Sénégal : le Corrupteur- Voleur, Commanditaire des Transvasements au palais en place, est-il vraiment un Redresseur des Consciences ? Par Ahmadou Diop.
Si le bourreau à la démocratie et des libertés fondamentales des consciences, a vraiment les qualités requises d’un véritable chef d’état, d’un redresseur exemplaire des consciences, auquel cas nous ignorons totalement la notion d’un état régalien, civilisé en bonne et due forme. C’est ma conviction.
La corruption généralisée, qui est source « de Bakar » péchés, au sein d’une certaine nomenklatura des corrompus, gloutonnés, sont présumés des notables imaginaires. Curieusement la plaie est devenue une norme, qui gangrène la société sénégalaise passera comme une lettre à la poste.
Pour ce faire, une certaine servilité nauséabonde en service commandé, en faillite totalité totale, se déculotte affreusement, se passe de la déontologie professionnelle, participe au crime organisé, et sous la botte d’une gouvernance pourrie, esquive sciemment la question vitale, qui fâche.
Car vous n’entendrez jamais le logiciel de la malédiction aborder la thématique de la corruption, qui est passible de crime, lors des cirques électoraux en 2019. Et pour cause. En revanche, pour croire compenser ses éternelles rapines politiques et ses pantalonnades, le Troubadour en chair et en os mettra en avant ses réalisations coloniales pour faire avaler la pilule amère avec des chiffres bidonnés à l’appui qui ne valent rien.
Au sein des 14 états africains, francophones, en tête desquels, malheureusement, les agresseurs autocrates, négationnistes, ethniques, anarchistes, déclarés de l’Afrique centrale, confisquent le pouvoir et la démocratie, en passant par le dictateur, gérontocrate du Cameroun , jusqu’au Despote du Sénégal, le satellite- espion, les mêmes nègres de services en jointure, se réduisent pitoyablement en vulgaires bourreaux de leurs propres peuples, se convertissent lamentablement en bouffons, restent tous soumis et aux attaches du pré-carré du gendarme colonial.
Au Sénégal, celui qui nous promettait la rupture et le régalien, s’est défaussé et en se transformant en menteur professionnel, profanateur, en corrupteur, voleur et des transvasements tous azimuts, ne peut être en aucun cas, ni un donneur de leçons, ni un serviteur, encore moins un redresseur de conscience. Mais aussi extraordinaire que cela puisse paraître, sa bande d’ouailles alignées, tentent de blanchir ses forfaitures exponentielles par médias interposés de la sarabande, et auquel cas dans ces conditions, à l’instar des bouffons asservis à l’échelle continentale africaine, nous avons affaire à un voyou, non repenti, nous dirige d’une main de main, depuis le regrettable soir historique du 25 mars 2012.
Le hâbleur, qui s’est bien bassement enrichi à la place publique, s’érige en exemplaire en victimaire des leurres , de façon scandaleuse, et par les raccourcis politiques, insulte tout peuple, place toute sa famille biologique, beau-père, beaux-frères et tout son clan, dans toutes les structures de l’état, lesquels se sont gloutonnés miraculeusement , roulent dans une opulence, ostentatoire et attentatoire
L’Antithèse du Panafricanisme, du Kamitisme et de la pagaille en bande organisée : Paul Biya \ Macky Sall, Deux Architectes Archaïques Tribalistes dans la pègre des Nègres de services. Ils ne sont point des odeurs de sainteté, et ils le savent dans leur for intérieur en total lambeau. Ce qui les réunit, est supérieur à ce qui les désunit. Selon les dictateurs, la démocratie se mesure à l’aune de la culture raciale. Le socle de la haine viscérale s’inscrit dans leur adn, nocif.
Ils tuent la vérité, mélangent tout, sacralisent le mal endémique, ethnique, en le bénissant, pour qu’il triomphe à jamais.
D’une part, au lieu de jouer les redresseurs des consciences, et d’autre part, ils se complaisent en s’évertuant lamentablement en briseurs des consciences, utilisent par devers envers contre nous tous, en abusant dangereusement lâchement des moyens d’état, que leur confère, leur soi-disant leur posture de dictature, charcutent indignement leurs adversaires politiques, immédiats, qui leur font de l’ombre. Pis, plutôt de se regarder sur un miroir, ils ont même l’outrecuidance de choisir ceux qui doivent ou non concourir aux éternels cirques électoraux présidentiels, dont l’issue ne fait aucun doute.
Il s’agit bien du cas du Berger Colonial en place, dont les casseroles sont beaucoup bruyantes que celles de ses opposants, qu’ils guillotinent politiquement à la place publique. Son complice camerounais, qui ne s’éternise au pouvoir depuis fort longtemps, va plus loin, assassine, et interdit tout, gagne à tous les coups, sous le nez et à la barbe de la dite communauté Internationale suprémaciste blanche, nous divertit, et se réduit à trois les plus bavards, se dresse et substitue allégrement des autres, sont présumés comme des moins que rien, comme si ils ont droit de mort et de vie à l’échelle planétaire.
Tous les deux et toute la cohorte larbins-esclaves, unifiés, alignés des asservis de droit divin, tels des moutonniers dociles à l’échelle continentale africaine par leur platitude manifeste, tous des dévergondés, vendus irrécupérables, serviles, se complaisent par leur immoralité et par dans l’incurie singulière, n’ont d’existence virtuelle que pour préserver et défendre grossièrement la tète baissée les intérêts néocolonialistes, ne plaident nullement pour la cause et les faits de l’émergence pérenne des Etats africains, libres, indépendants, mais travaillent exclusivement pour la promotion, l’engraissement et pour la gloire de nos éternels oppresseurs.
C’est-à-dire qu’ils mènent inlassablement des politiques de la dépendance dynamique, financière, économique, militaire, fondée sur l’assistant permanent, en établissant par leur ignorance et par leur égoïsme repoussants, des rapports humiliants entre dominateurs et dominés, gagnants et perdants, et ce, à dessein de confisquer durablement le pouvoir et la démocratie, autant que cela est nécessaire.
Ils jouissent du pouvoir, ne roulent que pour eux-mêmes et par leur nombrilisme effarant, et pour leurs propres maîtres, pour lesquels ils ont une faiblesse notoire. Pour la pègre des nègres de services, le pouvoir est une affaire de famille et de clans, pour reprendre les termes de l’économiste français, François –Xavier Verschave, auteur de plusieurs ouvrages, dont le plus célèbre, « Noir Silence Qui Arrêtera la Françafrique ? », le premier président de Survie France, mort en 2005.
Amadou Bâ , le ministron de l’économie des finances et du plan, sur ordre du tyran, pour couper court et épargner , ainsi Abdoulaye Diop, l’avait gratifié en catimini à l’Ordre du Lion, dont le but était de le blanchir pour le caser ailleurs, quand demain fera jour. C’est déjà fait ? Il y en a à la pelle, car la plupart d’entre eux, qui ont transhumé, se frottent les mains. Voilà la praxis immonde d’une gouvernance cataclysmique, moribonde, dont les méthodes plus que décriées, correspondent à un chef de clan !
Macky confie le poste de Vice-gouverneur de la BCEAO à l’ancien ministre Abdoulaye Diop, ex ministre des finances et de l’économie du défunt régime d’Abdoulaye Wade. Pourtant l’ancien argentier de l’état, qui est dans la tourmente, possède plusieurs immeubles au Canada au nom de sa femme, échappe miraculeusement dans la traque des biens mal acquis à géométrie variable, continue de défrayer la chronique. L’ancien procureur, Ousmane Diagne a été brutalement dessaisi, et a laissé des plumes pour avoir fouiné sur la fortune rapide de Souleymane Ndéné Ndiaye, Madické Niang, dont Aminata Niane, ex patronne de l’Apix, laquelle a été reçue en pleine nuit, avant d’être nommée presto illico à la BAD, banque africaine de développement. Elle n’est pas la seule, car Amadou kane, ancien ministre de l’économie et des finances, était au service du faussaire, Macky Sall himself, a rejoint lui aussi cette soi-disant institution, n’est qu’une filiale de l’hexagone, bien connue. Pour rappel à l’affaire d’Aminata Niane, qui a fait couler beaucoup d’encre à l’époque, le maître absolu de la démocratie ethnique, avait mobilisé à Mbour, un dispositif policier sécuritaire, impressionnant, s’enfermait avec la dame aux cheveux poivrés, interdisait la présence de la présence de la presse curieuse. Au lendemain, la conseillère de Wade trouve rapidement une autre planque bien tranquille à cette officine financière en Afrique de l’ouest. N’oublions pas que Macky Sall, qui était cerné de toutes parts, déclarait hystériquement, je le cite : « je suis président de la république je nomme qui je veux ».
On ne cherche nullement la vérité des faits incriminés, accablants, mais on se fixe sur des inepties démentielles, en s’acharnant exagérément contre les dénonciateurs, qui sont des victimes, présumés à la fois coupables et faiseurs de trouble à l’ordre public; tandis que le label de l’engeance maléfique de l’impunité, le vrai coupable, fait vent debout con te tous, sacralise sa loi du silence, s’estime la victime expiatoire. Autrement dit, les pires rhétoriciens comploteurs ethniques, iniques, sans exception, inversent, crachent, et dénaturent tous l’ordre universel de la vérité éternelle et devant l’éternel, tentent d’imprimer de marbre sa propre vérité pour son propre compte, vaille que vaille. C’est universellement bien connu en matière de politique machiavélique. C’est comme une huître qui s’accroche à son rocher. Cette vielle recette est consubstantielle dans l’ADN décousu des adeptes négationnistes, révisionnistes et enivrés dans leur piédestal, s’octroient « librement comment étant les bons », s’accommodent dangereusement et culturellement de leurs propres valeurs, se croient supérieurs aux autres, qui leur font avaler leurs propres contradictions, face à leur diktat, rimant aux pieds d’argile.
Le plan machiavélique d’un Sénégal émergent: un foutoir d’un pire minable imposteur, tricheur bandit de Grand chemin.
La République estampillée des proxénètes, ou la marque digitale : « nédo ko bandoum » nous inquiète, nous donne la chair de poule, protège ses amis immédiats et sa famille biologique ouvertement et son clan et sa garde rapprochée. Tous vivent dans une opulence ostentatoire, voire attentatoire, y compris Awa Coudou Ndiaye, laquelle a été sauvée par le prestidigitateur, Cheikh Kanté, le Docteur, le vénéré, guitariste de charme de classe exceptionnelle, pendant que les autres sénégalais, qui sont classés de seconde zone, trinquent , trépassent et ceux qui lui font de l’ombre, sont livrés à la vindicte populaire.
L’autre dictateur camerounais, ethniciste, Paul Biya, dans l’âme, qui a ouvert la boite de pandore, fait sa loi, traque les citoyens camerounais dans les réseaux sociaux, qui sont source de contradictions politiques, donne des idées à son acolyte, copedigree sénégalais, joue lui aussi sur les mêmes plates bandes au nom de la tyrannie ethnique, fait florès en Afrique sous tutelle coloniale.
Le despote sénégalais, qui est arrivé au pouvoir par l’esclandre de ses milliards de F CFA, qu’il a bien volés dans les caisses de l’état par les postes de nomination Tan Sa bula Nex, suit automatiquement le pas de son référent camerounais, ne se laisse pas ravir la vedette de piètre qualité, en met des couches épaisses et les bouchées doubles, tord les bras de ses opposants politiques, immédiats.
Pis, comme si cela ne suffisait pas encore, chasse lui aussi tous les internautes sénégalais et sénégalaises, qui sont l’intérieur du pays. La justice française demande à Marine Le Pen de se soumettre à une expertise psychiatrique.
Le dictateur Sénégalais, en chair et en os, Macky Sall et ses compères africains doivent tous bénéficier eux-mêmes des mêmes mesures psychiatriques. Mais faut-il que la justice aux ordres ait le courage de suivre le pas de leurs collègues français ?