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BIG BROHER : « BUDARA SED NALEP TANG »FACE AU LABEL D’UN GANGSTERISME D’ÉTAT FANTOCHE, COLONIAL, VOYOU POLICIER. Par Ahmadou Diop.

L’acrobate, machiavel s’est maintes dévié desa trajectoire initiale : la rupture s’est transformée en gouvernance ethnique intégrale, tient lieu de changementet de répression à l’hitlérienne. « Le mauvais sang « correspond  aux faits du pedigree. Sous le prétexte d’organiser un hold- up électoral en 2019,  le larbin chiffonnier, chouchouté par les leuco dermiques,  légitime sa violence comme étant  sa marque de fabrique totalitaire.

La légitime défense  doit être proportionnelle au degré d’impunité  d’un bazar, revigoré par l’euphorie du pouvoir ethnique.   Agissons tous ensemble en concert, et enterrons nos querelles et nos haches de guerre. C’est une question de survie et de démocratie pérenne, face à la brutalité du chef de la ribambelle caïds en bande organisée. Demain, c’est qu’on le construit ! Soyons vigilante et sur nos gardes.  

Le réveil sera brutal et, il y aura, demain, des gueules de bois. Malheureusement,  la majorité des sénégalais, semblent-il, ne mesurent pas la gravité exceptionnelle. L’histoire appartient au pouvoir du peuple et par le peuple et  non à une sarabande voyous, qui apparaissent mieux structurés que l’ensemble d’un pays entier, accroupi.

Si on n’y prend pas garde, le félon prépare son propre score préfabriqué. Soyons tous unis. et faisons corps et cause c commune !   Mieux vaut  prévoir que guérir !   Il ne sert à rien courir, il faut partir à point.  Pas d’un deuxième mandat à un changeant. Il doit subir obligatoirement  le purgatoire, quoiqu’il fasse des pieds et des mains. « Galuk dof du ter » et son ter colonial. C’est la force qui arrête la force !

 « Gañi nañu~fipu  nek ben na lep tang tébudara sed »,  pour précipiter la chute libre de ce régime de goût,  timbré  hors-la loi,  nous pourrit quotidiennement,  nous enquiquine,et   nous a habitués à des faux bonds ,à répétitions, bande ses muscles à la moindre incartade pour un oui ou pour un non.   Amine !

 Par son impunité abusive,   notre viatique national veuille qu’il  soit  conjuré,blâmé,  bravé, en toute légitimité,  et pour le vilipender tout azimut  et sur toute la planète entière  en toute circonstance, et sans retenue,   en vue le déboulonner.  Cela devient une question de salubrité publique.

 À  cet effet,  face à un caïd,  hors-la loi,  incorrigible, qui  agit sans foi ni  loi, confisque la démocratie et les libertés fondamentales, veut à tout prix garder le pouvoir, y tient mordicus,  en abuse ouvertement du haut de son ignorance, et   par  devers  et des mécanismes  peu orthodoxes contre nous tous, utilise sciemment tous  les moyens d’état et les forces  du désordre, fussent-ils abjects, immoraux, pour  croire pourvoir arriver à ses fins de basse besogne.

 Pour éviter toute surprise, tant soi peu, la morale nous recommande d’extirper  Alingouille Ndiaye, le ministron de l’intérieur,  de l’organisation  des cirques électoraux présidentiels.  Si  nous voulons, nous pouvons. C’est une question de volonté et de courage.

 délivrer sa carte d’Identité BIOMETRIQUE à Karim Wade. Une première au Sénégal.

  Le régime inquisitoire choisit  librement ceux  qui  doivent être des citoyens, selon leur posture.  Macky sall, est-il  seulement  un citoyen sénégalais ? Personnellement,je pense qu’il a une triple nationalité : sénégalaise, américaine et française.

  Si nous ne faisons rien pour endiguer la calamité, le Sénégal, notre pays, qui va de plus en plus mal,  depuis sept ans, va droit au mur.  Où va donc  le Sénégal des incertitudes  avec des élites de pacotilles qui plombent son  développement  économique et son avenir ?  

 La  République des traitres  guignols corporatistes, des incivilités,humidifiées, ethniques, terroristes,  des parjures, à couper le souffle,  inverse ridiculement  les rôles, à la seule fin de se dépatouiller  de ses engagements et promesses électorales  qu’elle a laissés sciemment aux vestiaires.  Naturellement  Le ridicule ne tue plus.

 Cerégime  anxiogène,  criminogène, abonné aux  procès présagés judiciaires des soubassements politiques,  est  plus coupable que  ceux  qui sont  réduits au silence dans les goulags  du premier voleur  plus  riche que les présidents de la république des nations  développées.   

 Le Sénégal n’est jamais  tombé aussi bas  que  sous le magistère calamiteux d’un nègre  de service,  suppôt de naissance, demeure plus que jamais  le  caniche de l’occident.

 Nous n’avons  pas  de  leaderships patriotiques,  mais  des pirates  pitoyables  et des  félons, convertis en garnements serviles, tous soumis  pour la cause coloniale, notamment le premier d’entre eux, dénommé la bourrique de la surcharge pondérale, qui se niche est au plus haut sommet de l’état sénégalais à cause notre étourderie généralisée à l’échelle nationale

. Depuis le regrettable soir du mars 2012, l’état policier, inquisitoire,  bande ses muscles à la moindre incartade,   avec le tout répressif sévit,  foule du pied les libertés fondamentales, indicielles.

 Caméra de surveillance et les 65 Engins blindés anti-émeute : NDakaru sous le choc de la haute surveillance du bandit– Casseur du Siècle au Sénégal-commande du matériel de guerre tous azimuts

 Qu’on le veuilleou non,. Sous le  magistère précédent,les citoyens manifestaient spontanément, librement dans la rue, ni retenue aucune. Et la presse qui  se déchaînait, hier,   en mettait toujours  une couche épaisse, en exagérant même. Aujourd’hui, cette même  profusion  change son fusil,  se tue comme une carpe, à moins de tresser les éloges complaisants pour l’honneur d’un tyran.

  Mais, maintenant,dans la république des tontons macoutes, la soldatesque de service cueille n’importe qui à  n’importe quelle heure de la journée ou de la nuit.Place, maintenant à l’inquisition et aux rafles permanentes, pour interdire tout ! La liberté d’expression devient nécessairement un délit !

 Depuis sept ans et sans discontinue et sans répit, le tout répressif  sévit avec des procès politiques cataclysmiques sans fin. Tout opposant réel ou supposé même est suspecté d’avance, s’il n’est pas arrêté au mépris des règles élémentaires de la démocratie. Car toute capacité de résistance est bannie, sous le fallacieux prétexte de trouble à l’ordre public.

     C’est bien le fasciste  dégingandé qui trouble lui-même l’ordre public avec ses ramassis  de sa injustice politique, instrumentalisée, se complait aux ordres, qu’elle exécute bassement la tète baissée.

 En 2012,  sous d’autres cieux, le peuple souverain,indépendant libre, en a décidé autrement, en élisant un absolutiste encagoulé.et la presse mercenaire se déchainait lamentablement pour un oui ou pour non  perdait même sa raison d’être.

  Mais aujourd’hui,  elle est devenue et les yeux et les bras armés du régime négationniste ethnique nédoko bandoum.  On ne cesse de le répéter, la dépendance politique financière de la presse est une réelle menace à la démocratie.  Celui qui tient la presse, tient tout le peuple et tout le pays.

   Tout pouvoir abusif, pour être charismatique,contrôle, musèle la presse, est totalitaire, par définition. Qui peut donc lenier, maintenant  au risque d’être loufoque ? Plus les mensonges s’épaississent  davantage, deviennent gros, plus ça passe. C’est la règle. Jusqu’à quand cela va-t-i-l durer  et pour combien de temps ? Le monde civilisé nous regarde médusé  et avec dédain.

 Nous devons répondre  pour coup et jusqu’à la victoire totale, face aux vacarmes sismiques des troubadours badolas. Il y va de notre survie, puisque plus personne n’est plus à l’abri de rien,.

      Plus nous nous complaisons dans notre somnolence atavique par notre consentement réactionnaire, est synonyme de couardise masla-  dialogue. et quel dialogue ? C’est le rapport qui prime surtout, et à l’instar des grandes nations debout. « Les gilets jaunes »sont là.    Place maintenant au prix fort à payer !

  La graine avariée ne peut produire le contraire. On ne  récolte  ce que l’on  a semé, n’est-ce pas ?. Le travail ne s edécrète pas, mais il se vit dans la compétence et l’action matérielle sur leterrain, non par  des incantations stériles pour se décharger despromesses électorales jamais tenues. L’homme parle plus qu’il ne travaille, enréalité.

Le terroriste en chair et en os,  le négationniste ethnique, nègre de service, suit et applique mécaniquement systématiquement, historiquement la charte et la voix totalitaire de  l’expansionnisme   suprémaciste blanc. 

L’homme  des galéjades, des faux bonds, du haut de son piédestal choisit la voie altérée invétérée ne pense qu’à lui, et non à celui au peuple, utilise l’argent des deniers publics pour acheter les consciences abîmées à la pelle des corrompus et éviter toute opposition républicaine, radicale, tente vaille que vaille à blanchir à grande eau ses parjures et sa richesse immense, étalée au grand jour par les esclandres des tissus de mensonges cousus de fil blanc.

La coupe déjà bien pleine et la pilule ne passent, ne passeront jamais. Nous ne sommes pas des moutons tondus pour avaler la pilule et ses âneries purulentes, dont il est l’unique comptable devant l’histoire. 

Les montagnes mensongères suintantes, organisés, se perlent à l’infini constituent une vocation chez les pègres nègres de service de naissance durant leur existence jusqu’à leur mort.

 Le fourbe, admirateur de Goebbels,  met à exécution les méthodes fascistes, propagandistes  du Reich, Hitler.

Plus ils mentent, plus c’est gros, plus ça passe par la presse de carpe, triée au volet, corrompue, domptée et dressée en coupe réglée, relaye en boucle les mensonges grotesques sur toute la planète. 

le tyran et ses alliés benoo bok yakaar ou le cartel mafieux des ritournelles veulent réduire l’opposition à sa plus simple expression : en langage clair, cela signifie l’achat des consciences crevables à merci à coup de briques qu’on distribue vertement pour laminer toute opposition réelle ou supposée des esprits libres. 

Les juges et les magistrats doivent être élus dans les mêmes conditions que les élections présidentielles au suffrage universel.  C’est notre label. à défaut, le recul ira en pis.

Et les radars Big Brother international sont-ils donc invisibles aveugles, sourds et muets sur des milliers d’africains noyés dans les océans, ou tués à l’échelle internationale planétaire et dans l’indifférence quasi générale ? 

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