WORKAT SAC CI KAT -FENKAT BUMAK BII- DI DIAY DOLEY- DIAY KO DOLEY MOKO FIY DIEULÈ. Par Ahmadou Diop.
Notre laxisme et notre somnolence plombent-ils l’avenir de notre pays, le Sénégal, Face aux platitudes du traitre –Guignol, encombrant ?
Seul l’activisme patriotique en action partagée par nous tous, reste l’unique solution possible, pour inverser le cours de l’histoire et changer, ainsi, le rapport de force et en finir définitivement avec le régime de la sarabande des fripouilles et son chef, clanique, dont la tortuosité inégalée, empêche de rétablir un état régalien, à l’instar des pays civilisés.
Apparemment, notre laxisme sidérant veuille que nous soyons tous réduits les esclaves de droit divin d’un esclave, né, et sous le fallacieux prétexte d’éviter une guerre ethnique, imaginaire au Sénégal.
Notre pays n’est pas en guerre, ne compte pas l’être, mais est en guerre contre une vermine, laquelle n’eussent été ses mrds de FCFA, qu’il a obtenus dans des conditions scandaleuses et sur des nomination Tan Sa Bula Nex, que grâce aux largesses et à l’inadvertance de son ex mentor, Abdoulaye Wade, candide, le pion ne serait jamais à la tète de l’état, qui est plus que jamais tombé aussi bas qu’il ne l’état . L’ingratitude, qui est passée par là, demeure l’apanage des esprits tordus, constitue notre descente aux enfers.
Contrairement à ce que l’on peut penser, le criminel né, caractériel, est par définition, taciturne et, intelligent, en mauvaise posture, cachait, hier habilement sa nature dans le secret des dieux, son véritable visage hideux- trompe-l’œil.
Pour ce faire, et à dessein de tromper la vigilance de son patron, il montrait une fidélité d’apparence, pour mieux sauter et rebondir, demain là, où ne l’attendra pas son bienfaiteur.
C’est comme un crocodile en hibernation dans l’eau, qui patiente, mais ne rate jamais sa cible. C’est bien ce qui caractérise le criminel notoire, le monstre en place, l’ennemi public numéro Un, qui s’est transformé peu à peu en effroyable forcené détestable par ses échappées torrides, abominables, donne les preuves matérielles de ses crimes imprescriptibles sur le terrain du crime.
Celui interdit tout, tut sciemment la démocratie, toutes libertés fondamentales, arrête à tout vent envers et contre tous, embastille tous es opposants à la moindre incartade, ne mérite jamais son statut supposé. Un tel spécimen n’a pas son ego, ici chez nous au Sénégal, n’est jamais un homme de valeur, ne mérite pas des égards, car il n’a jamais sa place au palais, mais à Rebeuss, son Guantanamo, qui porte sa marque de fabrique.
Que personne ne me parle courtoisie ou de respect envers un minable déclaré, qui ne possède la moindre honorabilité tant soi peu.
Que l’on me comprenne bien, que l’on ne me fasse pas des récriminations ou des procès d’intention quand je mets au pinacle ce régime de ramassis délinquants, qui est ce foutoir d’une bande de criminels de bazar coalisés , tous sont pourris de la tète aux pieds.
Que personne ne me fasse de reproches sur le plan là ! Je sais de quoi je parle. Nous avons Un voyou – massula nek kilifeu- Amut kersa – Amut Téguine- sac ci kat bumak la- amut djiko diu bax – badolo la- xamnako- Amut worma- Amut ay téguine- amul cofel ci sunu rewmi-, nous gouverne par la tyrannie. Il faut le dire bruyamment tout et de façon audible, sans langue de bois, ni ornements. Un voleur Say- Say – est un voleur, un minable est un minable, un menteur est un menteur, un négationniste est un négationniste lu ay di diambat- lu défu waxu.
Personne ne puisse m’apponter la moindre contradiction, ni un iota de la rhétorique pouvant infirmer mes propos sur le personnage le plus nul de toute l’histoire politique du Sénégal, que nous ayons connu jusqu’ici, dont l’immoralité sans égal constitue une litote.
Que personne ne me dise que je parle derrière un micro pour des sortir des inepties, ou je ne quoi encore ! Entre un larbin, un lâche, qui est entouré de sa soldatesque waffen SS, toute dressée en coupe réglée et celui d’un patriote, qui écrit et démontre magistralement sa capacité de résistance et preuves à l’appui, face à un félon, qui méprise, ignore et crache ceux qui l’ont élu dans des conditions exceptionnels, inédites mêmes, qu’il continue de trahir, et place toute sa famille immédiate et son clan dans toutes les structures de l’état, et dieu sait qu’ils n’ont ni les compétences et les expériences requises, qui est le coupable, lâche, et qui est le serviteur du peuple, qui met à nu et démasque l’éternel braqueur ?
Et je pèse bien mes mots pour les démontrer et les étaler à la place publique en toute connaissance de cause en toute circonstance et en toute indépendance et toute conscience sur des bases voulues, visibles et bien établies. Seuls les traitres, capitulards, les couards fumiers, les mercenaires alignés par le pouvoir tortionnaire, tous tondus et leurs alliés, sont bassement convertis en affidés hypocrites revanchards, ne l’admettront pas par leur couardise et leur consentement réactionnaire.
En mars 2012, Macky Sall, le candidat de la France, en meeting de clôture au Stade Alassane Djigo de Pikine, déclarait : « le régime a commandé et débarqué au port de Dakar des «Taser» et d’autres types d’armes pour réprimer le peuple après le hold-up électoral, y ajoutait que le régime était prêt à tout pour faire du « foxarci (hold-up), mais le coup de force ne passera pas ».
Les prophéties mensongères à flot du menteur professionnel, profanateur dans l’âme n’ont pas eu lieu en mars 2012.
Sous le magistère du médiocre, traitre, incorrigible, les impôts et les taxes de toutes sortes et les emprunts obligatoires ne servent qu’à réprimer férocement les contribuables sénégalais et tous ceux qui s’opposent au lâche bougre de naissance. Une curiosité d’un régime fantoche et ses valets tortionnaires jusqu’à l’abysse, n’a rien à envier à celui d’Hitler, qu’il admire et imite textuellement par l’action matérielle sur le terrain du crime.
Autrement dit, nous les sénégalais, nous prenons en charge et payons nous-mêmes les gourdins électrifiés qui nous frappent quotidiennement, nous tuent, et nous l’acceptons majoritairement par notre laxisme, face à un criminel qui s’accommode piteusement par sa lâcheté atavique et qui, continue d’agir sans état d’âme par l’entregent de sa soldatesque Waffen SS, pour arriver à ses fins de basse besogne.
Où le Nègre de Service, le fourbe, le pantin de classe exceptionnelle, prend-t-il librement ses décisions dictatoriales et ses pitoyables décrets, démentiels ?
De quoi a-t-il donc peur ? Ou s’agit-il alors d’une stratégie bien huilée savamment élaborée ? À chaque fois qu’il y a des manifestations spectaculaires, gigantesque, il se trouve toujours hors de nos frontières et principalement en France à l’extérieur. S’agit-il d’une bizarrerie, d’une coïncidence, d’un hasard ou d’un accident ? Mais toujours est il que ça lui réussi, car cette politique des coups tordus apparaît nettement payante.
Le mercenaire, depuis Paris, réquisitionne son assemblage de foutoir dite assemblée nationale, mais arrête en même temps, les chefs de l’opposition, pour faire voter encore une fois de plus et en presto illico son funeste projet de lois scélérate sur le parrainage électoral, qui est plus qu’une incongruité- Adukapé CAFEUTI FOXARCI WAAT MAATEY, prend ses allures confiscatoires à la démocratie et aux libertés fondamentales.
Bizarrement, le 23 juin 2011, lorsque le président wade voulait instaurer par la force le ticket président –vice président à l’assemblée nationale, toute la presse, la société civile, encartée à l’opposition, dont Macky Sall, entre autres, Moustapha Niasse Cie, s’étaient massivement mobilisés pour dénoncer ce qu’ils appelaient un déni de justice. Sous la pression de la rue, Abdoulaye wade n’avait d’autre choix que de lâcher prise.
À l’époque, la France par le canal du quai d’Orsay qui était en jointure avec l’ambassade des Etats-Unis s’ingéraient directement dans les affaires sénégalo- sénégalaise, allant jusqu’à qu’à dire que le pouvoir devrait dialoguer. Or aujourd’hui, ceux qui étaient prolixes s’activaient hier, en s’autoproclamant les distributeurs de la démocratie à huis clos sur la planète entière, ne sortent dans leurs gonds que quand lorsqu’il s’agit de préserver leurs propres intérêts colonialistes, indus, jouent maintenant les abonnés absents sur le terrain du crime, font profil bas, en brillant dans le silence absolu, au point qu’ils restent aveugles, sourds et muets., face à la tyrannie tropicalisée « Nédo ko Bandoum ». L’homme des français et des américains, ou le pion, joue sur le même piano.
Celui-ci a-t-il donc la mémoire courte ? Le renégat versatile, irascible, qui veut imposer le parrainage électoral, sait d’avance qu’il n’aurait aucune chance de franchir le premier tour, encore moins de gagner les scrutins à venir, n’a pas confiance en lui, mais manque non seulement de respect à son opposition aux citoyens et aux citoyennes, qui sont majoritairement et largement édifiés sur la nature du voyou, le sanctionneront davantage , qu’ils ne l’avaient fait contre Wade en 2012.
Dans ces conditions, si l’opposition réunie avec l’épée de Damoclès qui pèse sur sa tète, décide d’aller aux élections programmées à date échue, ce sera assurément une faute politique fatale, mais une défaite cuisante impardonnable la plus cinglante dans son existence.
Aucun article de la constitution moribonde, soit il, ne prévoit dans ses textes une loi sur le parrainage des élections présidentielles. Ça n’existe pas. Une violation flagrante qui est passible de haute trahison. Celui qui promettait de réduire son mandat présidentiel de 7 à 5 ans, telle une girouette, a fait passer sa parodie référendaire –Deum- garde, a menti de long en large, garde par devers contre nous tous, son mandat de 7 ans. Rebelote, le récidiviste rempile de nouveau pour la unième fois, comme rien n’était.
Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, comme par magie et à quelques encablures des présidentielles comme d’habitude, pour écarter des candidats potentiellement ombrageux, qui risqueront de l’empêcher d’être présent au premier tour, le renégat en chair et en os, reprend du poil plus belle que jamais, anticipe sur l’événement en perspective.
Sachant qu’il a une majorité des moutonniers, dociles, et pour limiter les dégâts et éviter tout effet de surprise cataclysmique, l’ autocrate mobilise sa cour des courbettes, pour qu’elle vote dare-dare et presto illico- scandaleusement et bruyamment sa propre loi scélérate négationniste, qui est taillée sur mesure, qu’il légitime, comme un système de gouvernance obscur.
On ne vote pas des lois en fonction des dividendes cachés d’un président-monarque, qui est chef de parti cliniquement clanique, alors qu’il déclarait orbi et urbi, en 2012, s’il est élu président de la république, il démissionnerait de sa caquette en tant que secrétaire général de l’apr. Ce qui dit en long sur un conflit d’intérêt manifeste, poussant et condamnable.
Prenons l’article 4 et 59 de la dite constitution. Que disent-ils ?
Article 4 : « la Constitution garantit des droits égaux aux partis politiques, y compris ceux qui s’opposent à la politique du Gouvernement en place »
Article 59 : » l’assemblée nationale contrôle l’action du Gouvernement et évalue les politiques publiques »
L’examen laisse apparaître nettement de gros mensonges exponentiels comme tout le reste, d’ailleurs.
C’est plutôt le contraire, puisque c’est le président-monarque qui réquisitionne, contrôle et tient en laisse l’assemblée des guignols, au premier rang desquels le lèche- bottes attitré du palais made « nédo ko bandoum ».
Les preuves et les faits ne manquent pas, foisonnent parlent d’eux –mêmes sur le terrain du crime. Car le projet de la loi tyrannique sur commande recommandée sur le parrainage électoral, est adopté servilement, le 19 mars 2018, selon la volonté du caudillo du tyran encombrant, qui continue de diligenter tout par derrière par son arrogance et ses trahisons en propension, auxquels il a nous habitue, depuis le 25 mars 2012.
Ce qui est surréaliste et grave, c’est en même que la pensée mécanique, hystérique, vassale, s’exécute et s’ébranle honteusement, lâchement, l’opposition désarmée, manifeste, use dans son plein droit et dans la rue, pour dénoncer ce qu’elle appelle l’autre hold- up des présidentielles de 2019, la police waffen SS au service du tyran, la crible non seulement de grenades fumigènes, avant d’arrêter brutalement quelques uns d’entre eux, plus une cinquantaine de militants, sont tous conduits dans un commissariat manu militari avec une sauvagerie déconcertante, qui nous nous laisse pantois,
En vérité, chez Macky Sall et son régime des hors-la –loi, les tripatouillages inflationnistes, fascistes en permanence sont devenus nécessairement une religion, un label d’un foutoir des rapines politiques, un dogme établi, comme étant sa seule vocation.
Compte tenu de l’application de cette loi tordue qui est imposée de ce régime de ce pugilat, comme tant d’autres à la pelle, il n’y a que » l’harmattan sénégalais » qui puisse changer le rapport de force, face au caniche de l’occident, guignol, attardé, digne de son rang, ne recule devant rien, agit envers et contre tous sans état d’âme et qui foule du pied les intérêts supérieurs incessibles du Sénégal.
Or, aujourd’hui, cet archétype qui a retourné maintes fois sa veste, comme si rien n’était, remet le couvercle, admet et s’applique à lui-même ce qu’il dénonçait sous d’autres cieux, tient mordicus à faire voter coûte que coûte sa loi arbitraire sur le parrainage électoral, sous le prétexte fallacieux d’éviter des candidatures inflationnistes, qui cachent en bandoulière une forfaiture supplémentaire par des compilations de légèretés dégoulinantes, saugrenues, décousues . Ce qui en dit en long sur une parodie présidentielle en gestation à l’horizon 2019.
L’opposition réunie porte plainte à la Cédao pour l’annulation de la loi sur le parrainage. La Cédéao est-il donc un logiciel aux ordres des impérialistes et des lobbies militaro- industriels capitalistes ?
La Cédéao est-elle vraiment une institution libre, indépendante et souveraine ? Je ne le crois pas. Un trompe-l’œil, une institution factice, cache bien la forêt. À quoi bon de la consulter, face à au mercenaire, qui est toujours en intelligence totale avec nos oppresseurs ? Elle ne fait pas le poids n’a jamais réglé, et ne réglera rien, ni de près de près, ni de loin. Il n’y a que la rue qui puisse l’arrêter. Il n’y rien d’autre. Les pays plus démocratiques et les plus développés qui ont des histoires, ont tous neutralisé, réglé à eux seuls le compte de leurs traitres, mais ici, chez nous, les comploteurs et les faussaires en bande organisée, sont bénis, chouchoutés, gratifiés, adulés, assistés en matériel militaire et avec toutes logistiques de toutes de sortes, font leurs propres lois.
En vérité, elle est tout simplement l’arrière-cour des Cow-boys. La prétendue solennité, fictive, figée, ligotée de la tète aux pieds, alignée, encartée, cordée par le même maître qui la tient en laisse, n’est qu’un géant virtuel au pied d’argile de ramassis de hors-la- loi , dont la plupart d’entre eux sont venus au pouvoir par les coups de canon dépendent et obéissent au doigt au ndiguel et à l’œil du gendarme colonial, qui est en réalité, le véritable patron des lieux.
Après 60 ans d’indépendance bâillonnée de la dépendance dynamique en continu, avec ses sommets tous genres et les accords bidon, vides de coquilles de l’esbroufe, maquillés les appellations APE, PVD, que sais-encore, le bilan est une hécatombe, puisque nous reculons de plus en arrière de 150 ans, comme si nous sommes à la pierre taillée. Nous devons changer notre fusil d’épaule, en cherchant des véritables partenaires et des alliés bons et surs, qu’il faut, ne nous trahissent pas, de sorte qu’il y ait un rapport entre gagnants – gagnants, avec lesquels nous pouvons travailler ensemble, en privilégiant de facto les hautes technologies de pointe, au lieu de nous laisser réduire en esclaves.