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L’incivilité de la Fondation Servir le Sénégal ou le Plan familial émergent ?

les sall-fayeOn utilise les deniers publics à des fins de propagande pour massifier un parti politique.

Le patriotisme et le civisme sont source de valeur et d’émergence. Macky Sall et sa famille font-ils vraiment preuve de patriotisme productif en action ? La réponse est évidemment négative.

En lieu et place d’un plan Sénégal émergent, se tient la gestion d’une gouvernance népotique et gabégique.

La Fondation Servir le Sénégal : association familiale ou la machine toxique à corruptions massives d’un grand banditisme financier d’une famille de faussaires nés.

Aliou Sall, maire, président des maires du Sénégal et banquier, s’octroie 30% du pétrole de l’état sénégalais grâce à la complicité directe de son frangin, Macky Sall, président de la république familiale.

La fondation bidon servir le Sénégal, sans scrupules, se sert de l’argent de l’état à des soubassements politiques pour massifier l’apr, comme arrière-plan. La structure familiale de malfaiteurs et de blanchiment d’argent organise sa longue litanie des manières peu reluisantes.

Mais qui donc mettra un terme aux agissements offensants de Marième Faye, qui ne dispose d’aucun poste officiel reconnu par la constitution, mais devient la vraie présidente réelle de ce pays, laquelle sévit par l’abdication totale de son mari complice de ses dérapages massifs ?

La famille présumée de la rupture éclopée des Faye Sall, Timbo, Gassama et Cie se fait sponsoriser par la Lonase ; un scandale d’état parmi tant d’autres à n’en plus finir et à couper le souffle.

Macky Sall et Marième Faye doivent arrêter leur cirque qui consiste à piller l’argent de l’état du Sénégal pour leur propre compte bassement politique, au point que tout passe nécessairement par la fondation bidon Servir le Sénégal pour se servir eux-mêmes financement. L’argent des sénégalais ne peut servir des faussaires.

Est-il acceptable dans les grandes démocraties dans les pays de droit que les fondations des premières dames, puissent se faire sponsoriser par les structures d’état ?

L’état du Sénégal n’a nullement besoin de passer par la fondation bidon sévir le Sénégal, pour faire réélire à l’horizon 2017, l’exceptionnel maître des reniements.

L’état a l’obligation de garantir la santé et la sécurité de ses citoyens, sans bruit, ni fioriture, ni passer par cette structure aux connotations et aux contours totalement nébuleux.

Le président Obama peut-il passer par la structure de sa femme, sponsorisée par des organismes d’état sous forme de dons d’ambulances ou des médicaments ?

Qui est donc le directeur de la Lonase qui a attribué la somme de 80 millions FCFA, si ce n’est Amadou Samba Kane, DG, un militant de l’apr, un hal pulaar bon teint, ne doit sa posture qu’au corporatisme ethnique obsolète. Mais on est où ?

En lieu et place d’un plan Sénégal émergent, place maintenant à l’éruption d’une gouvernance « d’un Etat-Parti Familial » ou les méthodes fascistes d’une bande de vautours sans éthique, ni équité, qui ne s’encombrent, outre mesure, d’aucune moralité. Il n y a ni plus ni moins.

On aura beau créer et encenser le despote fraudeur nègre de service par le vacarme médiatique organisé au nom de l’hydre mafieuse, scandaleuse, contre la morale, l’éthique, sans équité, mais aux yeux de la majorité des sénégalais largement édifiés sur la trajectoire totalitaire, qui bande ses muscles et tire à vue sur tous ceux qui bougent. Une musique orchestrée savamment par la nébuleuse internationale prend toujours cause et fait pour les bandits déclarés en Afrique des fraudeurs.

Est-il besoin de rappeler que le poste de président de République fantoche en Afrique éternellement conquise, s’achète nécessairement chez le piano « bitim rew », toujours prépondérant sur le même terrain mis en vente, appartenant à la mafiafrique ?

Le serpent change sa peau, mais garde sa nature. En Afrique des nègres vassaux de service, sous tutelle du gendarme colonial dans ses gènes, la démocratie mondialiste de l’arbitraire et de la tyrannie, le droit international, se conçoit exclusivement par les seuls intérêts des puissances, en fonction de la bonne posture des moutons tondus, portant des chaînes aux cous, qu’elle parraine, pour son propre compte mesquin.

Le sous-développement n’est jamais une fatalité. La Corée du Sud, la chine, Taiwan, Singapour, le brésil, l’Afrique sud, le Venezuela, et Hongkong ont compris que le le sous-développement n’est jamais une fatalité. C’est une question de conviction, de courage, d’indépendance, d’intuition et d’esprit libre.

Cet opposant de circonstance de la dernière heure, aujourd’hui au plus haut de l’état sénégalais, est beaucoup plus riche que les présidents des pays développés. Un cas d’école qu’il faut absolument enseigner dans nos écoles, demain, lorsque la république sera libérée, libre, débarrassée des griffes d’un pantin irrécupérable.

Voilà un chef de clan dangereux, plastique, qui n’a rien obtenu de lui-même. Tout ce qu’il a conservé dans ses mains sales vient de ses postes de nominations. Il a une conception erronée, étriquée d’assisté dans sa nature, par son déficit patriotique très prononcé sur la chose publique.

Qu’on le veuille ou non, nous n’avons que des relais de l’esquille mafieuse, des impôts de l’administration fiscale, séculaire en permanence sur le même terrain du crime. L’Afrique des courbettes et des indépendances nominales à la solde des colonialistes, agit en toute impunité au nom du droit impérialiste. Il n’y a ni plus ni moins. C’est le cas de le dire à haute et intelligible voix.

ahmadou-diop1Aux yeux des intérêts protectionnistes colonialistes, les populations africaines laissées et lassées pour compte, ne doivent nullement jamais voir la couleur de leurs richesses immenses.

Par Ahmadou Diop

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