des légèretés comme seule réponse : «Je n’ai pas choisi d’être un parent de Macky Sall». Pendant que les autres sont charcutés et traînés dans la boue, la justice soumise et le procureur au service du tyran s’accommodent piteusement à la politique du Coumba Am ndey ak Coumba Amoul ndey.
Où sont donc les organes de contrôle institutionnels, tels que l’inspection Générale d’État, la cour des comptes, inspection Générale des Finances, dont on dit qu’ils tous libres et indépendants du pouvoir exécutif ?
Pourquoi n’osent –ils pas fouiné sur la Gestion scandaleuse népotique familiale consanguine ? Vouloir obéir au doigt et à l’œil du tyran et surtout à son acolyte complice immédiat qui fait main basse sur les deniers de l’état est synonyme de trahisons
Comment un simple journaliste, dont la qualité professionnelle est fort douteuse, qui s’est propulsé conseiller de l’ambassade du Sénégal en chine, grâce à la proximité consanguine de son propre frère, comme par hasard au moment où son ainé devient de la république, celui-ci est actionnaire plusieurs entreprises, -banque de Dakar- notamment sur le secteur pétrolier- sahel Avion domicilié aux Etats-Unis, et l’homme ne s’arrête pas là, collectionne plusieurs casquettes dans l’administration sénégalaise, et j’en passe, jusqu’à s’adjuger par des combines maire de Guédiawaye et Directeur Général de la caisse des dépôts et Consignations en remplacement de Thierno Seydou Niane.
Pour toutes ces raisons que je viens d’évoquer, d’une part, j’interpelle les consciences en lambeaux de nos prétendues institutions agenouillées, et d’autre part, personnellement, je m’interroge rationnellement sur la réalité effective des organes de contrôle institutionnels, que je qualifie d’organes politiques instrumentalisés, sont tous sous contrôle d’en haut, vont de dysfonctionnements et en continu
Je m’interroge doublement sur une alchimie de la banque de Dakar en grande pompe relève incontestablement à mes yeux d’un blanchiment d’argent et d’un grand banditisme financier international de grande envergure et ses ramifications nébuleuses.
NB : L’ex DG, Thierno Seydou Niane, qui a également fait remarquer que le cumul des encaissements en termes de dépôts et consignations s’élevait à 89 milliards en fin 2011 contre 179 milliards en fin 2014.
Je m’interroge sur les raisons de la défenestration brutale de Thierno Niane. Je m’explique : il fallait d’abord absolument virer ledit dg de la caisse des dépôts et transférer simultanément et les 72 milliards de FCFA, qui sont logés dans le compte personnel de Macky Sall [BNP] à la suite du litige opposant l’état du Sénégal à la société Arcelor mittal et les deux cents milliards de FCFA que le dg de Komos Energy a attribués à Aliou Sall, qui contrôle la banque de Dakar et la caisse des dépôts et Consignations. Le chiffre réel s’élèverait au moins à la bagatelle de 551 milliards de FCFA. Voila un autre hold -up financier, en sus du braquage électoral, permanent !
Dès lors, on comprend les dessous de la création de cette nébuleuse banque et les transferts financiers, souterrains, diligentés par le démocrate familial, qui donne la primauté à son acolyte immédiat, fait main basse sur cette manne, qu’il contrôle simultanément avec son casseur principal du siècle, alors que celui-ci n’a aucune disposition qualificative pour occuper ce post juteux.
Si nous étions dans une véritable démocratie, qui tourne à plein régime avec des institutions fortes, libres, indépendantes, le lâche berger colonial et ses infinis scandales catastrophiques, torrentiels et toute sa famille de vermine, y compris ses affidés tous sont bien gloutonnés par les deniers de l’état, passeraient obligatoirement pour le reste de leur vie derrière les barreaux, sans que ces derniers puisent bénéficier d’une quelconque remise de peine.
Nous ne sommes pas dans une république normale, civilisée, mais dans la jungle familiale, révèle incontestablement sans discussion possible son caractère pourri de la tête aux pieds, malgré le tintamarre burlesque de piètre qualité.
Après des scandales aussi grossiers qui se perlent à la pelle, sans répit, se compilent et se tissent comme une toile d’araignée. Le régime négationniste pandémique des courbettes d’apartheid en place; se distingue indignement par son banditisme financier international est le plus repoussant de toute l’histoire politique du Sénégal.
Cet homme, qui est étrangement à la tête de l’état sénégalais, personnalisé jusqu’à l’abime nous gouverne par des décrets hystériques, surréalistes, réserve la meilleure part du lion à son nullard -cancre guignol inséparable, partage avec son bienfaiteur la mal gouvernance la plus lamentable ethnique que nous ayons connue à ce jour, atteignant même un paroxysme pitoyablement ostentatoire et attentatoire.