Sénégal/ Élection De la Monarchie Présidentielle 2019, des Scrutins en perspective Des Bongo et Cie ? Ahmadou Diop.
Élection de la Monarchie présidentielle au Sénégal 2019, s’inscrira-t-elle donc dans la trajectoire de la Démocratie Des Bongo et Cie ?
Si les Bongo et Cie et leurs clans, ont une longévité, s’éternisent et s’accrochent au pouvoir, c’est qu’ils bénéficient remarquablement en réalité d’un Talisman et des logistiques jamais égalées, de la part de gros bras, qui les cautionnent par devers et dans l’action, qu’il neige et qu’il vente, pour les services réciproques et au nom de la géopolitique- touts azimuts versus – la Françafrique-porte ses fruits entre dominateurs et dominés, depuis les sombres indépendances formelles de la dépendance dynamique.
La dynastie des Bongo et Cie fait-elle tourner la tête du bougre de naissance encombrant, qui tient mordicus à suivre les pas de ses paires, autocrates ? L’agresseur en chair et en os prépare-t-il encore un tel scénario apocalyptique ? Pas l’ombre d’un doute. « Les Sirènes blanches » par leur brouhaha répondront-elles à l’appel d du tyran ? Comme l’adage africain, « aussi longtemps que les lions n’auront pas leur historien, les récits de chasse tourneront toujours à la gloire du chasseur ».
Macky Sall, l’oublieux, digne de son rang, l’homme des mystifications et des casseroles si bruyantes par ses trahisons incommensurables, va-t-il franchir de nouveau le Rubicon, en février 2019 ? Compte tenu du climat délétère, offensant, tout le laisse croire, au regard de la tambouille en permanence, qui se sent par son odeur fétide à la place publique, que personne ne peut ignorer sous aucun prétexte.
Le personnage atypique n’est pas à son coup d’essai, a posé plus d’une fois des actes délictueux aux effets multiplicatifs abondants, qui s’enchevêtrent les uns après les autres, tel un labyrinthe.
En Europe, en chine et ailleurs, les Grands pickpockets en payent le prix fort, mais ici chez nous, les corrupteurs- chapardeurs voleurs nés, font florès, sont bénis, méritent la vie plus tout que tous les autres. À contrario, le citoyen, qui propose le règlement des comptes des traitres politicards et leurs intérimaires- politicards –mercenaires Rabatteurs tous des pourris de ramassis- s’accommodent allégrement dans leur rôle dévolu « de XARMAT », se transvasent dans la loge du pouvoir indignement ethnique, apocalyptique en place, dans l’espoir d’obtenir des de strapontins.
1° Les municipales de juin 2014 de pacotille : toute sa famille, en tête de laquelle Aliou Sall, l’inconnu d’hier, est élu spectaculairement et contre toute attente et maire de Guédiawaye, dispose par miracle d’infinies casquettes et cumule à la fois les fonctions de président des maires du Sénégal, président des élus locaux.
L’homme ne s’arrête pas là, au contraire, s’arroge banquier, dirige l’officine Banque de Dakar/ BDK, administrateur de plusieurs sociétés d’écran, en autres, SAHEL AVIATION, est domiciliée à l’Oncle SAM, maintenant, en attendant, gravit un échelon supplémentaire, comme le Directeur Général de la Caisse et des Consignations, qu’il partage avec son acolyte pedigree, Babacar Mbaye Diamé, dont le père, fut un ami inséparable du père de Macky Sall himself, et tout, grâce aux largesses de son frangin. Et ce n’est pas tout, puisque la liste s’allonge, élastique. Mansour Faye, le grand frère de Marième Faye, a été catapulté maire de St Louis et ministre de l’hydraulique et de l’assainissement.
2° LE REFERENDUM- DEUM EN MARS 2016, l’imposteur nous fait un faux bond, garde son mandat présidentiel, qu’il avait pourtant de réduire de 7 à 5 ans. Cerise sur le gâteau, il rempile lors des parodies législatives cataclysmiques, marquées du sceau ADULPE FORXARCI-NANGOTIWAT- KEUFEUTI MAATEY.
3° Les arrestations massives de ses adversaires politiques les immédiats et les plus redoutables sont tous disqualifiés à la comédie électorale, et réduits à leur plus simple expression et au silence, passent un par un à la potence comme des malfrats, pour être traînés dans la boue et à la vindicte populaire.
Comme par hasard à quelques encablures des parodies présidentialistes en février2019, rebelote, le dictateur pimente la sauce, monte les enchères par des cascades des réformettes, passe à la vitesse supérieure, imprime encore sa marque totalitaire dans un taux d’adrénaline, réquisitionne son assemblage de dépités, révise à sa propre guise, la loi électorale, numéro 2018-14 du 11 mai portant révision de la constitution, généralisant, nous dit-on, le système de parrainage à l’élection présidentielle. Il en rajoute, et fait modifier les articles L 57 et L 31 loi N° 2018-22du 04 juillet 2018, exigent que tout candidat à la présidentielle, doit avoir sa carte d’électeur. NB : toutes ces prétendues, scélérates sont de nature à éliminer des adversaires, alors que le traqueur des biens mal acquis, est le premier casseur du Siècle au Sénégal.
Ainsi, donc, toute candidature doit recueillir impérativement 1% du fichier électoral, dont l’opacité manifeste et par son caractère blasphématoire, n’augure rien de bon pour la démocratie. Or, le parrainage n’est jamais un baromètre, pour mesurer les intentions de vote, mais pour justifier, demain, en février 2019, un hold-up électoral à la démocratie des Bongo et Cie.
Voilà donc les signes avant-coureurs, prémonitoires, qui ne trompent personne sur les intentions d’un autocrate, incorrigible, passent comme une lettre à la poste. Lequel nous promettait la rupture totale, sobre, efficiente, transparente, s’est transformée en rupture familiale ethnique « Nédo ko bandoum » plus qu’un village entier.
La constitution moribonde, savamment élaborée, est par essence, le bras armé de la tyrannie monarchique présidentielle en Afrique des nègres de service.
Ceux qui ont aidé, soutenu et cautionné matériellement et militairement les monarchies moyen-orientales de toutes pièces, en l’assistant avec toutes les logistiques nécessaires, savaient parfaitement ce qu’ils faisaient – l’objectif majeur consiste à contenir les populations, de sorte que leurs valets puissent gouverner, et laminer la démocratie. Pour cela, ils érigent, élaborent des lois liberticides, si bien que toute critique, peu ou prou, est passible d’apostasie, entraîne ipso facto la peine capitale chez le citoyen, devient sujet des rois y trouvent leurs propres intérêts toute monarchie est dictatoriale par définition
Ces pratiques qui trouvent écho chez nous, ont détruit la monarchie féodale, l’ont commutée par une autre liberticide qu’on le pense, qu’ils sacralisent, en mettant en place des institutions dictatoriales, supposées universalistes et sous l’autel de leur domination.
En effet, toute chose est égale par ailleurs. Et pour cause. Historiquement, comparativement et à l’effigie des monarchies théocratiques, toutes taillées sur mesure par les mêmes, semble-ils se substituent au bon dieu, le Miséricordieux, le Tout-Puissant, s’approprient l’islam. De tels pouvoirs sont source d’obscurantisme et de fatalisme, au regard des faits bien têtus, se prolongent ainsi et dans une certaine mesure chez nous, puisque « le Roi-président », s’arroge tout, se croit surhumain, invincible et immortel.
Ce n’est une démocratie mais une dictature qui tourne à plein régime. Car d’un côté, pour les monarchies de droit divin, ayant droit de vie et de mort, toute critique, est synonyme d’apostasie, est passible de la peine capitale ; tandis que de l’autre côté, s’agissant des régimes présidentiels, l’article 80 bidon bannit toute critique à l’encontre du président- Monarque, « béni », est supposée d’office d’offenses supposées.
Quand bien même ils tuent massivement à répétitions et en toute impunité leurs propres semblables, le client principal, utilise les mêmes ressorts, leur accorde le bénéfice du doute et des circonstances atténuantes, tendant à protéger les intérêts économiques de la géopolitique, pour croire rectifier par la baguette le tir et recoller les morceaux, en évitant de les désigner comme des coupables, sous le postulat d’éléments incontrôlables, ce qui laisse apparaître un mépris des consciences humaines. Bizarrement en plein 21 unième siècle, on culpabilise « Haïti et toute l’Afrique de pays de merde ».
Décidément, peu importe, quand il s’agit d’armes chimiques, on ferme les yeux, en désignant unilatéralement un seul camp, présumé coupable, car en effet, la puissance de feu autorise toutes les dérives catastrophiques. De la menace « des châtiments », place maintenant au rétropédalage abracadabrantesque ! Circulez, il n’y a rien à voir !
Pour preuve, la Constitution moribonde, que l’on a nous imposée , a été moulée par la même molécule , n’a jamais reçu la moindre approbation généralisée de nos concitoyens et nos concitoyennes, ne l’ont jamais visiblement adoptée par voie référendaire , si n’est la volonté d’un seul homme, en l’occurrence, Senghor, l’a instaurée au lendemain de la motion de censure contre Mamadou Dia, sur commande du gendarme colonial. Présidentielle monarchique, telle qu’elle est conçue,
Les crimes financiers, politiques et économiques, présagés, infaillibles, peuvent-ils faire le lit du Corrupteur –voleur criminel en place ?
Le vote d’un peuple entier n’a d’essence que lorsqu’il prend en compte ses propres intérêts légitimes bec et ongles dans les urnes parlantes, sans équivoque et à la place publique.
Ou sommes- nous, alors les sujets d’un vagabond monarque, poltron né de naissance. Lequel n’a aucune once de respectabilité par sa lâcheté congénitale.
Le Gabon des Bongo de père en fils gouverne sans partage, depuis 1967 à nos jours et ce, sous la barbe de la dite Communauté Internationale- qui se réduit à trois pays, reste plus que jamais passive et peu réactive face à l’impunité et à la loi d’une seule famille, confisque et le pouvoir politique et la démocratie, à l’instar des fantoches élites politiques à l’échelle continentale africaine.
Le kyste à la démocratie au pays de la Téranga, qui est venu au pouvoir à cause de l’esclandre de ses mrds de FCFA, ou l’ingérence monétaire, est-il donc contaminé par le virus des Bongo boomerang ? Veut-il surfer sur les mêmes plates bandes familiales immuables par le truchement des accords de défense, qui comportent des clauses secrètes ?
Malgré ce que nous affichons, sommes-nous donc des géants aux pieds d’argile, ligotés, anesthésiés, ferrés pour nous mettre sur la même longueur d’onde que nos semblables fatalistes à l’échelle continentale africaine, tous tenus en laisse par la soldatesque Waffen SS nous impose leurs lois par le truchement des armes non conventionnelles ?
Lorsqu’une caste de vautours convertie en horde cartellisée et en bande de malfrats, tels des écheveaux sert de référence , obtient librement des postes clés dans toutes les structures de haut niveau de l’état, un tel pays ne peut émerger d’un iota peu et prou.
Dans notre pays étrange et à la renverse- Lamiñ wureuy– l’ignorance, l’arrogance, la suffisance, le label des mensonges et la rhétorique- Médiatico-Médiocratique -apocalyptique, servent de gagne-pain et de promotion sociale et de notabilité.
Le Casseur du siècle et les dessous de ses sous ombrageux, gratifie son insulteur infatigable, n’est rien que le Blaireau, Moustapha Clissé Lô. L’inassouvi, le décomplexé, mangeur des 3 râteliers/ PS-PDS-APR, défraie la chronique met le curseur sur le label de la transhumance. Un comble du comble. Il faut le voir pour le croire.
L’archétypique, acrobate par sa langue bien pendue et ses séquences récurrentes, est-il donc devenu un danger public au Sénégal ? Personnellement, je le crois solennellement en âme et conscience et à mon intime conviction. L’escarcelle des médiocres transhumants peut-elle imprimer sa marque totalitaire, pour réélire un changeant imbu de sa personne ? Samuel Sarr, Madické Niang, Abdoulaye Diop, Abdoulaye Baldé et Cie, pour ne citer que ceux là, sont-ils donc « intouchables » ?
Et Le Scandale de la fondation Bidon, « Servir le Sénégal »- pour Asservir le Sénégal et servir la Structure politique, l’autre Caisse Blanche de la propagande massive à haut débit des détournements des fonds publics et recels des biens sociaux ? Qu’attend donc la justice politique aux ordres , sur ndiguel d’en haut, dans le secret des dieux trie au volet ceux qui doivent être poursuivis ou non, pour s’auto- saisir librement sur un capharnaüm familial ?
Tous ceux qui s’accommodent par leur immoralité très prononcée, se ressemblent s’assemblent, en tête desquels l’étrange chambellans des béni-oui oui, l’agitateur, l’éternel transhumant éternel transhumé, le dérangé mental, fidèle à lui-même, ne roule que pour lui-même, broute constamment au gré du vent, selon la météo du moment, pour ses propres intérêts mal placés, trouble l’ordre public.
C’est ce professionnel des invectives surréalistes homme, qui est bizarrement catapulté par des combines de bas étage au poste de vice- président des Dépités empestés de service et des sinécures, unifiés en farandoles, ne servent que de caisse de résonnance et d’enregistrement du tyran né en en chair et en os. Selon le déréglé, il y a visiblement « le Bon Transhumant et le Mauvais », mérite qu’on lui fasse absolument une expertise psychiatrique.
N’oublions pas que lui-même [Moustapha Cissé Lô] et Mbaye Ndiaye, avaient eux-mêmes démissionné du PDS par leur propre gré, ont bizarrement reçu chacun, la bagatelle somme astronomique de 100 millions de FCFA, de la part du Chantre du Corrupteur-Voleur impénitent, l’étrange maître du cannibalisme politique, pourvoyeur du népotisme, des marchés de gré à gré et des transvasements et des transhumants.
Le pirate de la désinvolture par sa carence atavique, compile, compense ses tirades exponentielles, détient le bonnet d’âne des injuries en cascades, sous le règne du régime le plus scandaleux du négationniste, qui se plie promptement, mécaniquement et machinalement à l’hydre mafieuse, dénommée, la Françafrique. Laquelle, telle une toile d’araignée, est inféodée à la francophonie.
L’aide au développement : nouvelle appellation soft : investissements solidaires- la sémantique change, mais rien ne change au contraire tout continue. Quand on donne, on récupère dix fois ce que l’on a investi – la main qui donne, est supérieure qui reçoit.
La Com‘ de la Géopolitique veuille que les vils dictateurs, qui se plient à la règle impérialiste, gagnent à tous les coups contre » les bons élèves «
Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, le capricieux par son arrogance et sa suffisance, frisant la démence, « hiérarchise, bénit et légalise « par devers et en filigrane, pour sa propre cause personnelle, la Transhumance et la Corruption- Guer– sont non seulement de trahisons synonymes, mais de crime imprescriptible. Autrement dit, l’achat des consciences abîmées devient une norme, un label, sous l’ère ethnique d’un chef misérable de la déconfiture.