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Macky Sall, l’Autre « Mbs » en Miniature dans les valises des Bailleurs Coloniaux ? Par Ahmadou Diop.

Le Sénégal est tombé plus que jamais. On a déboulonné par les urnes parlantes  la pièce dite usée,  mais elle  a été remplacée  par une autre plus nocive, qui foule du pied et la démocratie et les libertés d’expression, gagne à tous les coups et par devers.

Le comble est qu’une certaine servilité,corrompue,  qui fut jadis très loquace en matière de la liberté de la presse, change  extraordinairement son fusil d’épaule. Je veux parler de Madiambal Diagne, l’ancien greffier, s’adjuge la qualité de journaliste professionnel et pour lequel je dénonce ses prises de position partisanes pour le soldat  caïd « nédo ko bandoum » et  ses crimes tous genres : une  association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste en place.

Sous le titre emphatique, très élogieux d’une insolence sans nom, le maître des dithyrambes titrait pompeusement : « MackySALL, un leader est né » signé Madiambal Diagne. Mon œil ! L’article nous avait laissés pantois par son caractère ludique.  Le ^personnage curieux   a été mis en prison le 9 juillet 2004, à la prison centrale de Dakar pour « diffusion de correspondances et de rapports secrets » et « diffusion de nouvelles tendant à causer des troubles politiques graves ».

Pour rappel, sous le régime liberticide, beaucoup d’eau a coulé sous les ponts. Et pour cause.  Quelques exemples foisonnent et pleuvent jusqu’ici. Car Amy collé Dieng,  avait été arrêtée arbitrairement  et tombe sous le couperet de l’article bidon 80  de la constitution, par son franc-parler et le bloggeur tchadien a  été expulsé pour situation irrégulière au Sénégal, atterrissait à en France et à Paris. Une incongruité. Un africain est étranger chez lui. Il s’agissait tout simplement d’une solidarité  de classe  exceptionnelle avec le régime dictatorial  du seigneur tchadien, Idriss Déby.   Même chose  Kémi Séba,

 Militant pour la suppression du franc CFA, a été expulsé à son tour du Sénégal, pour avoir brûlé en août un billet de 5000 francs.

Pour autant, Madiambal diagne et  la presse   n’ont jamais osé  manifester  à la place publique  contre les dérives exponentielles du régime prédateur pandémique en place fantoche ethnique  du Big brother, dont les méthodes fascistes, brutales,  sont plus que décriées, à quelques encablures de la présidentielle de févier 2019, notamment sur le Code des communications électroniques et les libertés fondamentales de conscience ?

En vérité, il y a  donc deux poids et deux mesures.Manifestement,  l’aide abondante à la presse servile – un crime- est passée par là, n’est-ce pas ? Un scandale d’Etat parmi tant d’autres. On a dit et répété que la dépendance politique et financière de la presse constitue une menace réelle pour la démocratie. Mais ici, la réalité est plus que cruelle.  Aujourd’hui,toute manifestation légale, est présumé un crime de lèse majesté ou de trouble à  l’ordre public, constitue de facto un délit automatique, pour oui ou pour un non.

Et ce n’est pas tout,  puisque la constitution moribonde telle qu’elle est conçue en Afrique chez  les félons et des carpes,  surtout au Sénégal, est taillée sur mesure pour l’honneur d’un homme, a droit de vie et de mort sur n’importe quel citoyen ou citoyenne. Il est établi que nous ne sommes pas dans une démocratie, mais dans un système totalitaire permanent dans lequel le président de la république est un véritable monarque déclaré dans les faits. la rupture sobre, vertueuse,transparente et efficiente, une grosse arnaque. «  La patrie avant le parti ». Rien qu’un vaste  embrouillamini mystificateur de la part d’un affabulateur.

C’est un Etat hors-la loi  au sein duquel  le tonitruant tient mordicus à laver à grande eau ses crimes imprescriptibles le prouvent matériellement  sur  le crime.  À combien s’élèvent les emprunts obligataires qui ne servent qu’à corrompre librement les consciences abîmées ? Sur l’info Autrement de notre radio ruepublique.com, nous avons fait à maintes reprises  l’état des lieux de la mal gouvernance ethnique.  Quand les acteurs politiques nous miment dans nos analyses  politiques de gros calibres, nous donnent raison. Mais nous le disons tout haut en toute humilité.

Plus qu’un village entier  aux mêmes patronymes particuliers s’accapare de toutes les structures de haut niveau que compte l’état sénégalais, au point que la promotion sociale rime avec la même ethnie. Laquelle est présumée plus compétente que toutes les autres sont  reléguées au second plan.

En vérité,l’immoralité et les crimes d’état deviennent un gagne-pain prime sur tout. Aucun contrôle n’est exercé contre le pouvoir exécutif qui est à la fois juge et partie.

JamalKhashoggi a été  drogué avant d’être assassiné,puis déchiqueté en Turquie,  mais certains politiques  américains et la CIA, paraît-il désignent le coupable  MBS.  Et le trompettiste  le protège pour des intérêts financiers des pétrodollars. Et les autres aussi utilisent les mêmes paramètres.

Le dictateur fait  la même chose,   emprisonne à tout vent pour rester le seul maître à bord. Tous ceux qui lui font de l’ombre, sont traqués et accusés d’escroquerie, envoya nos soldats en Arabie des chairs à canon sans autre forme de procès.  Le  caïd en place  porte la même poisse,  le même taux d’ADN et la même pantomime. Etrange  ressemblance des méthodes fascistes par ses dérives insupportables,  mais passent sous silence ! Une incongruité décapante !

Macky Sall HIMSELF assassine les libertés fondamentales.  Car les radars des distributeurs de la démocratie sont sourds, aveugles et muets, quand il s’agit de la défense des  voyous que l’on tient   mordicus à blanchir et  à laver  grande eau. Seules comptent   les parts de marchés des entreprises coloniales et les emprunts obligataires se perlent de plus belle  que jamais.

Le gouverneur de la France, le réfractaire àla démocratie des clics, l’inimitable  MALFAITEUR né, «  MBS « en Miniature, en chai et en os, s’est travesti en multi récidiviste, est-il  en intelligence  permanente avec les bailleurs coloniaux ?

Alors, le malfaiteur professionnel tous genres, agit sans remords ni vertu, ne dispose d’aucune parcelle de moralité peu ou prou.  Les  prétendues élites criminelles dans l’âme par ses multiples actions sur le terrain du crime. Bassirou Faye, Fatou Matar ndiaye, Fallou Sène,  pour citer que ceux là ; et j’en passe puisque la liste incommensurable s’allonge.

Les bailleurs savent  eux-mêmes à qui ils ont affaire, n’ignorent ni la campagne électorale, déloyale du nègre de service en place.  Ils connaissent parfaitement le matelas financier,  l’ignorant, qui est passé  maître de l’esbroufe et des rapines. « Le Berger Colonial «  est loin d’être le seul ? Il y en a la pelle.  Les actionnaires  ne  sont   pas riches, mais  sont  plutôt développés, qu’ils prétendent eux-mêmes et  par vantardise,  restent apparemment des complices  directs, en osmose  totale avec le vacarme insolite du valet, larbin en place.   Il y’ a nuance entre la richesse et le développement, à ne pas confondre.

Lequel  adulé,  se dénomme le monstre acariâtre  maudit, béni oui, oui,  tout comme Ouattara, l’ivoirien de la dernière,  le pédigrée indigne, ethnique, bénéfice des services après vente des leuco dermes, est l’une des  meilleures vaches à lait de la démocratie mondialiste de l’arbitraire et de  la tyrannie.Ce n’est ni la liberté, ni  la démocratie,ni le droit inaliénable des peuples qui les intéresse, plutôt leurs  propres dividendes financiers. C’est une question de survie pour eux.

Plus les 14 pays africains dits honteusement francophones empruntent plus,  plus ils sont endettés, plus ils reculent, plus les taux d’intérêts massifs exorbitants,se corsent. C’est la règle logique de la dépendance systématique.

Rien n’est un miracle dans ce monde bizarre. Et pour cause.  Golo dibay bamboune didoundé- point n’est besoin d’être  énarque pour comprendre la montée en puissance des  pays préteurs.   C’est un secret de polichinelle. Ils ont l’art de développer des  politiques mécaniques,financières, de sorte que les  pays du sud restent éternellement soumis et  sous la dépendance dynamique pérenne.  

Sachant que les gouvernements passent, mais le peuple,  trinque et reste, est  criblé d’impôts,  de taxes de toutes sortes, suite aux  incommensurables  plans structurels de la banque mondiale et du FMI. Ce qui retarde notre décollage économique, plombe en même temps  la santé et l’avenir du Sénégal. C’est sciemment voulu. Où a-t-on vu l’impérialisme aider l’Afrique, après l’avoir pillée de toutes ses richesses naturelles de fond en comble depuis des siècles, et jusqu’à nos jours ? C’est un non sens.

 Une exclusivité des impérialistes prétendument versus «  coopération tempérée ». L’objectif visé, c’est de créer leurs banques centrales européennes. Pour ce faire,, Ils créent ce marché, où chacun doit apportera  sa part financière et, ce parla règle de la   solidarité  réciproque.

Les richesses étalées des bailleurs des fonds et leur puissance  s’expliquent  éloquemment par les parts  de marché, qu’ils arrachent  et par  leurs valets  bénis oui-oui,interposés,  tous dociles et serviles.Ainsi, donc ils amassent des fortunes immenses en provenance  des pays soumis,notamment en Afrique des suppôts, présagés de droits divin tous arrimés au pré-carré du principal gendarme colonial en place, le tout-puissant.

On l’oublie souvent.  Les bailleurs de fonds sont les alliés naturels  des médiocres alignés,demeurent plus que jamais  leurs  supports politiques.  C’est connu.




 

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