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Le Boucanier: ou l’Autocrate, Émascule toutes les Libertés fondamentales de Conscience. Par Ahmadou Diop.

Au Sénégal,  le pouvoir Colonial  en place contrôle internet  et bloque sciemment, lâchement nos articles et nos émissions  dans le silence absolu.  C’est la  pratique du régime fasciste, fantoche. Nous le savons.  Chers lecteurs, ne soyons pas donc surpris !  

Au lieu de baisser la garde, nous  devons en finir  avec  le Gardien  du temple des intérêts impérialistes, mal placés.

Pour ce faire et  quoiqu’il arrive, nous devons  terminer le bon boulot et le déboulonner à tout prix  par A ou  B. Notre vie et notre avenir y dépendant.

L’imposteur déclaré, honni,  le pion, le renégat, récidiviste,  versatile- taciturne,  qui  s’arrogeait, hier, le cheval contre la tyrannie,  devient  l’oppresseur  du Sénégal,  légalise par devers   l’abondance de son   absolutisme  par sa lâcheté et  à travers ses auxiliaires de service, qui se dressent tous  en coupe réglée, s’exécutent  promptement ,  mécaniquement , se dégonflent piteusement, en  s’octroyant  les basses œuvres auxquelles ils sont formés mentalement, en échange des rétributions financières, volées dans la poche du contribuable sénégalais, lessivé, siphonné de toutes parts.

Vouloir empêcher toute contradiction et toute manifestation légale, autorisée par la constitution, c’est aussi manquer de respect aux citoyens, qui  l’ont  élu  par défaut  et qui regrettent  leurs gestes.

« Article 28. – Tout candidat à la Présidence de la République doit être exclusivement de nationalité

Sénégalaise, jouir de ses droits civils et politiques, être âgé de trente cinq (35) ans au moins et de

Soixante quinze (75) ans au plus le jour du scrutin. II doit savoir écrire, lire et parler couramment la langue officielle ».

 « Article 58. – La Constitution garantit aux partis politiques qui s’opposent à la politique du

Gouvernement le droit de s’opposer.

 Le préfet, le bras armé de la tyrannie, foule du pied  l’article et sous le prétexte fallacieux de trouble à  l’ordre public.

Chronique : 2019\Macky Sall &  vos  concurrents potentiels  au poste de président de la république, pouvez-nous  dire  publiquement, solennellement  que vous ne  détenez  exclusivement la nationalité sénégalaise !

Tout d’abord,  la confiance n’exclut pas le contrôle. Pour ce faire,  qu’ils jurent et preuves à l’appui,  qu’ils n’ont que la nationalité sénégalais, conformément   à l’article 28 de la constitution.

Il y a lieu de s’interroger sur un constat.  La  maturité politique,  démocratique du Sénégal est –elle  vraiment réelle   ?

  Alors, Monsieur Macky Sall,  le président de la république du Sénégal, au nom du  pouvoir  du peuple par le peuple et pour le peuple,  pouvez-vous  nous dire la vérité, rien que la vérité,  et preuves à l’appui,  sans conditions,  que vous n’avez que la nationalité sénégalaise ?

Messieurs  les candidats des  élections présidentielles de 2019, au nom du  pouvoir  du peuple par le peuple et pour le peuple,  pouvez-vous nous dire, preuves à l’appui,  sans conditions,  que vous n’avez que la nationalité sénégalaise ?

Vous devez nous renseigner immédiatement,  en  nous montrant les documents cités, en bonne et due forme.

Abdoulaye Wade  ne détient  apparemment  que la  nationalité  sénégalaise, jusqu’à preuve  du contraire.

À  effet,  le conseil  anticonstitutionnel,  a les moyens juridiques  de vérifier les nationalités  des possibles candidats présidentiels,  engage sa responsabilité.

 Au nom du  pouvoir  du peuple par le peuple et pour le peuple,   l’interrogation   légitime  ne peut   être  une esquive.

 Ne  pas répondre,  c’est consentir et être coupable, c’est   aussi  trahir la volonté du peuple, qui est le seul juge. Auquel cas, ce sera manifestement  une tromperie, voire même  parjure, qui est juridiquement synonyme   d’illégalité.

 Par ailleurs, le   préfet au près  du dictateur  s’attelle à casser  toute opposition réelle, pour  qu’elle se taise, se plie à sa règle tyrannique. Voilà la tâche à la quelle  excelle celui que l’on appelle excellence. Et quelle excellence ?  Oui,  ce à  quoi excellence des coups  tordus qui agit  et abuse lâchement  des moyens de l’état.

 À lorsque le  même, hier qui dénonçait les dérives du régime Abdoulaye  avec lequel  il  a cheminé pendant 8 ans par médias interposés,  jusqu’à s’enrichir,   utilise les mêmes  pratiques autoritaires par l’entregent de sa justice instrumentalisée,   reste le bras armé de  la démocratie monocratique familiale.

 Le tyran  encombrant , qui  se réduit dans son rôle de potentat,  passe son  sale temps  à  restreindre  les libertés fondamentales par sa carence  et son ignorance patente  sur un état régalien, continue  de fouler du pied la démocratie, depuis le 25 mars 2012 au soir.

 L’archétype,  fourbe- le pantin, le potentat,  joufflu, trapu, ou l’homme des galéjades,  méconnaissable par  sa  surcharge pondérale,  le singulier, porte malheur de tout  l’échiquier politique, qui est égal  et  fidèle à lui-même, demeure plus que jamais   le Casseur du Siècle au Sénégal,   interdit tout et n’importe quoi,  oriente le débat politique pour sa propre cause,  impose  et  son calendrier et  son   fichier électoral, ombrageux,  sans qu’il y ait  aucune  discussion possible, rempilera en 2019, arrachera  savamment son propre score,  fantasmagorique, digne de lui,  comme tout félon de son rang.

Face à cette éventualité, seul le peuple uni, galvanisé, changera le rapport de force, aura  nécessairement  le dernier mot.

On a  dit   qu’à  chaque situation exceptionnelle, des solutions exceptionnelles, face à l’impunité.

 À  ce prisme là, tout  peuple fier de l’être, debout comme un seul homme,  a l’obligation de faire  corps et cause commune. Tout peuple,  s’il le désire, qu’il vante, tel un ouragan,  vaincra quiconque et balayera sur tout son passage.

 Avant qu’il ne soit trop tard,  nous devons éviter des surprises encore plus cataclysmiques, que  celles nous avons déjà  connues, durant  7 ans.  Réveillons-nous de notre léthargie, et ouvrons  encore  une fois de plus nos yeux ! Ce qui se profile à l’horizon, nous inquiéte dans notre existence.

Notre  avenir, qui  est plus que sombre, s’aggravera davantage, demain,  si nous ne nous  faisons rien, pour extirper le mal absolu qui nous empoisonne la vie par celui  qui est  au sommet de l’état  sénégalais.

 Qu’on le veuille ou non, nous nous n’avons pas un état régalien, avec des institutions normales,  indépendantes qui tournent à plein régime, mais un assemblage de  des voyous et des caïds tous coalisés, au sein desquels un  flibustier notoire, qui imprime sa marque totalitaire, telle comme une  monarchie ethnique,  monocratique, ségrégationniste d’apartheid,  agit sans foi, ni loi, pour croire pouvoir  parachever le règne d’un régime colonial le plus  scandaleux  que l’on n’ait jamais connu jusqu’ici.

Maintenant et sans attendre une seule minute,  nous devons agir tous  agir et en découdre  avec  le bougre-usurier,   le Caniche de l’occident,  estampillé le berger colonial.

 Autant  donc   qu’il   faille  utiliser la force, pour le déloger,  le sortir  par la  petite porte,  afin qu’il subisse lui-même   le même sort  que  son  Co-pédigrée, Blaise Compaoré, le proscrit, qui s’est réfugié lâchement  en Côte d’ivoire.

 Mais faut-il que nous ayons  de véritables   élites politiques, coriaces, visionnaires, et  qui travaillent toutes  en symbiose  avec une armée nationale, républicaine, pour mutualiser leur synergie, face à un traitre, lâche, qui est  totalement en intelligence avec ceux nos oppresseurs historiques.

Alors, le Guillotineur de la Démocratie et des  Libertés de Consciences, méritez –vous vraiment  la qualité d’excellence,  que vous l’on vous  attribue par complaisance et par commodité ?

Le  Guillotineur de la Démocratie et des  Libertés de Consciences, depuis que vous êtes au sommet de l’état sénégalais,  vous montrez  ce que vous êtes réellement.

Le Guillotineur de la Démocratie et des  Libertés de Consciences, la répression  que vous  tenter d’institutionnaliser, est  votre principal  sport favori. Ce n’est pas ce que l’on attend d’un véritable chef d’état.

Le Guillotineur de la Démocratie et des  Libertés de Consciences, vous et  votre bande d’ouailles de fripouilles  mercenaires-alimentaires,  corrompues, labellisent vos méthodes fascistes. Et c’est honteux.

 Le Guillotineur de la Démocratie et des  Libertés de Consciences,  les comportements usuels   de votre «  doungourou » —PM-premier ministron, capitulard, et  du haut  de son habillage de piètre qualité,  qui  se complaît  dangereusement dans un verbiage creux,  toute manifestation légale  apparaît   à ses  yeux,  comme une défiance, face  à   la loi liberticide du despote en place .

  Le monde  appartient à ceux qui ont une histoire. Ce n’est pas  beau à entendre, mais demeure une vérité éternelle devant l’éternel. Que cela plaise ou non !

La répétition est pédagogique. Nous ne pouvons plus compter sur le suffrage universaliste,  qui  est synonyme d’arnaque électorale chez les minables  potentats, arrimés et aux attaches colonialistes.

Chaque jour que dieu fait, prouve que celui qui est arrivé au pouvoir par effraction à cause de l’esclandre de ses mrds de FCFA, volés dans les derniers de l’état,  ne déviera jamais de sa trajectoire totalitaire.

 Le réveil sera brutal et il y aura des gueules de bois comme toujours, si nous ne prendrons pas le taureau par les cornes  pour en finir avec le félon, avant qu’il n’en finisse avec nous.

Où a-t-on vu  en Afrique des traitres, organiser des scrutins de pacotille  pour  les perdre ?

 Il nous faut absolument  que nous utilisions d’autres  paramètres  distincts des cirques électoraux,  pour déloger le Caniche de l’Occident au palais des fétichistes.

Laisser le fichier électoral, cousu de fil blanc,  tel qu’il est établi  avec  ses zones d’ombre,   n’augure  rie de bon, signifie   abdiquer sur toute la ligne.   C’est  aller en guerre sans armes pour la perdre.

Cela équivaut  à un suicide  collectif, impardonnable, contre les intérêts du peuple que l’on méprise et piétine.

 Au nom de la morale,  l’esprit rationnel  peut-il accepter  l’idée baroque   que   nous puisions   continuer  à nous soumettre à l’opacité et aux habitudes  scandaleuses,  fallacieuses, mesquines  crypto personnelles d’un fourbe,  monstrueux,  fraudeur- prédateur, qui n’a aucune moralité peu ou prou,  ni la moindre  étoffe d’ humilité, ni retenue, ni empathie envers nous  les sénégalais,  comme   si nous   sommes   ses moutonniers   de droit divin ?

Nous ne devons plus commettre le même sacrilège qui a crée notre descente aux enfers,  en lui  accordant un deuxième mandat présidentiel.

Il faut  le virer bruyamment, et immédiatement,  et qu’il sache qu’il n’est rien sans le consentement  du peuple.

Il n’a plus sa place  au palais,  mais à Rebeussmenottes aux poignets, pour avoir commis de moult  trahisons  à en chaîne et  en continu.

Chez le nègre de service, le suffrage universel est une simple formalité administrative, d’escroquerie organisée,  un foutoir blanchi,  se conçoit  dans  le  banditisme et  dans lequel le planificateur en chair et en os  ne perd jamais, au contraire, il  gagne et rafle tout  à tous les coups à chaque parodie électorale.

La crédibilité  blasphématoire des observateurs  leuco dermiques,  dits douteux — qui fait florès en Afrique des guignols attardés,  attachés —résulte  incontestablement  d’une simple vue de l’esprit—, apparaissent mentalement plus intelligents que l’ensemble des citoyens africains, sont préjugés abâtardis de la tête aux pieds.

Les  témoins, qui sont  venus d’Europe, s’autoproclament  faiseurs  de roi et d’opinion,  créent systématiquement  et hystériquement  l’événement, se substituent allégrement à la place des  endogènes,  qui  restent tous  soumis,  jouent  servilement les figurants et les supplétifs—,  font profil bas, tranchent en  sens  unique et en lieu et place des  citoyens experts sénégalais,  qui sont  aussi fournis  en terme de matière grise,  auraient pu  trancher  en dernier ressort.

La solennité dénommée : « la Communauté internationale ou la coalition colonialiste en bande communautariste blanche ? C’est une honte pour toute l’Afrique  qui  se dégonfle face  à la démocratie  mondialiste de l’arbitraire et de la tyrannie.

Pour contrecarrer l’immixtion de la communauté internationale, il est nécessaire de mettre sur pied ce que l’on nous appelons à juste titre, la solennité dénommée : « les sentinelles africaines » à l’échelle continentale, auront la charge  et la particularité de dénoncer à tout vent la praxis décriée  des  autocrates africains  mercenaires, qui sont aux antipodes de la démocratie  et aux attaches  de leurs maitres,  tapis dans l’ombre, qui tirent par derrière les ficelles et le secret le plus absolu.

Une telle organisation Africaine supra nationale, sera aussi chargée de promouvoir la démocratie réelle à travers le continent africain. Elle aura la légitime défense de statuer librement et en toute indépendance sur toutes les éventuelles fraudes lors des élections africaines.

 Je l’ai déjà écrit,  martelé,  dit tout haut par audio  et  à maintes reprises.

  Il est  donc temps  de  bannir ce terme désuet, décousu à la poubelle : « la Communauté Internationale » appelée la nébuleuse.

Il faut tout simplement interdire les observateurs douteux dans les élections présidentielles en Afrique, en particulier,  l’envoi les larbins massifs de la francophonie et ses tentacules.

 On ne le dira jamais assez,  car  les intrusions des institutions étrangères confiscatoires  à la démocratie  et  les indépendances africaines nominales, constituent un caractère  blasphématoire  aux libertés fondamentales  des consciences africaines.

Or, bizarrement on n’a vu jamais des observateurs africains venir  superviser des élections présidentielles, européennes.

 Le  fichier  électoral  doit crédible, véritable, net, clair, et transparent,  sans salissures, avant d’aller aux élections présidentielles-  une exigence capitale sans condition,  n’est pas négociable.

L’audition du fichier électoral par des experts étranger obéit tout simplement  à une mascarade  et  aux gémonies  coloniales.

On est bien dans  l’absolution  permanente des consciences phagocytées et dans la dépendance expansionniste qui tournent  en plein régime.

 Un paternalisme obsolète  qui ne dit bien son nom,  comme si nous sommes des incapables, ne vise  qu’à  replacer  le mercenaire, le  voyou en place, chouchouté.  Une  indignité  qui  est à son comble.

Il n’appartient nullement  à l’UE d’apprécier, ou de dire ses sur les affaires Sénégalo- sénégalaises

 Nous les  membres   actifs de  la Conscience Patriotique  pour le Changement au Sénégal— XAM SA REW – BËG SA REW – JARIÑ SA REW,   nous déclarons nulle et non avenue la conclusion des experts sur le fichier électoral— point barre- et pour cause.

 Alors,  le boucanier, bouclier, destructeur, dévoué, gardien du temple des  intérêts impérialistes,   se gouverne d’une main de fer  et  par procuration, privilégie  ceux qui lui imposent  leurs ordres,  qu’il exécute lâchement  à la lettre sans broncher.

 L’arriviste, qui est au sommet de l’état sénégalais  et  sa cohorte  de ramassis  de caniveau , pantouflards tous des  alignés,  n’ont  que des invectives  désolantes,  ne sont point des intellos, contrairement à ce que l’on croit ici ou là,  mais  des désertiques,  à qui on dicte ce qu’ils doivent faire dans le secret des dieux  et de façon souterraine.

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