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L’Etrange Chorégraphie des Commerciaux-Misérables en jointure avec le label Ethnocentrique « Nédo ko Bandoum ». Par Ahmadou Diop.

En lieu et place d’une vraie rupture,  nous avons au cœur de l’état ethnique, le symbole d’un  Misérabilisme  des  Commerciaux- Ripoux d’un Capharnaüm « Nédo ko Bandoum  ».
La rupture sobre, vertueuse, efficiente et transparente n’a pas eu lieu. Le tyran communautariste, qui est cerné de toutes parts,  pour  nous avoir menti  sur toute la ligne et sans scrupules,  se complait dans une désinvolture et dans une fuite en avant comme si rien ne s’était passé.  Mais  place à la tromperie et  à  la pelle  des  charlatans et de son chef,  le  caïd, l’homme  des fourberies et des mystifications torrentielles à couper le souffle !
Décidément, le ridicule ne tue plus.  C’est courant dans une république racialement connue,  où  tout  est anormal ou presque, depuis le 25 mars 2012 jusqu’ici. Evidement en Afrique, chez les  larbins moutonniers, asservis, la  démocratie  se conçoit  exclusivement  à l’aune de la  gouvernance politique, ethnique, devient  de facto une norme étable, à l’instar des  autocrates africains.
Tous sont  affiliés  au pré- carré soft, de l’hydre mafieuse, versus  françafrique.
 La Françafrique a-t-elle  vraiment  trouvé portes  closes chez nous au Sénégal et   en Afrique sous tutelle coloniale ?
Ce qui intéresse le berger colonial  place,  ce n’est pas tant  la rupture,  ni un état de droit,  régalien,  mais plutôt  la corruption généralisée, légalisée  au niveau  de la ribambelle des politicards fonctionnaires, laquelle  est en intelligence constante avec une certaine nomenklatura politico-religieuse,  est  présumée  faiseur de fatalisme et de l’obscurantisme, vont en pis.
 Voilà  la tache sombre  à laquelle s’adonne  l’inimitable  planificateur du suffrage  universaliste.  Tel est conçu en Afrique des guignols,  donne par devers  le tempo à sa bande ramassis  misérables,  n’a que  les pieds et  les  poings liés face à  un  pillard, qui   n’est qu’un briseur des consciences.  Tous  ses camériers  unifiés s’accordent, s’encordent, et s’activent la tête baissée, se dégonflent   en vulgaires  »  doungourous  »  décomposés, décomplexés, corvéables à merci  et en toute impunité, inversent les rôles  par la rhétorique de caniveau, qui leur colle à la peau.
Macky Parrain De Madické Niang : c’est une évidence qui ne peut se passer sous silence.
Le 7 juin 2017, Madické niang  défrayait  la chronique,  faisait parler de  lui, constituait  la Une  des journaux  sur son patrimoine gigantesque, qu’il  a bâti  au canada,  a vendu, selon une certaine presse bien canadienne,  renseignée.
À l’époque,   les langues se déliaient et faisaient les choux gras de la presse africaine.  Contrairement à Karim Wade et  Khalifa Sall,  qui sont accablés et cernés  de toutes parts,  le  silence  coupable de la CREI  n’a jamais déclenché une enquête contre  Me Madické Niang.   et son acolyte, Abdoulaye Diop, ont-ils donc  transigé ?  Ou  en savent-ils un peu plus sur la fortune inégalée  du Casseur du Sénégal, Macky Sall,  l’homme des faux bonds ?
L’un des ministrons – conseillers  raciaux les plus chevronnés, les plus gloutonnés   bidon – d’un  Capharnaüm en bande organisée «   nedo ko bandoum»- dont le  nombre    atteint facilement  le  chiffre astronomique  de  180 , et au sein desquels  El Hadji Amadou KASSE – le conseiller chouchouté  de la propagande,  se charge  des basses œuvres, notamment  le label des mensonges  surréalistes  du changeant négationniste, intégriste  de la tête aux pieds , Macky sall,  qui est dénommé  l’ excellence des menteries sacralisées en abondance  torride.
Le serviteur fulmine : «  c’est par   respect aux Sénégalais » qu’il répond. Et c’est pour manifestation  sa « consternation », se distingue, pour avoir  eu des largesses indues, monte  une fois de fois au créneau, pour espérer arrondir, ainsi,  les angles et cintrer les coins et, ce,  avec un taux d’adrénaline démesuré,  tente  vaille que vaille de démentir  ce qu’il est convenu d’appeler un secret de polichinelle : Macky  Sall,   n’est pas le parrain de Madické Niang.
El Hadji Amadou KASSE ne fera rien.  Le  laquas    a-t-il donc la mémoire courte ? Oublie-t-il  donc la liste du procureur Ousmane Diagne ?  Nous lui rafraîchissons sa réputation de piètre qualité !  Aucune parole des ministrons et des  ministrons- conseillers au service  du référent nègre de service,   n’est absolument pas de l’argent comptant, fût-il   le premier ministron Dionne,  lequel  faussement  peint  en qualité  de technocrate imaginaire !   Celui qui reste  les yeux et les oreilles  du chef de l’exécutif, juge et partie, sa parole n’engage que lui,  ne nous engage pas.
Ya-t-il une entente  directe  dans le secret des dieux  entre Madické Niang et le chef Nédo ko bandoum ?  Personnellement, je le crois en toute conviction.  Les faits têtus  parlent d’eux-mêmes, quoique l’on puisse dire.
 Compte tenu de la conjoncture, politique nauséabonde et par rapport à la traque des biens mal acquis à géométrie variable,  selon la tète des clients,  Madické Niang,  Sindjéli Wade,  Souleymane Ndéné ndiaye et Cie, tous des goinfrés, miraculeux  par  les raccourcis des postes de nomination Tan sabula nex, ont  été savamment  épargnés  par la crei, et sur ndiguel  d’en haut.
Cette décision fait suite aux instructions du procureur de la République, Ousmane Diagne. Est-ce donc la raison pour laquelle le procureur a été dessaisi pour laisser des plumes, avant d’être remercié brutalement comme un malfrat, pour avoir fouiné dans les affaires de la protégée exceptionnelle du  maître du palais ?
Nos concitoyens et  nos concitoyennes ont l’épée de Damoclès qui  pèse sur leurs tètes à chaque manifestation. Qui arrêtera donc  les crimes d’état ?  Voila la singularité exceptionnelle  d’une gouvernance de la poisse  mystique jusqu’à la lie.
À  chaque manifestation, il ya manifestement et systématiquement  des  morts, un mort, ou de nombreux  blessés, comme dégâts collatéraux, au point  que  nous nous interrogeons sur la pédagogie violente  de l’état  incurieux !   Bizarrement lorsque l’apr fait son numéro de cirque  à la place publique, un important dispositif  sécuritaire  policier,   impressionnant, est déployé. Et  tout se passe bien dans le meilleur des mondes.
Après avoir  défenestré, élagué, cisaillé ses deux adversaires politiques – les plus  coriaces-  les plus encombrants à la comédie présidentielle  de février 2019,   en l’occurrence,  Karim Wade et khalifa Sall  par  l’entregent de sa justice  aux ordres,  instrumentalisée,  estampillée «  Nédo ko bandoum», le chef de bande,  le  désertique,  met la mèche,  allume  le feu, laisse le soin à ses  blaireaux-pantins   «  Commerciaux », se chargent  lamentablement en  farandoles,  dévergondés. Tous  des arides acariâtres,  tirent à boulets rouges  sur Ousmane Sonko, esquivent indignement   à bras raccourcis  le débat d’idées  et   notamment  les  vrais enjeux politiques  de  l’heure et l’avenir  du Sénégal, et ce,  sur fond de culpabilité, de manque de culture patriotique  et de cécité, nous renseignent éloquemment  sur un assemblage  d’une bande  de racailles  alignées,  qui  ne que  vit exclusivement sur les deniers  de « la République cartellisée et  racialisée » jusqu’à abysse.
La semaine dernière, après  les sorties  de ceux qui n’ont que  la bouche de sang,  de façon commettante et par miracle,  le leader PASTEF, a été encore victime  d’une campagne  de dénigrements, de diabolisation tous  azimuts,   hors nome,  s’abat contre lui, sans précédent, par  des pluies torrentielles FAKE NEWS- d’invectives cataclysmiques- sans répit, à son encontre.    Pour son grade,  il  continue  d’être traité  de tous les anathèmes, imaginaires, de tous les noms d’oiseaux et dans une hystérie  pathologique.   Comme pour  ne rien arranger, et comme par magie, Mariama Sagna, la militante de Pastef,  a été  sauvagement violée et tuée samedi à Keur Massar.  Mais les misérables Commerciaux  politicards, semble-t-il,   crachent sur  sa mémoire,  et passent à la vitesse supérieure, pour atteindre, cyniquement  et affaiblir   son chef,    et ceci  dans l’espoir de  le pousser  à l’abdication totale.  Le but majeur est de semer la  peur et la psychose  par tous les moyens, fusent-ils abjects. Qui  donc arrêtera les massacres et les crimes exponentiels, incommensurables ?
Alors,  c’est autour de  l’ancien fonctionnaire des impôts,  lequel  a été remercié pour avoir  fouiné  avec  fracas son nez dans les  eaux  troubles de l’apr.  De ce fait, il doit nécessairement   subir  sans état  d’âme, le purgatoire obligatoire, de la part  des fourbes inconditionnels, inféodés  à  la démocratie familiale.
  Après les échappées torrides   des  larbins et Cie, dont   je ne  nommerai pas  les noms, pour éviter de leur   faire une quelconque  publicité,  place maintenant   au  Misérabilisme, représenté en la personne   d’Ousmane Tanor Dieng- l’éternel recalé- n’a jamais rien gagné de lui-même,  si ce n’est   à la suite du référendum – Deum-  en mars  2016, est catapulté  en tête du   HCCT- Haut Conseil  des Collectivités  Territoriales :  un  embrouillamini mystificateur, clientéliste, décousu de fond en comble  d’une sarabande de goinfrés nébuleux, très riches  par les raccourcis politiques, pour  recycler des  Rabatteurs-Mercenaires- Misérables, alimentaires, sont  redevenus par la force force des choses, des déchets toxiques par définition.  L’acronyme emphatique,  suscité, qui est  dénommé l’escarcelle de la  machine, mafieuse,  toxique à corruptions  massives à haut débit   n’est  rien   qu’un  crime imprescriptible, que l’on ne saurait passer sous silence.

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