Un débat contradictoire est-il vraiment possible contre Macky Sall, le petit Hitler en miniature ? Par Ahmadou Diop
Ne rêvons pas. Cette hypothèse est une illusion. Il faut que nous prenions notre courage pour le destituer sans attendre une seule minute, à dessein de le faire taire définitivement, pour une fois pour toute. Cela implique donc l’effort de toutes les forces progressistes de toute la nation. Ensemble, nous pouvons. Rien n’arrête un peuple. C’est la seule option dynamique qui vaille. Que diantre ! Lorsque dans notre pays étrange et à la renverse, les charrettes de mensonges constituent une promotion sociale comme système de gouvernance bancale, consensuelle, pendant le peuple, hélas, le médusé, trinque et trépasse, la seule réplique qui nous convienne, c’est de mettre un définitif à ce régime de la terreur. L’inimitable menteur profanateur s’est renié sur toute la ligne, pour avoir mis délibérément ses promesses électorales aux vestiaires. Pis, il remet son sénat bis.
Maintenant, nous devons agir par l’action matérielle ou périr à jamais. C’est une utopie que de croire à un débat politique, virulent et sans concessions d’aucune sorte. En Afrique des tyrans rien n’est possible, sauf la dictature de ces derniers qui bandent leurs muscles par l’entregent de la force publique qui obéit aux doigts et à l’œil des dictateurs.
Les médias publics et privés sont monopolisés par le pouvoir totalitaire. Il n’y a donc qu’une seule option : démasquer et déboulonner le traitre jusque dans ses repères par une forte résistance à l’échelle nationale sans faiblesse aucune.
Hitler est –il donc, dans une certaine mesure, l’inspirateur de macky sall, l’ethniciste Alpularr ségrégationniste d’apartheid ?
Le despote, l’écervelé, servile, s’inspire de son idole, habilement, mais change la notion de race pour lui substituer l’ethnicité, qu’il prend pour son compte.
Mbagnick ndiaye, le doungourou menace la presse, de sorte que les méthodes fascistes de Joseph Goebbels, qui fut le ministre des endoctrinements décriées, soient la règle de rigueur , servent de pédagogie totalitaire, comme système de gouvernance de la terreur .
Mbagnick Ndiaye, le ministron de la propagande pour la promotion de la culture Alpulaar-Sérère, a annoncé qu’il n’y aura plus d’aide à la presse tant qu’il sera là et que le nouveau Code de la presse n’est pas voté d’ici la mise en place du budget.
car il s’agit bien de cela, quand macky Sall nomme un gouvernement qui ne porte que majoritairement les mêmes patronymes particuliers, en sus des postes d’ambassadeurs, les consuls généraux, l’armée, la police, la gendarmerie, les nombreuses agences , les conseillers, tous partagent la même culture ethnique, on peut s’interroger rationnellement sur un gouvernement moribond, tant par son caractère ségrégationniste que par sa manière de se comporter devant les autres citoyens, qui apparaissent classés de seconde zone.
Alors, le maître chanteur, fidèle captif, servile est bien pris la main dans une fois de plus. L’homme fait parler de lui. En vérité, la dépendance financière politique de la presse constitue une réelle menace à la démocratie et à la liberté d’expression. Il est temps d’agir avant que cela ne soit trop tard, pour croire pouvoir corriger. plus personne ne peut nier le climat délétère, depuis le regrettable soir du 25 mars 2012. Nous l’avons vu avec le dialogue de piètre qualité qui n’a fait qu’aggraver la situation, car plus on laisse faire le suppôt, plus il en met des couches épaisses par sa bande d’ouailles, qui restent ses yeux et ses bras et ses jambes. Nous sommes donc au pied du mur. La riposte s’impose maintenant par l’action matérielle, combinée au plan national, pour terminer le bon boulot, en vue de la victoire finale du peuple par le peuple et pour le peuple.
Face au despote , qui ne dévie jamais de sa trajectoire, est-il judicieux de croire discuter avec un sourd, muet, aveugle, qui change constamment, tel un caméléon ?
Tout d’abord, pour en débattre, il faut nécessairement un préalable ; les citoyens, qui sont directement doivent savoir en temps réel, le calendrier national politique des législatives , sans qu’il y ait une quelconque possibilité de report.
Car dans tous les pays civilisés, soucieux et respectueux du droit fondamental de leurs citoyens, le calendrier électoral, présidentiel doit être fixé deux ou ans avant. Le cas de la France et des Etats-Unis et tant d’autres nations éloquemment élevées.
Mais ici, chez nous, le monarque –président de la république, comme l’appellent à juste titre ses sujets, privatise, cache piteusement la date, comme si le peuple n’en a pas droit. Un comble de l’ignominie et du vandalisme, sur fond d’inélégance pâteuse. Un scandale permanent en Afrique, exclue pour cause de l’hagiographie mondiale, en dit long sur son retard endémique.
Naturellement, quand le président de la république, devient multimilliardaire des ténèbres par les raccourcis politiques, ne s’encombre outre mesure d’aucune moralité palpable, falsifie sciemment l’histoire, ment, se dédie, se décharge sur toute la ligne, notamment sur ses litanies longues et grotesques démentielles par ses ratonnades massives et ses charivaris hystériques, qui constituent son socle fondamental , aux quels il nous a habitués, il va sans dire que dans ces conditions, qu’un personnage affabulateur, peu vertueux, curieux par sa carence et sa violence lâche, bassement toxique, n’aurait aucune élégance d’ouverture pour faire face à ses contradicteurs les plus virulents, lesquels lui feraient avaler ses propres déluges, dont il a l’unique secret.
Le tyran sénégalais a obtenu le pouvoir sur un plateau d’argent. Il n’y a aucune confusion là-dessus, même s’il se prétend s’habiller sous fallacieux manteau victimaire qu’il n’est jamais, ne sera jamais. Il demeure le candidat de la France et des américains. Les faits présents et historiques têtus sont largement édifiants. le peuple sénégalais a été induit en erreur. C’est normal dans un pays où est sur commande par la puissance de l’argent. Dire qu’il a été une victime, participe à des mensonges grotesques à la pelle. Il est bien la copie certifiée conforme d’Alassane Ouattara avec lequel il partage la trahison. Qui peut le nier. ,
Les fascistes africains n’accepteront jamais l’idée d’un débat politique avec leurs adversaires. Les traitres bidouillent, modifient sans vergogne et longueur de journées des constitutions moribondes, taillées sur mesure.
Cette idée est totalement surréaliste, saugrenue de la part du tyran désagréable, qui ne s’encombre outre mesure d’aucune parcelle de moralité. Face donc à cet agitateur paranoïaque et ses provocations surannées, répétitives, sans fin, un seul choix s’impose : faire sévir nos biceps par la force unifiée. Et on verra bien en ce moment là, qui aura le dernier. Le dialogue conventionnel ne passe, ne passera pas.
Comment organiser un débat transparent, lucide, et serein, lorsque le président de la république dispose d’une caisse noire extensible, représentée par l’éternelle machine toxique, dont l’existence consiste à corrompre à tout vent, pour transvaser des transhumants mercenaires, dociles et incultes, ingrats , à qui il distribue largement. L’argent du contribuable sénégalais.
Sa propre femme, qui n’a aucun poste reconnu par la constitution, agit de même, s’érige et demeure la vice-présidente réelle, donne des ordres, dégomme à sa propre guise, pendant que la presse ferme ses yeux, au risque d’être traduite à la justice royale.
Un débat contradictoire avec les dictateurs africains est une illusion. Lorsque la bande des lâches fascistes mettent leurs adversaires en prison pour un oui ou pour un non, il est bien évident qu’ils n’accepteront jamais un déballage massif. Tous sont réfractaires à la courtoisie politique, pour organiser sereinement une conférence publique, transparente et claire. Pour ces gens-là, gouverner n’est pas synonyme d’éthique et d’équité.
Ceux qui ressemblent, s’assemblent, font les mêmes pratiques ignobles. Les parodies référendaires, fourre -tout, de part et d’autres parlent d’elles mêmes. Tous les deux ont le même ADN qui les unit à jamais jusque dans leurs tombes. Les ivoiriens ne m’aiment pas parce que je suis musulman, je ferai tomber ce régime comme un fruit, fulminait-il. C’est fait avec la complexité de la France et des Etats-Unis. Le cacao oblige. Macky Sall a fait pareil pour le pétrole et le gaz.
L’Afrique des nègres de service, unis, unifiés, en faillite, ou la démocratie du far west des seigneurs sanguinaires, refuse totalement la standardisation de la démocratie des pays évolués.