” CONVICTION RÉPUBLICAINE” : OU PROFESSION DE FOI D’UN HÂBLEUR CRYPTO FASCISTE ? PAR AHMADOU DIOP.
”Conviction Républicaine, un grand mot vide qui recouvre la marque du despote timbré. Après la Fondation Bidon Servir le Sénégal, pour asservir le Sénégal, place maintenant à un autre embrouillamini mystificateur, dénommé ” Conviction Républicaine”, ou PROFESSION DE FOI D’UN HÂBLEUR CRYPTO FASCISTE, NEGATIONNSITE ?
Autrement dit, il n’y a ni plus ni moins que d’une compilation de crimes d’état pluriels, économiques, politiques, financiers que physiques contre des étudiants, sont lâchement criblés de balles réelles, alors qu’ils ne réclament que leurs droits, leurs bourses. La soldatesque waffen SS, très prompte, qui est affiliée à la République des criminels en bande organisée, a belle et bien la Gâchette facile, tire à vue pour tuer toute capacité de résistance. C’est bien la pédagogie mystique du régime apocalyptique pandémique des offrandes étranges.
Qui commandera et « qui Mangera la Tambouille toxique », si ce n’est que l’escroc, dévergondé, distribuera l’ouvrage maudit à sa bande de farandoles incultes ?
Le complexé dans sa nature de Sous-Homme, ne se gêne pas outre mesure, ne lésine pas sur les moyens de l’état, tente vaille que vaille, à mettre en relief tout ce qui peut glorifier, renforcer et élever l’homme blanc colonialiste. Car sa gouvernance calamiteuse, pandémique se résume exclusivement en copier coller. Nous en avons eu plus d’une fois des preuves additionnels plus que fournies qui ne comptent plus, depuis, hélas, le regrettable triste soir historique du 25 mars 2012. L’amère pilule, ou « l’Enzyme Mortelle ».
Citons-nous en quelques uns : L’ASP, agence de proximité de sécurité- ou l’Engeance Maléfique-la rupture éclopée des rapines et le soi-disant Plan Sénégal Emergent, baptisé l’appellation inflationniste, sous l’Acronyme nébuleux PSE\ Emergence Expansionniste dans les faits établis, pour ne citer que ceux là. La place de l’Europe à Gorée fait penser à celle de l’Europe à Paris.
L’intégriste Ethnique, intégralement négationniste, Nihiliste de la tète aux pieds, est plus connu sous le sobriquet quelque peu Glorieux de Caniche de l’Occident, lequel en flétrissure, par ses ratonnades et ses courbettes dégoulinantes à couper le souffle, n’en démord jamais, s’accroche plus que jamais, telle une huître sur son rocher, se complait en lèche-bottes par sa lâcheté révisionniste, par son indignité caustique, prégnante, qui lui colle à la peau, se drape sous l’habillage d’un prédicateur- en Faussaire- prédateur-Dictateur-Colonial, s’accommode terriblement en menteur lamentable mécréant professionnel, digne de son rang, nous insulte en permanence, espère bénéficier de l’usufruit des dividendes politiques et des largesses coloniales, mal placées.
Le nègre de Service pantouflard et du haut de son ignorance qui l’accable, n’en a cure des récriminations, le patriotisme imaginaire en bandoulière des leurres, la victoire du prétendu Suffrage universaliste des cirques électoraux élaborés se conçoit et se joue exclusivement et nécessairement à l’aune et sur le piano-américano français à coup de MRDS de F CFA- Regardez mon doigt ! – et ceci sous les défroques dithyrambiques expansionnistes, inavoués.
L’éternel Vagabond- Braqueur électoral, le pion taciturne, chouchouté, ne compte point dévier de sa trajectoire totalitaire, fait les yeux doux à ses maîtres suprémacistes blancs, se frottent les mains sur toutes les ressources du Sénégal, sont présumés faiseurs de roi et d’opinion à la place de tout un peuple , accroupi, méprisé et maîtrisé, est apparemment capitulard, se laisse dominer par des chiffonniers vampires. Il va de soi que toute l’Afrique dite francophone, ligotée, soit exclue de l’hagiographie mondiale.
Alors, pour ce faire, et arriver à ses fins de sale besogne, le minable bougre de naissance, qui a une conception étrange de la démocratie, leur garantit de nouveau des gages supplémentaires dans le secret des dieux et de façon souterraine, à dessein de rempiler de réitérer, ainsi, ses prouesses abracadabrantesques d’antan, à l’horizon 2019 et ceci dans les dédales de la magie des mystifications mordantes.
Pour rappel, lorsque le Référen’Deum et les parodies électoralistes sont passés, comme une lettre à la poste, comme si rien n’était.
Cerise sur le gâteau, en sus des arrestations abusives, arbitraires, confiscatoires à la démocratie, tous azimuts, qui se multiplient à un rythme effréné, sans que rien ne les arrête, dans ces conditions, le vendu, requinqué, ragaillardi, fait passer sa loi scélérate sur le parrainage électoral, malgré une levée de bouclier généralisée. Le personnage curieux des coups tordus, des faux bonds à répétitions et des galéjades abyssaux, fait vent debout envers et contre tous, imprime sa marque autoritaire, gagne par devers à tous les coups par les raccourcis du label de la tyrannie, que sont les auxiliaires brossés, qui s’exécutent bassement, en échange des galons indus et des milliards de F CFA, puisés dans la poche du contribuable sénégalais, qui s’érige en moutonnier docile. .
Macky lance le Tome 1 de son ouvrage « Conviction républicaine ». Mon œil !
Décidément, le prototype, ou le socle absolu du mal incarné par l’inimitable bestial menteur, professionnel, de classe exceptionnelle, s’arroge le négationniste, ségrégationniste, va-t-en-guerre, digne de son rang, se dégonfle une fois de plus en porte drapeau étendard, fixe le débat, le clôt unilatéralement et continue de franchir allégrement de plus en plus les lignes rouges, malgré ses dérives totalitaires spectaculaires, tente de surmonter un par un les paliers supplémentaires, pour s’offrir vulgairement en spectacle, et se distingue tristement à la place publique, défraie piteusement la chronique, qui devient virale sur la toile de la planète entière, chaque jour que dieu fait, par ses escapades et ses échappées torrides, singulières, dont il a l’unique secret, comme tout fasciste, déclaré de la désinvolture, lance encore avec fracas l’esclandre de son Tome 1, qu’il qualifie honteusement « la Conviction républicaine » pompeuse, pulpeuse et emphatique dans une grandiloquence démesurée des coquilles vides.
C’est ce que nous appelons la plate-forme d’un déséquilibré mental, pathogène, qui est au plus haut sommet de l’état sénégalais, brille dans des compilations de litanies démentielles, mensongères, grossières, des leurres inouïes, sont empilées les unes après les autres. Voilà la Saga de la pestilentielle d’une bande de ribambelle, funeste, qui n’a que trop duré et à laquelle nous avons l’obligation d’y mettre fin, si nous voulons aller de l’avant, à l’instar des grandes Nations, qui jouent, désormais dans la cour des Grands, qui ont des histoires matérielles et qui le prouvent. par la haute technologie de pointe, dont ils ont le secret par leur fibre d’honneur.
Lesquelles, telles des pluies diluviennes, pleuvent en cascades, durant un septennat calamiteux du règne d’un régime le plus scandaleux par ses reniements les plus saugrenus, les plus cataclysmiques, tant par son caractère blasphématoire, qu’immoral, que nous ayons connus jusqu’ici dans notre histoire. Cela nous renseigne éloquemment sur un imposteur infatigable, cynique, arrogant et suffisant d’un singulier pédigrée, dont la monstruosité est inégalée sur tout le reste de l’échiquier politique sénégalais.
En vérité, nous avons affaire à un suppôt, à un mythomane, pyromane, cleptomane, chevronné, déclaré-non éclairé du colonialisme, qui ment plus qu’il ne respire, comme tout renégat de son espèce, dépasse même la vitesse du son et de la lumière réunie.
L’incapable menteur professionnel, profanateur par ses simagrées, ne peut être en aucun cas un ensoleillé. Alors, des nègres de ramassis, désertiques, réquisitionnés, tous tondus et alignés, sont payés par les deniers publics, se chargent d’écrire à la place du médiocre, illuminé et labellisent les pires méthodes de la Stasi. La gouvernance boiteuse, réprime touts azimuts et tue dans l’œuf toute adversité politique. Pour le régime colonial, boucanier, prend des mesures liberticides, qui ruissèlent plus que les lacs , toute opposition réelle, est de facto bannie, devient automatiquement , un Casus Belli mortifère.
Lorsque la corruption, les concussions, avec en prime, les charrettes de détournements des fonds publics, les transvasements, les cueillettes de jour comme de nuit, en cascades, constituent un gagne-pain , auxquels s’ajoutent le summum de l’abondance nauséabonde, à savoir, la transhumance et les chantages permanents, en sus des éternels braquages électoraux en continu, et surtout le dernier cri, qu’il considère « Conviction république », ne sont qu’un écran de fumée grossier.
Le prétendu tome 1 – un tissuthèque de verbatim creux , a tendance à arrondir les angles et cintrer les coins, le tout pour faire beau et pour amuser la galerie, à dessein de croire nous entuber et nous rouler dans la farine durablement.
Charles Ntchororé, le capitaine d’origine gabonaise, qui commanda le contingent des Tirailleurs sénégalais, en transit à Dakar au camp de Thiaroye, après son arrestation, fut fusillé, le 1décembre 1944, pour avoir refusé la désolidarisation avec les soldats sénégalais. Ces derniers furent tous massacrés à la même date, et dans la même nuit, pour avoir réclamé les mêmes droits que leurs collègues de la métropole. D’où le célèbre film « Thiaroye 44 » de Sembène Ousmane, le pionnier du cinéma africain, qui mourut à Dakar en juin 2007, à l’âge de 84 ans.
Le pion a estimé que les tirailleurs sénégalais avaient bénéficié d’un traitement enviable de la part de la France coloniale. Le chef de la République Ethnique familiale, estampillé le pantin de service de la ringardise, est devenu par définition, la courroie de la transmission des hashtags convulsifs à la renverse. Rien qu’un catalogue d’inepties et de mensonges à dormir debout. Les Boulettes fumantes du référent nègre de service s’amoncellent à l’infini et à la pelle, au point nous perdons notre COCC BARMA.
Le pitre despote Mercenaire en place nous rappelle de Senghor, « l’émotion est nègre et la raison hellène »- qui disait que « la colonisation est un mal nécessaire » contre laquelle Cheikh Anta Diop, le génie, hors-pair, le kamit-panafricain, s’élevait avec toute la rigueur nécessaire. Il s’agit tout simplement d’une imitation désolante de la part du tonitrunant, pirate, Macky Sall, l’inguérissable mascotte de la fourberie. Le traitre n’est pas à son coup d’essai, pour avoir déclaré, je le cite : « le retrait des troupes et des basses militaires françaises était quelque peu un nationalisme mal placé », y ajouta cei , enfonce le clou : « le F CFA-ou le nazisme monétaire, est une bonne monnaie à garder ».
le larbin de naissance en chair et en os se déculotte affreusement en porte- parole de la charogne, symbolise le négationnisme sensationnel colonial- ce qui en dit long que toute sa magistrature biscornue du début jusqu’ici, met à nu ses propres contradictions cousues de fil blanc – qu’il appelle avec désinvolture- « Conviction Républicaine »-Trompe- l’œil, tombe lamentablement peu à peu en château de carte au fur et à mesure que les jours , les mois et les années passent d’un magistère de piètre qualité , et à l’approche des parodies présidentielles 2019-« Adoti kalpé –Foxarci – këf-Tolenti- nangoti ».
Gorée place de l’Europe : mimétisme de Macky Sall, Fraba Guignol, pro colonial, est sur les traces de son maître spirituel, en l’occurrence, Senghor. « L’émotion est nègre et la raison hellène » (Léopold Sédar Senghor) ». Cheikh Anta Diop décrypta Senghor comme étant un codificateur du fascisme.
Macky Sall : «La Charte des Assises nationales n’est ni la Bible ni le Coran». L’apostat, teigneux, le lâche, ignore totalement la notion d’état régalien. Chassez le naturel il revient toujours au galop. Circulez, il n’y a rien à voir ! C’est ça l’amplitude scandaleuse d’un déloyal, non repenti, qui le prouve, fait feu de tout bois, et qui crache volontairement sur ses promesses électorales, pour lesquelles il a été élu exceptionnellement et dans des conditions inédites.
Comment signer à la fois la charte et avoir des réserves sur la question vitale, qui engage notre avenir ? De deux choses, soit, on signe, soit on ne signe pas.