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MACKY SALL, le Tyran : le Bourreau du Peuple et sa Police de la  » Stasi ». Par Ahmadou Diop

 macky-sall-le-tyran-le-bourreau-du-peuple-et-sa-police-de-la-stasiSans attendre une seule  minute  de plus, nous le disons  tout  haut qu’il convient  maintenant de mettre  hors d’état de nuire  le délinquant Macky Sall. Il  n’y a pas d’autre alternative possible.

Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, les méthodes fascistes de  la justice  et la  police  de Macky Sall,  le profanateur, dit  «  l’affairiste Pétain noir »,  sont  aussi pires ou comparables   à  celles de la Stasi.  Il faudrait que nous arrivions à mettre un terme  définitif  aux cavalcades pour  nous libérer des griffes  du régime  fantoche de la terreur  à répétitions de cet  agitateur et sa bande de ripailles, fripouilles coalisées,  qui nous continuent de narguer et nous enquiquinent, comme si nous sommes des moins que rien. On  en a assez. La coupe est déjà bien pleine. Quand le vase est plein, il déborde. Point barre.

La manif légitime du 14 octobre 2016 à Dakar a tourné au vinaigre, car  la police de la sarabande, docile, estampillée ethnique, ségrégationniste d’apartheid de la Stasi convertie en chiens de garde s’accommode, obéit promptement au doigt et à l’œil du despote encombrant, brutalise automatiquement  les  citoyens libres,  qui sont  mis sans ménagement  dans le   panier de crabes.  Tout sert de fourre-tout  et  de  prétexte  bidon pour interdire habillement  tout et n’importe quoi.

Qui trouble  vraiment l’ordre  public, si ce n’est le fasciste,  renégat, qui est arrivé par effraction au sommet  de «  l’Etat  mackysallisé » ? Répression violente de   la manif du peuple : une compilation de  crimes  exponentiels parmi tant d’autres, ne se comptent plus, depuis hélas, le triste  regrettable soir, historique  du 25 mars 2012.

Chaque jour que dieu fait, correspondent  ses cueillettes surréalistes  de jour comme de nuit, à tout vent. Tantôt  l’alchimie thématique  de la lutte contre   du terrorisme invisible autorise les arrestations massives, abusives  et  arbitraires au nom de la tyrannie contre  des citoyens,  innocents, qui  paient    un lourd tribut ce dont  ils sont accusés, et  qu’ils  n’ont jamais commis,  ni de  près, ni  de loin, tantôt,  qu’importe donc ,  le tout répressif continue, sans répit, identiquement, car   tout est  prétexte de trouble à l’ordre, pour servir  d’excès de zèle à la police talibanisée, qui est  irrémédiablement  bien « travaillée.  Plus personne n’est plus  à l’abri de rien. C’est le sauve-qui- peut. Jusqu’où ira donc le tyran ?

Le droit de marche est écrit de marbre dans la constitution même moribonde, soit elle.  Le premier droit  inaliénable  d’un peuple, ne peut être en aucun un délit. Celui qui le bafoue allégrement, commet  inéluctablement un acte délictueux, offense tout le peuple,  qu’il tient à assouvir par la trahison.  Toute  personne  qui  bannit les libertés fondamentales, acquises, d’où qu’elle puisse venir, où qu’elle se situe,  doit être poursuivie  sans faiblesse dans les tribunaux libres  du peuple pour le peuple et par le peuple.

L’auteur du Casse du siècle au Sénégal,  transposé en  nègre de service,  professionnel  profanateur, ou   plus exactement en éternel traitre, coupable désigné,  ENDURCI – en majuscule, le taciturne, l’espion-mercenaire, tonitruant,  en chair et en os,  le non repenti,  par son mépris affiché,  incurable,  n’en démord jamais, tient mordicus,   n’en a cure, crache, empiète dangereusement sur le droit inaliénable  des citoyens,  qu’il piétine,  tue dans l’œuf  et réduit en charpie  toute capacité de résistance. Il faut le voir pour le croire.

Décidément, on a  entendu tout dans ce pays étrange et à la renverse.  Ceux qui faisaient preuve de tintamarre et  dénonçaient le  défunt régime  tyrannique d’Abdoulaye Wade, changent curieusement  leur rhétorique de caniveau, tiennent  vaille que vaille à défendre  piteusement  l’actuel magistère est  pire que tout.

La rhétorique  fasciste  des mercenaires –rabatteurs-rats du régime crapuleux,  hitlériens  de Macky Sall, le droit de marcher  est  automatiquement assimilée à une offense bénie. A contrario, lorsque  le petit-Mussolini, poltron,  toute interdiction et toute contradiction politiques sont légitimées régulièrement.

L’incongruité abrasive  des girouettes change son fusil d’épaule, remodèle  sa bassesse suintante  en fonction de ses  rapines dégoulinantes, alors que ceux  là mêmes  qui  se déchaînaient  à la moindre  incartade à  longueur de journées,   mettaient   quotidiennement  au pinacle l’ancien régime, qui   fut  traité de tous les noms d’oiseau ,  pour son grade,  avec  des couches épaisses et  sur fond  de piment bien épicé.

Le  label de la démocratie mondialiste de l’arbitraire et de la tyrannie s’ingérait  directement  sans retenue,  ni modération,  ni humilité, était  très piquant et   loquace hier sur les affaires sénégalo-sénégalaises, en particulier,  les manifestations à la place de l’obélisque en 2011,  se tut par son silence coupable  .

 Il faut souligner  qu’à  l’époque des faits, qui ont marqué les esprits phagocytés, les  manifestations à tambour battant   s’étaient  déroulées dans une  ambiance particulière,  à couper le souffle et  à grand tapage médiatico-politique, grâce aux amplitudes  manifestes de l’affluence, surabondante nauséabonde,  malgré son apparence de caniveau,  reste plus que jamais,   en réalité sur les  attaches      de  la propagande de référence mondiale,  timbrée :  la cheville ouvrière   de l’expansionnisme  « soft ».

Pour rappel, contrairement aux idées reçues,  la servilité  indigène de carpette, affamée, matelassée,  stérile, reproduisit, hier,  en direct  l’événement  à grande échelle planétaire internationale,  fut ignoblement  harnachée par des combinards-politicards, véreux,  sous l’habillage de la droiture, se convertirent en  énergumènes corporatistes dégonflés, ne défendirent nullement les intérêts supérieurs de la nation, mais   leurs propres causes crypto  personnelles, mesquines.

 Que s’est-il donc  passé au soir du 25 mars 2012 ?  Car  les faits matériels sont têtus.  La pantalonnade  de la  servitude locale, affamée, ou l’intellectualisme du  symbole  fourbe  de la désinformation et la manipulation, s’est convertie  lamentablement  en  porte-parole de la charogne, représentée en la personne du  tyran envahissant,  avilissant, agit allégrement et visiblement  sans éthique, ni équité,   promettait l’enfer au gouvernement d’Abdoulaye Wade, auquel il a cheminé  pendant 8 ans,  s’est enrichi illicitement dans des conditions  totalement nébuleuses.

L’éternel détrousseur  des deniers de l’état sénégalais  a eu  l’outrecuidance  de vouloir  créer  ouvertement un gouvernement  parallèle, en cas de victoire de  celui qui l’a mis  à l’étrier  par son distraction étalée à la place publique . Tout peuple mérite ses dirigeants,  ne récolte  que ce qu’il a semé.  Pas n’est  besoin de chercher loin. C’est la règle naturelle.  Que voulons-nous ?  Tout se tient  en politique.

Dans  notre   pays étrange et à la renverse,  où  l’illettrisme habituel, s’accommode  en toute logique  avec la cavalcade  d’une  constitution moribonde,  contre productive,  il va sans dire qu’un  tel même  peuple mal préparé,  immature politiquement,  perde  automatiquement  et à coup sûr, son pouvoir et sa souveraineté nationale, dés lors qu’il  est manifestement  comptable de sa descente aux enfers, pour avoir élu  mécaniquement son  bourreau.

Lorsque la majorité des citoyens par leur ignorance criarde, méconnaissent  totalement les mécanismes et les arcanes politiques, ne votent ni  librement, ni rationnellement, mais votent par consentement   mécanique et  par guidage  suiviste, selon la trajectoire d’un  imposteur  habile,  ne  comptera  nullement  mettre  en action  matérielle ce qu’il promet, car ce qu’il dit aujourd’hui, il  le dédira  demain, sans vergogne, lorsqu’il aura les manettes.

Le renégat  sait d’avance  qu’il a  en  face de lui  un auditoire acquis,  candide,  qui est  prêt à tout,  avale tout et n’importe quoi. Il va sans dire qu’il en soit toujours ainsi, tant que l’éveil consensuel ne sera pas de mise.

Autrement dit, le vote chez  nous, est par définition, contre nature,  ne reflète  nullement   l’adhésion du peuple, mais porte  indiscutablement  la loi tyrannique  des  tout-puissants lobbies- détrousseurs,  qui s’arrogent  grossièrement  la qualité de menteurs  professionnels, organisent le huis clos de  la mascarade électoraliste en bande organisée.

Il faut  que nos ayons des élites altruistes, intuitives, capables  de créer  le déclic national  pour l’éveil des consciences  à mettre sur pied  les conditions dynamiques en vue  d’une impulsion  par  rapport à la hauteur des enjeux politiques,  pour que les masses populaires soient éduquées, formées à bonne école, prennent en compte leurs propres intérêts  légitimes, puissent  s’approprier   elles-mêmes des affaires de la cité, bec et ongles, à l’instar de la révolution chinoise,  qui fut  pionnière  sur la  question vitale.

Alors,   face à un tel  régime,  lâche, atypique,  inquisitoire,  réfractaire à la contradiction, qui interdit tout,  réduit tout à lui-même, abuse , use de la force publique,  nous n’avons d’autre choix que  de mettre fin à  son mandat illégitime  par  la légitime défense, sans que nous ayons un quelconque  compte à rendre à  qui que ce soit, car le Sénégal est souverain, libre et indépendant.  Il faut cela que cela soit clair !

A quoi bon d’élire un félon ?s  En politique, l’erreur se paie cash et  nous en payons  aujourd’hui, le prix fort. Riposter  ou périr, ou demeurer vainqueurs  contre l’autoritarisme ?

Macky Sall, fut  peint artificiellement sous les défroques victimaires.  Le virtuose démentiel de classe exceptionnelle,  le tortionnaire, impulsif,  le schizophrène, pathologiquement atteint,  converti en mercenaire  a  réussi une prouesse titanesque, s’est extraordinairement  hissé  au sommet de l’Etat de  sénégalais à cause de  l’étourderie généralisée des citoyens tous accroupis et dressés en coupe réglée, qu’on le veuille ou non,  sont apparemment  sur les attaches du petit  Césarisme «  céleste »,  se croit  immortel , surhumain et  invincible.

Le soldat de la Françafrique en service commandé, envers et  par devers contre tous, agit   en libre cours, selon sa  fatwa imparable et ses coups pesants  les plus tordus, tue délibérément la liberté d’expression, la  démocratie et tout  le peuple à petit feu,  qui est peu réactif, lui laisse le terrain. Sa police convertie  d’abruti, ragaillardie,  déchaînée,  qui  n’a plus rien à envier aux méthodes  de la Stasi, a   la gâchette facile, tire à vue pour un oui ou pour un non pour faire plaisir  abjectement à l’envoyé Spécial Colonial, l’affairiste Pétain noir de la servitude inimitable. Sous le magistère  bancal du médiocre de référence,   les crimes abyssaux  de  la  lâcheté purulente de  toutes sortes se compilent et se corsent de plus en plus, sans que personne n’ose lever le petit doigt pour les dénoncer.

On ne négocie jamais avec un lâche et qu’il convient maintenant  de le traiter comme tel pour le faire taire définitivement et l’emmener directement  à Rebeusss, menottes aux poignets.  Macky Sall  est  le commanditaire direct des prisonniers qu’il blesse, tue par l’entregent de ses auxiliaires de service, qui sont devenus des flibustiers, agissent  promptement,  s’exécutent aimablement.   La cour  Royale de justice de carpette, vassalisée, corrompue,  coupable,  et dont antipatriotisme visiblement  prouvé sur le terrain du crime, nous  donne la mesure d’une bande  antinationaliste,  se travestit allégrement  en instruments de la tyrannie, s’adjuge juge et partie par sa déconfiture, fait profil bas par sa lâcheté déconcertante, face  aux turpitudes  chevaleresques  du  règne guignol le plus scandaleux  d’un régime calamiteux, fantoche, est  indiscutablement condamnable et effroyablement moribond, jusqu’à l’abysse,  s’arroge et s’accommode   de la  charogne,  brille hystériquement   dans l’absolutisme, le  brigandage  ordurier  par sa haine  viscérale  contre le peuple, estomaqué,  qu’il  continue de trahir,  chaque jour que dieu fait,  pour croire pouvoir  le déshonorer et l’atteindre dans sa chair et le mettre dans  une bouteille.

En toute logique, celui qui interdit tout, nous gouverne d’une main de fer, garantira incontestablement  son  impunité et  imprimera  sa marque de fabrique  totalitaire,  n’acceptera  nullement jamais  le verdict des urnes  de demain.

La répression, les mensonges,  le banditisme  à tout vent, tout azimut,   les interdictions sont devenues les litanies d’une gouvernance  d’apartheid,  dont la trahison et l’ignominie constituent ce qu’il est convenu d’appeler un secret de polichinelle  de la part d’une caste de ribambelle grossièrement unifiée.

 Les monstres mettent dans les consciences sénégalaises phagocytées, selon laquelle le pétrole et gaz du Sénégal sont source de division et de guerre, au point que le peuple  laxiste doit se plier à la règle tyrannique pour ne rien faire faire !

Voilà  donc le rituel d’un  fatalisme ubuesque  d’un  escroc notoirement connu : je  veux parler du chef de service, en l’occurrence, Moustapha Niasse, chef de l’entreprise pétrolière Oryx, est le cireur des bottes du despote au palais ethnique, ségrégationniste d’apartheid. L’archétype personnage qui s’est  lui-même enrichi miraculeusement par les raccourcis politiques, déclare  sans ambages : «Sans gaz et sans pétrole, le Sénégal a tenu le cap depuis 1960». Un tel  discours de piètre qualité ne souffre d’aucune discussion possible.   Quelle est notre lecture sur l’homme ?  L’auteur de tels dérapages en continu, laisse lire  entre les lignes ceci : «  vous les sénégalais, nourrissez-vous donc  d’eau fraîche  pendant  que lui-même,  Macky Sall – Aliou Sall et Cie, vivent  éternellement des ressources du Sénégal.

L’apocryphe  Président de l’assemblée nationale,    présumé  deuxième personnalité de l’Etat,  est-il donc à la hauteur, encore moins  un redresseur des consciences ?

Une telle rhétorique  immanquablement  cryptée, obscure,  est synonyme d’abdication, ne vise en réalité qu’a blanchir  par la ruse,  la confiscation totale  du pétrole et gaz du Sénégal  par Macky Sall et son frangin. Ce dernier    n’est qu’un prête-nom, comme tant  d’autres.

Selon la vision étriquée de Moustapha Niasse, cela signifie clairement  que  partout en Afrique, où poussent des gisements immenses  de pétrole et  d’autres ressources,  les populations africaines ne doivent nullement  voir la moindre  couleur  à l’échelle continentale.

 

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