L’ÉQUATION MACKY SALL : UN DANGER PUBLIC À CIEL OUVERT. Par Ahmadou Diop.
L’arrogant machiavel , récidiviste pantin, se transforme peu à peu en pire dictateur au sommet de l’état sénégalais, a donc la langue bien pendue , traite d’ignare son opposition de tous les anathèmes , n’a que du culot, s’arroge tout par sa fausseté, continue à nous faire faux bond, alors qu’en 2012, il se focalisait sur la thématique de l’éthique et de l’équité, change sa mouture en gouvernance ethnique.
Avant de procéder à nos analyses sur le bougre de naissance en place, prenons d’abord le cas du dictateur Zimbabwéen et du Sénégal, pour ne citer que cela ! On s’aperçoit enfin de compte que la ressemblance de leur gouvernance terrible par leur carence très prononcée en matière d’autoritarisme et des droits de L’Homme, est effarante, évidente plus d’un titre.
Grace à la complicité de Constantino Chiwenga, un général d’armée, l’initiateur du fameux coup d’état du 24 novembre 2017, pour mettre en scelle son bras droit, pour celui qui s’autoproclama le président de la République, et dont le moins que l’on puisse dire, n’est nullement un démocrate.
Or, E.Mnangagwa, et son bienfaiteur, le généralConstantino Chiwenga,étaient tous les deux déclarés persona non grata aux Etats-Unis et en Europe, ont aussi tous bel et bien bénéficié des largesses de robert Mugabe.
Peut-on être à fois putschiste et un démocrate ? Un contre sens au regard des faits. L’insurgé, qui promettait des gages, s’agissant de la justice, le droit humain et la démocratie,
Pendant la nuit, et à quelques heures des résultats présidentiels, douteux, embarque sa police et son armée qui emprisonne ses adversaires politiques. Résultat des courses, il s’auto déclare le vainqueur. En d’autre terme, Toute chose est égale par ailleurs. Les deux gouvernements capharnaüm se valent tous. C’est du pareil au même, et dans une certaine mesure, en ce sens qu’ils ont en commun la même haine et la même approche étrange de la démocratie bancale.
En 2001, Abdoulaye Wade, sans le savoir, creuse lui-même sa propre descente aux enfers, par mégarde et par son imprudence, mimétique, et sans se douter de ce qui lui pourrait arriver, demain, crée de toute pièce et de fond en comble, l’envol étrange du taciturne, le renégat Macky Sall, le flibustier, pour mieux rebondir, demain au bon moment propice, affichait déjà à l’époque une fidélité apparente. La suite est connue. Comme on dit, les mêmes causes reproduisent nécessairement les effets,
Car le changeant qui nous promettait tout et n’importe quoi, fait que « son Créateur – Abdoulaye Wade » , exerce de plus que jamais un contrôle abusif et direct sur tous les médias du service public et privé, puisque le mal va en pis, notamment sur sa justice de carpette aux ordres, et cela est aussi valable aux autres organes de contrôle qui sont prétendument institutionnels. Le référendum de foutoir et dernières les législatives catastrophiques en témoignent absolument, passent aussi comme une lettre à la poste, comme si rien n’était.
En toute logique, l’improbable réélection incongrue du pourvoir colonial devrait prendre fin en principe en février 2019.
Mais rien n’est gagné d’avance, compte tenu du climat délétère, nous inquiète.
Si nous voulons, nous pouvons en mettant le prix, face à ce guignol avec ses hordes de thuriféraires, qui s’engraissent, tous inlassablement, tels des phacochères ou des crocodiles, pendant que, hélas, la majorité des sénégalais manquent de tout, de soins sanitaires les plus élémentaires, pataugent quotidiennement dans le marasme social endémique, s’amincissent de plus en plus, malgré le plan Sénégal émergent des comètes et des leurres. Si nous abdiquons encore, pour ne rien faire, pour reculer en arrière et à la pierre taillée, le mal qui va en pis, s’aggravera, triomphera à coup sûr et davantage et en continu, car ce sera le prolongement de l’impunité de l’injustice aux ordres avec des procès politiques en cascades, qui obéissent) des entournures clientélistes, comme en arrière-plan. Ça suffit, trop c’est trop ! Nous avons été jusqu’ici charitables au point que l’on prenne pour des couards et par notre consentement réactionnaire.
Dans ces conditions, le fameux fichier, tel qu’il est mal ficelé, dans le secret des dieux, manque de transparence, que personne ne discute. Cela revient à aller en guerre et la perdre, puisque le minable incorrigible mine sciemment le terrain, en creusant des trous, si bien tous candidats passeront à la trappe.
L’objectif escompté, est donc d’éliminer un par un tous les gros éléments, pour les mettre hors course, afin que l’éternel braqueur dans son piédestal, reste le seul maître à bord.
Et pour cause. D’une part, la communication approximative du chef de l’exécutif sur l’épineuse question bouche cousue, renforce l’idée d’un scepticisme, et d’autre part, n’augure rien de bon, risque d’entraîner non seulement des conséquences chaotiques, mais des crises pré-électorales, voire un contentieux électoral, si on n’y prend pas garde, relève d’une gravité sans s précédent dans l’histoire politique du Sénégal.
L’inculte pantin, le vendu, le brigand, le plus grand traitre tristement célébrissime, sans égal au Sénégal, qui est enivré par son arrogance , sa suffisance démesurée et l’euphorie du pouvoir, perd décidément de plus en plus ses pédales et ses repères, tue sciemment la démocratie pour sa propre gloire personnelle, et jouit pleinement et abusivement sans retenue, dépense sans compter ; voyage à tout vent à l’échelle planétaire internationale, et vit abondamment sous les lambris dorés « du palais Alpulaarisé » de fond en comble.
Un tel fainéant, minable du haut de son rang, et par son incurie manifeste sur les affaires de la Cité, n’a jamais respecté ni de près, ni de loin les raisons pour lesquelles il a été élu à défaut et par dépit dans des circonstances exceptionnelles, inédites, pour avoir mis délibérément du sable sur ses engagements électoraux, et dont les reniements exponentiels, infinis, incommensurables correspondent parfaitement au degré du flibustier.
Ce monstre singulier, est plus qu’une usine à gaz et à ciel ouvert, menace et foule du pied par ses chiens de garde interposés, chaque jour que dieu fait, non seulement et les libertés fondamentales de conscience et le premier droit inaliénable de tout peuple indépendant, souverain,
la stabilité politique, la cohésion sociale et l’unité nationale ; mais interdit tout, et continue de troubler plus que jamais l’ordre public, depuis son arrivée au sommet de l’état en 2012, par effraction, et ce, malheureusement, et grâce aussi à la concomitance de notre inadvertance massive- renversante, généralisée à l’échelle nationale, et pis encore, avec l’expression abracadabrantesque en prime, qui est son unique totem va-t-en guerre, représenté par l’esclandre excessif des milliards de FCFA, qu’il a frauduleusement amassés, et obtenus dans des conditions scandaleusement totalement abjectes.
À l’époque, comme tout pickpocket, pour croire arriver à ses fins de basse besogne, et à en dessein d’entuber, ou d’en fariner les esprits naïfs, le voleur nous avait servis la sauce, selon laquelle il avait bénéficié des largesses financières du prétendu milliardaire philanthrope des leurres,
Harouna Dia, et bien d’autres soi-disant donateurs peu crédibles. En réalité, il ne s’agissait que d’une diversion grossière, si énorme, mais le mal était déjà fait, passait comme une lettre à la poste. L’imposteur, qui a été catapulté au sommet de l’état, savait d’avance qu’en cas de victoire, qu’il contrôlerait à lui seul, tiendrait par devers la corde le présumé président du conseil anticonstitutionnel et tous les ramassis farandoles de cette prétendue institution. Puisque c’est lui même qui les gratifie, les nomme, selon leur degré d’inféodation pour propre sa cause.
2019/ Comédie Electorale Au Sénégal : un simple jouet d’Enfant pour le Faussaire nègre de service, Macky Sall ?
À l’occasion du 31 décembre 2018 au soir, comme le savez, et pour la unième fois, depuis sept ans, nous avons rebouché nos oreilles à longueur de journée, car le même pantin négationniste, s’est travesti lamentablement en pourvoyeur indécrottable du népotisme « nédo ko bandoum » n’a reproduit que son numéro usuel, n’ a fait que du réchauffé, a tenté vaille que vaille à blanchir à grande eau ses échappées torrides devant les micros de la « RTS SALL », qu’il a toujours monopolisé pour sa propre gloire et à sa guise, comme son modèle moribond, qu’il considère comme étant son jouet, et à travers lequel il s’exprime, et à l’instar des Bongo I et II, des Ouattara et Cie . Et pour causse. Pour lui, la comédie électorale n’est qu’une lettre à la poste, voire une simple formalité administrative.
Le compositeur, le virtuose de classe exceptionnelle, s’est encore dégonflé à la place publique, s’auto glorifie de son bilan calamiteux à l’accoutumée, s’arroge sans scrupules, ni vertu, le maître de l’imposture, monte les enchères, a eu encore du culot, n’a pas dérogé à sa propre règle édictée, qu’on lui connaît habituellement. Le Ter et ses réalisations coloniales, ses trophées de guerre, font le bonheur de ceux qui le parrainent toujours par derrière, et pourvu que cela perdure à jamais.
Il n’y a donc pas la moindre surprise. Le contraire serait même étonnant. C’est le propre et l’apanage des menteurs professionnels dignes d’eux, ne s’encombrent outre mesure, d’aucune parcelle de moralité peu ou prou. Nous sommes plus que blindés, pour n’entendre que les mêmes sons de cloche des mêmes mensonges pimentés cataclysmiques, apocalyptiques, le tout avec le vacarme hystérique sidérant du fameux plan Sénégal d’un gros tissuthèque des chiffres récurrents bidonnés à l’appui du saupoudrage du fameux taux croissance, qui passera désormais de 6, 5 à 7, 5 % pour faire beau.
Plus c’est gros, mieux, les mensonges grotesques se corsent dans un enfumage classique, ça passe dans le substrat des érodés sont croqués et alignés, tels des moutons tondus.
Depuis l’esclandre du mercenaire, le nègre de service, larbin en place, il y’a beaucoup plus de falsificateurs historiques que de diseurs de vérité et de communicateurs libres Dans ces conditions regrettables, il n’est pas étonnant que le mal en pis et les distributeurs d’éloges loufoques à l’égard du clown, se renforcent, davantage et dans un rythme effréné, puisque ces derniers n’attendant que le retour de l’ascenseur, comme facteur de régression à propension.
Madiambal Diagnge, l’agitateur mercenaire, attitré du Palais.
Pour cela, il utilise un verbiage, incertain, qui ne tient que sur du fil, pour le disqualifier et le charcuter, sans y apporter la moindre preuve matérielle fournie, avérée, si ce n’est le conditionnel, avec des conjectures, des insinuations, des non-dits et des suppositions, dont le but est d’influencer, d’orienter les juges corrompus, qui sont au service du palais .
Le mercenaire, adulé et attiré du palais, n’a fait aucune révélation, ni aucune investigation, crédible, professionnelle, ne cherche nullement la vérité des faits, mais tente de le discréditer, de sorte qu’il perde son aura auprès de l’opinion publique, qui lui est presque acquise, jusqu’à preuve du contraire. C’est ce que l’on appelle une pitoyable désinformation par la manipulation, frisant la démence.
L’énergumène déclaré, Madiambal Diagnge, le spécialiste des balourdises, n’a pas de foi, fait sa propre pataugeant servilement dans l’arbitraire, et verse dans un amalgame et des suspicions, tendant à le mettre [Sonko] dans le même panier que tous les autres, qui ont maille avec la justice, de manière à écorner son image vierge. Voilà donc le sale boulot auquel se livre le professionnel en la matière, est investi dans l’art du cynisme le plus repoussant, agit par la manigance absolue, se complaît dangereusement dans son rôle de bas étage, en tant qu’artiste farandole, qu’on lui connaît, sème le doute, et affirme sciemment de façon délibérée, alambiquée et décousue, avait claironné sans ambages, tout en prenant la précaution d’emprunter le conditionnel, et à la place publique qu’Ousmane Sonko pourrait être impliqué dans le scandale des 94 milliards de F CFA.
Le leader Pastef, Ousmane Sonko, un des rares candidats en lice, n’a jamais eu un poste de nomination. Madiambal Diagne, n’agit que d sur commande d’en haut, parce qu’il est soutenu financièrement par des brouettes de briques de FCFA, peut allégrement franchir de plus en plus le rubicond, ne s’inquiète outre mesure, n’y va plus avec le dos de la cuillère, peste inlassablement des quantités industrielles d’affabulations, de diffamations abjectes, monstrueuses, sont compilées les unes après dans des rivières torrentielles de la haine viscérale rarement égalées, s’attaquent honteusement, sans vergogne, et sans discernement à tous ceux qui se dressent la mal gouvernance, écrabouille tous les opposants, qui se dressent debout contre la soldatesque Waffen SS est dans tous états tient lieu de légèretés suintantes chez les faibles d’esprit.
Voilà à quoi joue le plastique qui tient à garder son bifteck et peu importe que les moyens soient abjects pour semer la zizanie , et à la seule fin de détruire le jeune politicien, et par n’importe quel moyen, fût-il abject, a le vent en poupe, autant donc que le plumitif, digne de son rang, « made nédo ko bandoum »vive dans la soumission et la corruption, sont désormais, sources de gagne-pain et de crimes.
Le ridicule ne tue, puisque tout est bon pour salir la dignité du challenger, qui est jusque là vierge de toute tache. Comme le disait, à juste titre, Lautréamont, aucune rivière ne peut laver une tache de sang intellectuelle.
Celui qui contrôle la presse, contrôle nécessairement tout le pays, étant donné que les intérêts du peuple ne comptent point. Pour le despote encombrant, narcissique de la tète aux pieds, ses dividendes financiers et politiques en arrière-plan, mesquins, mis en avant sont aussi liés à ceux de ses parrains, ne font qu’un.
Alors, la philosophie du machiavel sénégalais, le tribaliste, en chair et en os, consiste à prendre le contre pied de son devancier,
Comme tout traitre de son rang, et afin de s’éterniser au pouvoir, et à l’instar de ses compères africains, francophones, serviles, fantoches, à l’échelle continentale, le référent de la Françafrique, veut garantir son impunité abrasive, mortifère, qui lui colle à la peau, autant donc qu’il faille acheter abondamment la presse matelassée, la plus dévouée, encartée, dévergondée, la plus ignoble par son amplitude la plus manifeste et l’avoir dans sa besace. Laquelle s’écarte volontairement des traitements objectifs des informations plaide à sa propre cause
Le caractériel, nihiliste, ethnocentrique, imbu de sa personne, dénature, compile, et blanchit ses mensonges grossiers en vérité éternelle.
Cette énormité sournoise, surréaliste, est la caractéristique satanique de tout ethniciste lâche, hypocrite, digne de son rang, réduit et ramène tout à lui. Voilà pourquoi il représente public à ciel ouvert !