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Place À une Nouvelle République, la vraie de l’ivraie ! (Par Ahmadou Diop).

Place À une Nouvelle République, la vraie de l’ivraie ! (Par Ahmadou Diop).
Pour dire la vérité, rien  que la vérité éternelle,  face à un récidiviste endurci,  qui a eu l’outrecuidance  d’organiser son cirque référendaire, trompe-l’œil, dont les coups bas  n’a  jamais échappé  à personne,  tant par son caractère attentatoire, que massif, rempile  mordicus à  placer par la ruse, un conglomérat de déchets recyclés, métamorphosés, estampillés  sous le sceau  HCCT- clientéliste par définition, réformé habilement  le Sénat Bis, s’est converti en instrument politique  n’agit  que sous  le ndiguel obscur  du chef de l’exécutif.
Je parler de Tanor Dieng, qui est  ce logiciel  si bruyant, catapulté en tête  de cet embrouillamini mystificateur,  n’a aucune existence légale juridique.

Benno bok yakaar-bok wor Sunu Rewmi : la courroie, baptisée  l’entité  des manières  aléatoires, représentée par  la cohorte  des mercenaires  arrivistes, opportunistes,   tous  convertis sous   la   nébuleuse  n’ont  le moindre iota patriotique, politique matériellement prouvé .

Sous la bénédiction  du chef de clan juge et partie, qui est  la fois et  président –monarque de la république  des leurres et le Secrétaire général de son propre parti politique, cliniquement clanique,  s’arroge piteusement  le parangon de la rupture des mots,  dispose  automatiquement d’une caisse blanche extensible, que j’appelle  à juste titre l‘éternelle  machine toxique à corruptions massives à  et haut débit.

Qui peut donc  vraiment parler d’un  état civilisé, organisé, impartial ?  Qui peut  croire à des législatives  apaisées, transparentes et démocratiques dans un contexte  particulier, de turbulence,  d’inondations, d’intempéries programmées intentionnellement et pour cause ?

Depuis les fameux  événements de  62 –ce  triste coup d’état  historique contre Mamadou Dia, l’ex président du  Conseil- depuis le parlementarisme n’est  plus  un sacerdoce, demeure plus  que  jamais   une simple vue de l’esprit, tendant  à tromper durablement les    citoyens grugés,  que l’on relègue  au second plan.

Car  le député est totalement vidé de sa substance, perd sa raison d’être et son existence.  Les prétendus parlementaires-dougourous- politicards fonctionnaires  se réduisent  mécaniquement en instruments débauchés, tous coalisés en bande organisée.   Ce n’est pas de a démocratie, mais de la tyrannie inacceptable.

 En effet, il n’y a plus de représentants  du peuple par le peuple et pour le peuple, mais nous avons en place  des prestataires  de service  asservis, attardés, corrompus,  déculottés,  tondus , roulent pour les beaux yeux du monarque tout puissant.

Le présagé  dit  président de l’hémicycle en  tant que le cireur des bottes de l’autocrate  se complait, se ridiculise   et se  réduit dans son rôle  du chef de service du maître provisoire  du palais.

Vouloir exiger à tout prix  à tout  candidat  aux élections présidentielles une caution de 65  millions francs  CFA : un  scandale et   un déni  de justice et de démocratie. Il n’y a ni plus ni moins.

 Or, ceux qui ont imposé cette mesure abracadabrantesque, ubuesque,  dans le secret des dieux,  ont  tous bénéficié des   deniers de l’état,  qu’ils ont volés au su et au vu de tout le monde.  L’écervelé qui est au sommet de l’état ne nous démentira jamais en sait quelque chose, pour avoir des privilèges. Indus.

Alors,  pour juguler la prolifération  à tout  vent des candidats combinards, il faudrait organiser impérativement   des primaires en bonne et due forme, si nous voulons  pour réguler les impétrants farfelus à l’instar des grandes  démocraties des urnes parlantes dans l’action matérielle sur le terrain.

Contrairement aux idées reçues, malgré les apparences, le vote  majoritaire sénégalais reste indiscutablement  suiviste,  s’apparente irrationnel, ne reflète nullement  une adhésion, encore moins de conviction politique, qu’on le veuille ou non.

La restauration du régime parlementaire s’impose maintenant, devient un impératif absolu auquel nous tenons  comme la prunelle de nos yeux, si nous voulons, demain,  un véritable état de droit, de justice et mettre un terme définitif  à l’hégémonie offensante du président-monarque,  qui diligente tout par derrière et toutes les opérations sur commande par l’entregent de ses auxiliaires de service, qui agissent au doigt et  l’œil  de celui-ci.

Les éternels délestages massifs intempestifs, subversifs, extravagants  tout azimut  du courant  des surfacturations injustifiées

concomitantes, simultanées  avec et les cassures d’eau  permanentes érodent  de plus en plus le moral des citoyens devient  si bas qu’il ne l’était.  Le liquide rarissime  précieux,  est insalubre, contient   du plomb menace réellement  la santé de nos concitoyens,  surtout les campagnes  rurales qui manquent cruellement d’infirmeries de proximité, pendant que les abrutis aussi riches que crésus se font soigner  en Europe et aux frais de l’état.

Pour demeurer éternellement au pouvoir, le changeant   se  sert  lâchement  des moyens de l’état et en abusent brutalement, tendant à éviter toute contradiction et tout traitement  des informations.   Voilà l’exercice  auquel  excelle le changeant.

 Le   promoteur exceptionnel  du népotisme horripilant  a oublié  manifestement les engagements pour lesquels il a été  élu  à défaut et par dépit, aggrave  la misère ambiante chronique,  alors que la poche des ménages  se réduit  en peau de chagrin, résulte incontestablement  des   entreprises nationales  mettent la clé sous le paillasson.

Lorsque l’on importe plus, achète plus qu’on exporte, surtout dans une situation internationale morose, aggrave davantage  la dépendance dynamique  de la monnaie empruntée, garantie par l’ancien colonialiste,  qui est   beaucoup plus que présent sur le terrain.

À l’instar  des grandes nations, nous devons  mettre en orbite la nouvelle République en marche  et interdire systématiquement  le cumul des mandats.

 Pour cela, il convient de contrôler en même temps  les financements des partis politiques et abolir   systématiquement  l’immunité des députés politiques, des élus, y compris celle  du  président  de la république.

 En sus, il est salutaire de   couper le cordon ombilical liant  les mercenaires  alimentaires au chef de l’exécutif,  qui se sucrent  sur l’épaule de la république, ne cherchent que des strapontins. Bannir les nominations tan sa bula nex-des emplois familiaux, sont sources d’enrichissements  illicites.

 Nous devons faire   de même   pour la justice, en mettant fin  à la haute magistrature par le président de la république.

 La suppression des caisses blanches qui sont  tant  octroyées  au président-monarque de la république,  qu’au premier ministre et au président de l’assemblée nationale, est vivement salutaire.

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