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Macky Sall est-il un homme d’honneur ? Par Ahmadou Diop CPC

Macky Sall WarouMacky Sall  hesitant MalheureuxEn réalité, nous avons affaire à un caractériel qui s’est transformé en caméléon n’est pas prêt de changer.

Il promet plus qu’il n’en fait en réalité. C’est une girouette qui n’entend pas raison, agit selon ses pulsions pithiatiques inguérissables. Celui qui dénonçait hier, lorsqu’il en mauvaise posture, le récuse aujourd’hui, comme si rien n’était.

L’hommme n’inspire pas confiance et les sénégalais qui sont tombés des nues, s’inquiétent et ne savent plus à quel saint se vouer.

Pire encore, ses conseillers convertis en «dougourous», taillables à merci par sa presse interposée de servitude talibanisée, se chargent bassement de blanchir les mensonges cousus de fil blanc. Une exceptionnalité d’un pays étrange et à la renverse qui s’accroupit et fait allégeance par force face à un fourbe.

La réalité dépasse l’entendement rationnel. Un conte de fée. « Sunu Rewmilé » n’est jamais aussi bas que sous Macky Sall- « Charlie, l’affairiste Pétain Noir », l’Envoyé Spécial Colonial, en chair et en os, le symbole maléfique de la pégre mafieuse.

Un comble du vandalisme ! Si nous en sommes là, c’est parce qu’il y a dans ce pays plus de traitres que de patriotes. On ne récolte ce que l’on sème. Macky Sall au pouvoir, le Sénégal trinque et paye le prix fort.

Les gros bras qui parainent la marionnette, ne font pas du bruit, mais agissent dans l’ombre et sur le terrain du crime. Si l’Afrique n’avance pas, c’est parce qu’il y a des traitres unifiés dans son ventre, préférent se servir et asservir leurs semblables sur l’autel de la rengaine.

Macky Sall est l’humidifié – « Taxrip»–jusqu’au cou. Peut-il se donner une once virgnité ? Gouverner, c’est prévoir, c’est aussi faire preuve de transprence, d’éthique et l’équité par des preuves matérielles sur le terrain.

Les étalages des troubles à l’ordre public et les déballages massifs à couper le souffle nous édifient largement sur la nature de la république des fripouilles, constitutionnalistes, alimentaires, mercenaires, incultes et des menteurs professionnels, cartelisés.

Les voleurs ne dispuent qu’au moment du partage du butin. C’est maintenant chose faite. Cet homme n’a été élu que grâce à l’esclandre de ses milliards qu’il a volés..

Macky déclarait dans le magazine américain Foreign affairs : « qu’il a bénéficié des privilèges relatifs à sa postion d’ancien premier ministre. L’homme apparaît n’avoir jamais de devoirs, mais exclusivement des droits. Une curiosité. Voilà donc à quoi ça sert d’élire un pickpocket. !

Tant que l’issue des scrutins de pacotille se jouera dans la cour des présidentialistes, multimilliardaires des postes de nomination TAN SA BULA NEX – des notables imaginaires, croire à un Sénégal émergent participe à une grosse arnaque. C’est une simple vue de l’esprit.

Un visionnaire est un dirigeant, méritoire, responsable, intuitif, charismatique, gratifié par des qualités intellectuelles, remarquables, dont l’activité repose essentiellement sur l’intelligence, l’honnêteté, l’éthique et l’équité, qui a des capacités de réflexions prodigieuses de haut niveau sur la sphère publique, et qui propose des solutions appropriées, pérennes, où défendre des valeurs par rapport à son intime conviction.

Macky Sall, le pâteux méprise de façon indécente les citoyens auxquels il est redevable. Curieusement, le réfractaire à la démocratie, tient mordicus, est flegmatique aux critiques justes des sénégalais qui le rapppellent à l’ordre.

Et pour cause. Un tel pitre de son espèce n’a la moindre étoffe pour diriger le Sénégal. Un président de la république, qui ne respecte pas sa parole, ne mérite aucun égard.

Un président de la république oublieux, qui dérape à tout vent, écrabouille, abuse lâchement et dangereusement de la force publique n’est pas digne de son rang..

Il convient de lui dire qu’il ment, car il n’est pas au-dessus des lois, ni un prophète encore moins un dieu. Un président est tenu de respecter ses obligations. C’est un devoir moral.

Celui qui préside aux destnées de tout unpays, doit avoir de la retenue, le sens de l’honneur et leprouver matériellement et dans l’action tangible, le dévouement, être serviable, l’ouvert d’esprit, la lucidité, l’humlité, la tolérance, le respect de sa parole donnée, la sagesse, la courtoisie et la rigueur, l’intelligence par le poids des mots.

Le président de la république est un titre et non une fin en soi. Un tel personnage doit savoir raison garder et prêcher la bonne parole, laquelle inspire la confiance au peuple. Tout prétendu dirigeant qui n’accepte pas ses régles élémentaires, n’est pas méritant de sa posture.

Le premier magistrat de la république ne peut ignorer que gouverner, n’est pas synonyme d’un chèque en blanc. Il doit fournir le meilleur de lui-même. L’éthique et l’équité sont ses meilleurs alliés qui garantissent sa crédibilité.

Un président de la république a des devoirs et des droits. Rendre compte de son bilan positi ou négatif n’est pas un cadeau offert au peuple, mais une prescription régalienne, pour tout chef d’état responsable.

C’est un droit inaliénable, une exigence, voire même un sacerdoce. Les citoyens qui l’ont élu, doivent savoir. Esquisser ses questions fondamentales ou se prendre pour un boxeur et cogner pour sévir, en bandant les muscles,

L’arrogance euphorique d’un Etat apr : un géant virtuel de circonstance aux pieds d’argile.

L’Etat -APR n’est guère représentatif dans l’échiquier politique sénégalais, son poids n’est que virtuel en termes d’adhérents. Toutes les gesticulations stériles de Macky Sall ne visent qu’à massifier un parti chroniquement déficitaire qui est cet éméché, cliniquement clanique, n’a que des invectives, mais dispose réellement pas d’assises politiques. L’exceptionnalité sénégalaise a crée un président de circonstance.

Le féticheur n’est pas bien préparé pour le poste de la république, car l’homme manque cruellement de vision. C’est un parti de famille pire que le pds qu’il a succédé par la ruse et sur la base d’une surmédiatisation obscure des lobbies tapis dans l’ombre.

Pour la première fois dans l’histoire de la république, l’opposition est politiquement plus forte que l’apr au pouvoir. L’opposition doit mener la danse plutôt d’être la remorque de service et des sinécures.

Comment expliquer la ruse machiavélique, maçonnique, représentée par l’étrange animal sympathique dans un parti politique ?

Depuis sa défenestration foudroyante de son poste de président de l’Assemblée Nationale du Sénégal, de puissants lobbies extérieurs aux motivations politico-financières cachées, ont réhabilité leur homme, en l’élevant au grade de Grand Officier de la légionnaire d’honneur de la France en 2008, dans les jardins de l’ambassade de la France à Dakar.

Depuis lors, l’homme continue de bénéficier allégrement de solides appuis extérieurs, tissait à petitx feux doux sa toile, dans le monde fermé, ombrageux de la part des oligarchies internationales financières, estampillées : la franc-maçonnerie de chefs d’état africains au fur et à mesure qu’il gravit des échelons dans les nominations incommensurables par l’étourderie de celui qu’on surnomme, le « Pape du Sopi », aveuglé et anesthésié par la magie noire, ne voyait rien venir. Maintenant, il a bien vu quand c’est trop tard, pour bien agir et corriger le tir.

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