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Macky Sall/ 31 décembre 2016 : Autopsie ou profession de foi d’un professionnel menteur. Par Ahmadou Diop

Que nenni !  Comme  tout  traitre né,  félon dans l’âme, le  même mythomane nègre de service, loufoque,  déclaré, pirate  de son espèce en chair et en os,  utilise sciemment  des pirouettes, tente vaille que vaille pour  se donner une fausse  stature internationale qui n’a pas sa raison d’être,   enjolive bassement  et dresse un tableau calamiteux,  complaisant pour blanchir une gouvernance éloquemment catastrophique du début jusqu’ici.

Pour ce faire et croire pouvoir arriver à ses fins, comme toujours, depuis le regrettable soir  du 25 mars 2012, hélas, l’étrange homme des esclandres à couper le souffle, passé   maître  du   promoteur du népotisme et des folies dépensières,  et par qui tous les scandales arrivent,  colmate les brèches, arrondit  hystériquement les angles , tient à cintrer les coins de façon décousue,  à dessein d’imposer un plébiscite drôlement spacieux.  Ce que nous appelons une autopsie misérable au nom d’une Com’ de caniveau.

Pour cela,  le contrefacteur de référence  envoie aux charbons  sa bande  de conseillers – mercenaires  qu’il met à contribution. Lesquels se chargent  des basses œuvres pour couvrir un bilan nauséabond.

 Malgré le tollé généralisé contre lui, le personnage atypique des coups tordus et des boulettes  à propension,  s’en fout de tout,   continue   de peindre admirablement  sa gouvernance décriée   de la  saleté.

Monsieur Macky  Sall, il ne suffit pas d’étoffer,  d’égrener  à longueur de journées et  à tout vent  des  charrettes de chiffres  épouvantables,  que nous considérons comme étant une agression permanente,  pour nous tromper.

Les assemblages  de la tartufferie  ne peuvent pas  vous dédouaner de votre  culpabilité  avérée devant l’histoire. Voilà l’exercice auquel s’attèle tout fasciste de son rang.  Sous aucun prix, quoique vous fassiez, vous ne pouvez pas vous dépatouiller  d’une  magistrature nulle et non avenue. Tenez-vous le pour dit ! Nous ne sommes ni des  moutons, ni des gueux pour nous faire gober  vos salades  et n’importe quoi.

 Ce lui qui prêche les idéaux de paix,  la  démocratie, la liberté d’expression et  la  justice,  ou  fraternité humaine, les foule du pied, interdit tout et toute manifestation légale,   s’est renié sur son mandat présidentiel, qu’il   promettait de réduire de 7 à 5 ans,  par devers  et contre marées,  conne respecte rien, ment, fait le contraire de ce qu’il dit, imprime sa marque totalitaire.

Macky Sall : « J’ai aussi décidé de créer un Institut National du Pétrole et du Gaz pour doter notre pays des meilleures expertises dans les différents métiers du pétrole et du gaz »

Décidément,  le faussaire  ment plus qu’il ne respire.  A quoi servirait un  tel institut si l’état du Sénégal ne maîtrise pas toutes ses ressources qui sont entre les mains des impérialistes, qui nous oppriment ?

 En vérité, c’est la dépendance dynamique  de notre  économie  totalement extravertie, tendant à corriger par la ruse  les récessions des pays capitalistes. Où est la souveraineté  nationale, dans tout cela ? Il ne sert  à rien d’accoucher  à longueur de journées  un verbiage creux,  incongru, si l’action matérielle est invisible. Le discours idyllique  contraste avec la misère sociale chronique, crescendo, malgré l’abondance  peu convaincante.

En moins d’une semaine, après sa sortie lamentable sur le f CFA ,  qu’il estime bonne à garder, comme si rien n’était, le suppôt  se cherche une virginité imaginaire,  nous tambourine  pompeusement  avec ses  piteuses réalisations,  tels le centre international Abdou Diouf, inutile , très coûteux, auquel  s’additionnent  l’aéroport international Blaise, qui est reporté d’un an  et surtout     l’échangeur, pour ne citer  ceux là, que sais-je encore ?

 Le discours  du 31 décembre 2016,  comme tous les précédents,  mettent en relief  et fondamentalement  l’école du fascisme ambiant.  Lesquels  sont  aux antipodes à notes modes de pensées. On ne peut construire de solide sans l’apport de notre propre passé. Aucun peuple ne peut s’épanouir réellement sans la prise en compte  et  l’intégration  massive de ses propres valeurs culturelles, linguistiques, spécifiques, qui lui sont propres.

Plus les litanies se corsent de plus en plus, il en met  perpétuellement des couches épaisses, mieux c’est pour lui. Rien n’y fait,  rien ne tient, car  tout est décousu de fond en comble.

Évidement, il est facile de mentir et mentir sans vergogne par presse interposée de la sarabande ,  matelassée de servitude,  surtout  dans un pays  où   plus de 70 % de la population ignorent  totalement leurs propres intérêts,  qui   ne comprennent  rien  et  à qui on raconte des balourdises ou des histoires carambouilleuses , suffocantes à la pelle, point besoin  d’y prêter une quelconque attention.  C’est ça la lâcheté   d’un  imposteur, faussaire, qui ne s’encombre  outre mesure de moralité.

 Alors, où  sont donc  les  valeurs éthiques d’un donneur de leçons, lorsque la mal gouvernance intégriste, ethnique d’un régime  de capharnaüm ségrégationniste, moribond  d’apartheid,  régente le transvasement, la transhumance, la corruption labellisée et la démocratie familiale, clanique,  comme moyen de chantage ?

Mackysall peut-il vraiment  parler d’éthique ou d’équité,  alors que lui-même  s’est  enrichi  bassement par les raccourcis politiques et dans des totalement nébuleuses ?   Un fonctionnaire si gloutonné, plus riche que les présidents de la république des pays développés,   n’est pas synonyme de patriotisme, encore moins de nationalisme. La seule option qui compte, c’est de  renverser son magistère le plus  calamiteux, sans attendre une seule minute de plus, à défaut le mal ira en pis.

Qui peut parler de progrès, d’un état de droit, de justice sociale,  de transparence, d’innovation,  de qualité, de performance ou de dynamique économique  émergente, pérenne  en termes d’emplois   ?

 Le  gourou de la démocratie intégriste, familiale,  clanique, pithiatique,   nous parle de la mise sur pied d’un prétendu Comité d’Orientation Stratégique du Pétrole et du Gaz, le COS-PETROGAZ. Mon œil !  Quand l’hypocrisie nous tient.  Macky  Sall a bien signé le contrat  du pétrole, le  5 juin 2012.  En vérité, derrière un menteur professionnel,  se cache indiscutablement  un pickpocket qui se croit plus futé que l’ensemble des sénégalais

 Alors que le discours de piètre qualité  ne nous engage pas, mais son auteur coupable, désigné, le fraudeur, pris la main dans le sac. Car il n’y a aucune parcelle de vérité, ni de moralité,  tant soi peu. le traitre s’arc-boute  sur ce qu’il sait faire de plus répugnant par l’alignement d’un tissu tissuthèque et par l’étalage massif  de ses mensonges grotesques  et la forte dose des chiffres  faramineux, fantasmagoriques farfelus  bidon, tiennent lieu de contradiction.

La  découverte  de gaz et de pétrole ne profite nullement à  l’Etat du Sénégal,   qui n’en détient   que  10%,  mais  aux entreprises étrangères,  qui se taillent majoritairement   60%    et  au chef de clan,   qui en dispose   30 %, dont Aliou Sall, qui  n’est que le prête- nom de son frère.    Alors, que valent donc  les   discours lénifiant, mielleux,  qui  ne reflètent nullement la réalité ?

 Ce ne sont que  des contre vérités fumantes. Le   portait idyllique   du Sénégal, sous Macky Sall, donne  l’impression que le   pays de la Téranga  est beaucoup  le plus heureux que sous d’autre cieux.  Il n’en est rien. Tout est truffé de salades.

En 2012, le peuple souverain, indépendant libre, en a décidé autrement, en élisant un abruti  absolutiste, servile,  affabulateur, mercenaire.  le suppôt,  déclaré  qui  s’autoproclame  le parangon  la  rupture éclopée,  s’adjuge  et à la fois président de la république et le secrétaire général de son propre parti politique, cliniquement clanique  ? Le même  menteur, imbu de sa personne, au pouvoir, inverse le cours de l’histoire, ne défend que ses propres intérêts. Solennellement, nous disons que cet homme là, laisse apparaître nettement une respectabilité imaginaire.

La rupture, ce n’est pas non plus, nous tarabiscoter de slogans inutiles à longueur de journées avec le placement des beaux-pères, des beaux frères, des homonymes, des amis, des griots et des tailleurs à des postes de haute stature, qui contrastent parfaitement avec des compétences et des expériences bidonnées .

Une date charnière qui engage l’avenir du Sénégal. Législatives  2017 : parodie  Médiocratique  en perspective ?

Aussi curieux que cela puisse paraître,  le maître des Céans semble vouloir  changer la  date des législatives, pour mettre ses propres intérêts  crypto personnels. Le chef de parti, présumé président de la république, avait  tantôt annoncé dans un premier temps, la date du 29 juin 2017, tantôt, il  avait opté, semble-t-il,  pour la date du 2 juillet 2017.  Maintenant, il  se rebiffe et   veut changer  telle une girouette.  Que cherche-t-il donc ?

Il n’est pas question   que  les législatives  se fassent  le 2 juillet  2017.  Nous exigeons qu’elles se déroulent  sans conditions,  en avril  ou mai.   Pas question   qu’elles se passent   à la date suscitée.   C’est une condition sine qua non à la quelle  nous ne dérogerons pas d’un iota.  Nous avons été trop tolérants, trop patients. La coupe est pleine.

Nous n’avons  pas un véritable président de la république, mais un voyou- workat, menteur,  mercenaire, profanateur, qui est pris en flagrant délit,  la main la main dans le sac,  que personne ne peut ignorer, ni nier. Il faut dire tout haut  et à  la place publique,  les choses telles qu’elles  sont et non point qu’on veuille qu’elles soient, de façon que l’ensemble des citoyens soient édifiés,  informés  sur la nature d’un faussaire, né.

A défaut, il   faut que nous soyons  capables de le destituer pour hautes trahisons.  Car  l’histoire n’appartient qu’à ceux qui sont bons et non l’inverse.

Ce qui conçoit bien, s’énonce clairement.  En terme clair, la bonne marmite se sent par son odeur.   La date est-elle donc un hasard ?  Le mois de juillet est celui  des submersions torrentielles. Alors que dans les démocraties   transparentes,  salutaires des urnes parlantes,   toute élection véritable, se passe de facto  entre avril et mai.

Or, ici,  comme d’habitude, en Afrique, lorsqu’il  de la ribambelle  d’ élections présidentielles  ou législatives de cirque, lesquelles  sont célébrées en grande pompe  par  des  serviles faussaires incorrigibles, félons, nés,  évidemment dans ces conditions extravagantes,  les raccourcis  ténébreux, flagrants,   en disent  long sur les intentions massives  en bandoulière du cartel    des despotes,  et pour cause, n’ont  que des arrière-pensées savamment élaborés,  servent de contradiction  et de rapine politique, alambiquées, ne visent, en réalité,  qu’à tromper  durablement les citoyens, agencés  de seconde zone, ne jouent que leur rôle de figurants , qu’on veuille bien leur accorder.   Et le tour est joué. Et les   mécanismes douteux  passent comme une lettre à la poste. C’est la fatwa comme système de gouvernance peu orthodoxe.

 

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