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CPC\ présidentielles 2019 \ Dégager le Gourou Ethnique, l’Envers du Décor dés le premier tour : un impératif patriotique, civique. Par Ahmadou Diop.

Présidentielles 2019\ Conscience Patriotique pour le Changement\ XAM SA REW – BËG SA REW – JARIÑ SA REWEnsemble,  si nous voulons,  debout et fiers de l’être,  nous pouvons   pour  mettre  la bonne graine à l’endroit  et  à la place qu’il faut contre l’envers du décor, le mal absolu !

Maintenant,  d’ores et déjà, mobilisons-nous tous, car  un  seul  ordre s’impose  désormais : Haro  et boulets rouges contre le régime guignol, Colonial , dégingandé, ordurier et  pandémique de pugilat,  tortionnaire  contre des libertés fondamentales de conscience !

Alors, donc Conjurons le Diable en place  et ses  Rabatteurs- Mercenaires Tentaculaires,  tous des corrompus,  défroqués,  détestables,  en flétrissure   et en  bande organisée.

 Vilipendons-les et  ridiculisons   les dans les réseaux sociaux,  dans  les radios et  dans  les médias libres, qui  restent  par devers  et par  définition,  la source des  informations objectives  et  la confrontations des idées, demeurent  plus  que jamais  les redresseurs de conscience ,  bien déterminés,  qui démontent  à longueur de journées, et  pièce par pièce, et preuves matérielles  à l’appui.

Car  les  incursions cataclysmiques  des  menteurs –politiciens,  qui  se métamorphosent affreusement  en fourbes- professionnels, profanateurs – se convertissent  tous  dans la débauche-, s’adjugent honteusement  en multimilliardaires des ténébreux et par le miracle  des raccourcis politiques, étranges,  dans des conditions  scandaleuses, se donnent  piteusement une respectabilité de façade, et par l’entregent des postes de nomination Tan Sa Bulex Nex– sans éthique, ni équité, poussent comme des champignons dans notre pays, le Sénégal, reste incontestablement  l’exotisme politique et  le ciel ouvert du banditisme financier international  et la boite de pandore des ploutocrates, gérontocrates, politicards.

En sus de leurs postes, indus, ils  détiennent  à la fois et de façon incongrue,  tous les  leviers économiques, financiers,  en collectionnant  des  entreprises  ici ou là et à tout vent , dont leurs richesses si étalées,  ostensibles , attentatoires, sont plus  rapides que la vitesse  du son et de la lumière réunie,   et  qui bénéficient allégrement  des  largesses du  parapluie  du premier d’entre eux, dont le moins que l’on puisse  dire,  n’est jamais un saint.

Et pour cause, pour avoir emprunté les  mêmes  chemins aussi douteux que les autres, qu’il accuse  de s’être enrichis illicitement, et  qu’il cible sélectivement et  par  son procureur-alimentaire interposé [dieu sait qu’il est à l’abri de tout besoin, roule bizarrement  en un temps record,  dans de gros bolides, derniers cri].

Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, le présumé parangon de la rupture et la bannière en bandoulière, de  l’éthique et de l’équité, -mon œil,  qui fut faussement  peint  sous les défroques victimaires des leurres,  en l’espace de quatre ans,  a acheté une villa grand standing à Houston,  et qui  dispose  aussi d’un magot  plus colossal,  qu’il a ouvert dans des comptes bancaires,  qu’il a planqué dans les paradis fiscaux et à l’abri des regards indiscrets. C’est  le même cambrioleur né, qui protège  ses  thuriféraires, en échange des services  rendus,  contre toute poursuite  judiciaire, peu ou prou.

Le Berger Colonial, le récidiviste en chair et en os,  a signé  presto illico  l’autre accord scandaleux  sur une « présence permanente » militaire américaine.  Le même livre tout le pétrole sénégalais  et discute à huis clos avec le patron de la compagnie pétrolière, américaine. Est-ce don un gage supplémentaire ?

 Le Gourou Ethnique, qui a bien reçu  sa Médaille Coloniale à l’Américaine,  et  qui  joue  sur le piano-américano français, a-t-il donc les  mains et pieds liés face  à  l’Oncle Sam, qui semble   savoir un peu plus   tout  sur le Casseur du Siècle au Sénégal ?   Je  le  crois personnellement  et à mon intime conviction.

2019- pour toutes ces raisonsdeux options s’opposent :

  • soit, nous  nous enfonçons un peu plus par notre fatalisme ahurissant,  en nous  complaisant davantage,  la tête baissée,  pour nous installer dans  le temps et dans l’espace par  la  régression en continu et à la pierre taillée, à dessein de  maintenir et  promouvoir l’esquille de  la  démocratie familiale, ethnique,  fantoche, qui est en osmose totale avec  l’émergence coloniale, qui sont  source de décadence et aux antipodes à  nos modes de   pensée  et  à  nos valeurs et nos traditions,  historiques,  soit, nous relevons le défi,  et corriger le tir,  pour  nous inscrire  en droite ligne dans l’histoire au diapason et  à l’instar des grandes pays indépendants, libres et souverains, qui sont les maîtres  de leur propre destin  sur des bases voulues et en toute conscience.

  Si nous, nous pouvons.  Ensemble, tout est possible.  C’est une question de volonté et de courage.  Ou alors, à  contrario, malheureusement,  si nous voulons  rester  durablement dans l’indignité totale, aussi longtemps que cela  sera nécessaire,  par notre incapacité  et notre léthargie, qui sont source d’abdication,  due à notre consentement réactionnaire, face à ce  bougre- le berger colonial,  pour demeurer  éternellement  et les  esclaves  de droit divin  et  à la merci de l’esclave  du tyran, qui est lui-même  dans les actes qu’il pose,  lequel s’évertue ouvertement  à n’être que   le  champion et  le chantre colonial,  du haut  de son  ignorance et  par son  manque de patriotisme avéré,  il sans dire que nous soyons  traînés dans la boue,  tant que nous soyons  tous sous la botte  et à la remorque  du  fasciste le plus repoussant, dont l’indécence manifeste  par ses trahisons à répétitions et aux effets cataclysmiques, sont si  évidentes,  au point qu’elles sont  plus jamais désormais  gravées de marbre   dans les annales de  l’histoire  du Sénégal et dans les mémoires collectives .

Alors, dés le premier tour et au nom de la morale, le sursaut national nous recommande  d’éliminer dés le premier tour,   le chef clanique du gouvernement de bazar  et  les   scandales ubuesques   à répétitions  de la  police de Stasi : un impératif   patriotique, civique, digne et  absolu, quoiqu’il advienne !

 Toutefois qu’il ne reconnaîtrait  pas sa dégringolade annoncée, la ligne la plus rapide est la plus courte, qu’il nous  faudrait appliquer, si nous voulons sortir des griffes du pion- chapardeur de naissance.

Compte tenu de  ce que nous avons vu et vécu  jusqu’ici, le fasciste risquerait de  rempiler – par son  Maatey habituelNiamnako Bayi NakoDoumako Bayi– paraderait  ses  militaires impressionnantes pour imposer  sa victoire  à la Pyrrhus.  Et la démocratie mondialiste  de l’arbitraire et de la tyrannie, qui ne  défend nullement  ni le droit, ni l’humanisme, légalisera encore et à coup sûr  le coup d’état électoral en permanence.

 Nous sommes dans un où  les plus forts   protègent ses intérêts capitalistes non avoués, hégémoniques par le truchement de la  stratégie  géopolitique,  quand même la notion d’humanisme rime avec paternalisme,  racisme et  antikamitisme à demi mots, voilés même.

Ceux qui s’autoproclament  la pensée, présumée universaliste,  le  fondement de  leur  philosophie,  repose  exclusivement  et essentiellement sur   l’argent, l’idéologie et le matériel, comme une fin en soi, et peu importe  que  les moyens soient en  totale avec l’esprit rationnel,   pour y arriver à leurs fins .

 Autrement dit, la fin justifie les moyens et ceci sans état d’âme. Car les états n’ont pas d’amis, mais des intérêts.  La religion  en bandoulière, n’est qu’une pirouette.

Nous en avons  eu pour preuve les guerres  interminables,  qui sévissent miraculeusement  dans le Sahel des G5,  des pays  francophones sous tutelle, que le même  gendarme dirige  et à la  seule fin de dicter sa loi  pour contrôler  les  élites  fantoches, esclaves.  Chez qui  donc, le G5 Sahel  achète-il  les armes et le matériel, et qui  se  sert  en avantage et en nature, s’arroge les pyromanes  et joue les pompiers de service ?

  À qui profite donc  le crime ?   Est-ce  donc la mission  édulcorée  » du Fardeau  de l’Homme Blanc » en continu, envers l’escarcelle de ses esclaves de droit divin, dans le secret des dieux ? Mon œil !

 Deureumbi Douguène  Galgui ?  Goulo dibaye Baboune di doundé.  Dans ces conditions,  peut-on  raisonnablement réellement parler d’indépendance politique et de souveraineté  dans les  14 pays baptisés honteusement francophones ?

 Où sont  passés les  terroristes sans être  vus ?  On  semble  laisser  faire, et on  intervient après.  Où étaient donc  les radars  et les satellites.

Les mêmes sorciers  qui ont crée les conditions   de l’assassinat du colonel Kadhafi,  ont été moins vigilants, lorsqu’il s’agit de la prolifération  des chars et de la circulation du matériel lourd  dans  toute la zone du Sahel.

 S’agit-il donc  d’une stratégie voulue, huilée,  et à quelle fin  morbide ? Détruire,  reconstruire et créer des guerres, divisées pour régner et  cliver partout, pendant que  l’on pille toutes les économies et  toutes les ressources inestimables, indispensables  de l’Afrique, et   corriger de facto  leurs récessions   récurrentes, capitalistes, débridées. S’il  y a la paix  et  la cohésion   sociale dans le monde, il faut absolument  désagréger  le tissu social, qui lie les sociétés et mettre  les uns contre les autres ?

  La Com’ est un art par la désinformation, la désinformation,  fait partie de la guerre. C’est une vieille recette  reste toujours d’actualité, pour justifier la présence et les troupes d’occupation et les bases militaires étrangères dans le Sahel, notamment dans les  14 pays  des élites  de carpettes, larbinisées sous tutelle coloniale.

Le franc CFA  continue à faire couler beaucoup d’encre, défraie  quotidiennement la chronique.  

Selon une certaine bien informée, le ministre français des finances et de l’économie a répondu à l’ultimatum par une lettre à son homologue russe et aurait déclaré ”la France ne se fera pas dictée sur sa politique africain par la Russie.

Le FCFA est très importante pour la trésorerie français et si la Russie veut une guerre économique, elle l’aura” ” Pas question de laisser les Ex-colonies français d’Afrique avoir leur propre monnaie ”.

Selon la vision du Référent encombrant, le caniche de l’occident,  le nègre de service bougre,  les emprunts obligataires,  infinis  serviront  d’arme de guerre pour les présidentielles  2019.

 Les emprunts obligatoires, abyssaux et les réalisations légères, coloniales-dont   le Ter,   a couté la bagatelle de plus  de 1365 MRDS de francs CFA,  en sus  du  nouvel aéroport International Balaise Diagne, qui est  très coûteux [dont le chiffre réel est  méconnu];  sans la prise  compte des commandes cataclysmiques d’armes à la France,  soi-disant pour lutter contre le terrorisme inexistant sur le ciel sénégalais, qui est totalement  dégagé de toute menace réelle,  y compris l’échangeur, suintant, qui a été inauguré en grande pompe,  pour ne citer que ceux là,  constitueront immanquablement  une arme de guerre en bandoulière pour les présidentielles 2019.

Un bilan calamiteux d’un gouvernement, farandole, travaille sur commande de ses maîtres blancs.

Nous devons  nous attendre  à ce que  Macky Sall,  l’archétype, étrange,  commande auprès  de ses  bailleurs, c’est-à-dire le FMI et la banque Mondiale   un rapport reluisant  pour orner  son bilan funeste. Et ceci pour dire que les comptes de l’état  immuables.

Alors, pour  croire  nous   enfariner,   nous emberlificoter, nous tromper et nous prendre pour  des demeurés, que nous ne jamais,  dans les jours prochains,  si ce n’est le cas maintenant,  le pion mercenaire, teigneux, pour  pimenter la sauce et monter les enchères sur ses légèretés inflationnistes,  totalitaires,  en abondance, enverra  simultanément par presse interposée de la sarabande et son premier ministron, Dionne  et Amadou Bâ, l’autre ministron des finances de l’économie et du plan, ancien  inspecteurs des impôts, fidèle à lui-même et sur ndguel de son mentor, menteur, jouera la première partie , annoncera, donnera le tempo   un Sénégal en voie de l’émergence effective avec des chiffres imaginaires.

  Tous  les deux  ne sont que des exécutants de ramassis, incultes,  répétiteurs,  sont envoyés  aux charbons, pour mouiller le maillot et amuser  la galerie.

Amadou Bâ n’est  jamais un expert  financier, économique, monétaire.  Il faut  le préciser.

 L’objectif majeur consiste à mettre en avant et brandir   et à tambour battant,  les chiffres bidonnés,  peu crédibles, pour embellir, et  recoller les morceaux,  et labelliser en bandoulière   la maîtrise des dépenses publiques, l’assainissement  et la stabilité de l’économie sénégalaise, présumée excédentaire,  qu’ils mettront en avant et  au beau fixe. Rien qu’un long chapelet de  mensonges politiques, grossiers.

Il n’y a pas de quoi  plastronner,  ou pavoiser, ou  car  le taux de croissance est calculé sur le PIB,   est piteusement  gonflé à 7 %,  ne reflète nullement la réalité sur le terrain du crime, contraste  avec la mayonnaise avariée.  C’est un écran de fumée. Point barre.  Plus 500  entreprises sénégalaises nationales ont mis la clé sous le paillasson.

Les compagnies étrangères raflent toutes les parts de marché sans appels d’offres,  se frottent les mains, rapatrient  leurs bénéfices  dans leurs pays respectifs.

Partout où  la banque mondiale et le Fmi [le fonds monétaire international], qui sont par définition,  des instruments de domination,  interviennent  avec ses plans structurels,  sévissent incontestablement  et  malheureusement,  le chômage, la misère sociale et la désolation endémique, chronique.    Il n’y Pas un seul pays qui échappe à la règle.

Pis encore, la saga pestilentielle, représentée par la  presse servile, matelassée, se dégonfle par sa platitude manifeste,  congratule hystériquement,  fait la promotion et l’apologie  du dictateur, qui collectionne des mrds de Francs CFA auprès du club de Paris, s’enorgueillit, pour avoir reçu  plus que ce qu’il espérait  en termes de prêts.

C’est la honte.   Et qui paie donc  la note astronomique,  si ce n’est le même contribuable sénégalais,  siphonné,  criblé  d’impôts et de taxes de toutes sortes ?

Alors que  le président ghanéen,  à claqué  la porte  aux institutions financières internationales,  impérialistes, capitalistes,  car selon lui, elles  demeurent  plus que jamais comme étant  un goulot d’étranglement vicieux.

Mais malgré tout,  le nègre de service, prend le contre pied du dirigeant  ghanéen, comme son acolyte ivoirien,   continuent  d’accroître  l’ardoise des dettes   qui dépasse  les limites autorisées.

Qui peut compter  les  dépenses inutiles du Fourbe et  ses voyages superflus, onéreux à l’échelle planétaire internationale ? À combien s’élèvent-ils ? Bouche et motos cousue !  Où sont nos prétendus experts financiers, économiques, tous font profil bas sur la question qui fâche ?

Le gouvernement, capitulard, dispendieux, les cumule de plus en  plus,  reçoit encore   4610 milliards,  pour financer  le PSE  coloniale  de piètre qualité,  soit un taux d’intérêt de 124 % qui frise la démence de la dépendance sympathique. Qui arrêta donc l’hémorragie financière  qui ira en pis ?

 Pour ces raisons que nous venons d’évoquer, balayons donc  dés le premier tour des élections présidentielles, le faussaire né.

Asp  (Agence  de sécurité de proximité) ou l’engeance maléfique au service du totalitarisme.   

  L’une des  brebis galeuses de l’Escarcelle Ethnique,  ou  le bandit se fait justicier soi-même, lève la main, s’autorise tout,  commet délibérément du haut  de son ignorance, est coupable de bavure.

Ceci n’est que la fâche cachée de l’iceberg  d’un capharnaüm en bande organisée.  Quand je parle de la république des fripouilles, je ne me trompe pas Et pour cause. En politique, tout se tient. Car il ne peut en être autrement.

Voilà les raisons pour lesquelles nous avions  déjà dénoncé vigoureusement  à l’époque la création clientéliste de la sécurité de proximité, qui  avait fait couler  beaucoup d’encre, et défrayer la chronique, compte tenu de  son r inexpérience, pourrait  déraper,  à un moment ,ou à un autre, alors qu’elle n’est pas bien formée en la matière.

 Ce fait répréhensible, n’en est pas, n’est pas anodin, c’est une religion dans ce corporatisme ethnique.  Ce n’est pas la première fois que la soi-disant asp fait encore   parler d’elle, commet encore  des actes délinquants, pour avoir tiré sur un présumé trafiquant de drogue et d’autres citoyens.

 Ce voyou doit être sanctionné à la hauteur de  la gravité exceptionnelle, et  sans conditions, n’a d’autre mérité que de bénéficier de circonstances aggravées,  eu égard à son audace  impunité.  C’est une exigence  non négociable.  Mais que  voulez-vous ?

Quand nous avons  un despote au cœur de l’état,  qui imprime sa marque, il va de soi que les autres du même acabit s’octroient toutes les libertés.

 Raison  de plus qu’il conviendrait  d’extirper  le mal  qui gangrène la société sénégalaise,  représenté par celui qui  est au plus haut sommet de l’état,  nomme Omar Maal à la tète de la police  alpulaarisée, jusqu’à la lie, le mal absolu,  et  qui les protège et les harnache, se croit tout permis. À défaut, le mal ira en pis ? Je le répète encore une fois de plus.

 [Agence  de sécurité de proximité]  n’est  jamais   dans le  corps de la police nationale, mais  n’a été créée que  par la volonté du tyran, qui est  passé  le  maître des décrets et du  culte de la médiocrité,  porte l’entière responsabilité.

C’est un corporatisme syndicalement  ethnique-fourre tout –un foutoir de l’anarchie. Elle n’est pas assermentée, en ce sens qu’elle n’est, jamais  dépositaire  de l’autorité publique au sens élevé du terme; elle n’a vu le jour, que   grâce  au  pouvoir  abusif du président de la république, qui a signé le décret de la foutaise.  Il  n’y a rien qui tienne !  D’autre part, quelque soit  le  comportement de la victime, et quoiqu’il  puisse faire de répréhensible, un policier n’a aucun droit de lever la main  sur un citoyen ou une citoyenne.

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