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Décryptage : Macky Sall, le terroriste ethnique, est-il islamophobe ou homosexuelophile ? Par Ahmadou Diop

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Macky, le terroriste ethnique, le promoteur du népotisme, le symbole maléfique, maçonnique, apocalyptique, prône « un islam tolérant », mais fait la promotion de l’homosexualité à demi-mot.

Le receleur dans l’âme est passé maître exceptionnel du casse du siècle au Sénégal, se tue par son silence coupable sur la question, fait honteusement main basse sur le pétrole de l’état sénégalais, partage le butin avec son propre Aliou Sall, l’opportuniste, qui s’autoproclame étrangement, bassement par la magie des combines, la qualité de maire de Guédiawaye, président des maires du Sénégal, président des élus locaux, s’adjuge lui-même maintenant le banquier de Dakar.

Macky SALL passe à la vitesse supérieure, en prenant la décision unilatérale d’interdire le port du voile intégral ou partiel, mais prend cause et fait pour l’hommosexualité.

[Vidéo] – Macky Sall « Qu’ils soient homosexuels, c’est leur problème ».

En effet, l’homme semble « légaliser » les actes contre-nature à demi-mot. En lieu et place d’un plan Sénégal au sens étylogique du terme, des contre- valeurs importées, émergent.

Nous sommes en droit de poser des questions légitimes.

S’agit-il donc d’un satisfécit pour les lobbies homosexuels endogènes et exogènes ? Un tel discours si crypté, étrange, ambivalent, obscur-clair, obéit-il forcément à un quitus non assumé ? Macky Sall se plie-t-il donc à la régle de ses parrains qu’il exécute habilement ? Nous le croyons sans équivoque. Que personne ne dise qu’il ne savait pas !

Macky Sall, dit « Charlie ou l’affairiste Pétiain Noir, l’envoyé Spécial colonial », Satanique tonitruant aux discours à l’emporte pièce, le gouverneur plénipotentiaire, accérédité auprès de l’hydre mafieuse, versus mafiafrique, est-il islamophobe homosexuelophile ?

Macky Sall, puisqu’il s’agit bien de l’homme, un des pylônes déterminants, terroristes non repentis, ethnicistes, activistes du dispositif essentiel de la françafrique, a bien été élevé au grade de Grand Officier de la légionneur d’honneur en mars 2008, dans les jardins de la France à Dakar, pour moult services bien rendus au pays de Marianne.

Il n’est donc pas étonnant qu’au lendemain de son investiture à la magistrature suprême, qu’il se rende dare-dare en toute logique du coté de la Seine pour renvoyer l’ascenseur auprès de ses bienfaiteurs.

Pire, il déclara par presse interposée française : « le retrait des troupes françaises relevait d’un nationalisme mal placé ». Macky Sall est le duplicata, le discipline de Sengor [paix à son âme], martelait : « le colonialisme est un mal nécessaire ». Entre les deux hommes, il y’a une similitude très parlante, en sens qu’ils ont une convergence sur une idéologie partagée. Car tous les deux sont passés maîtres des codificateurs du fascisme.

Après nos analyses rigoureuses de la situation politique et le décryptage qu’on a fait, nous osons croire à une image totalement erronée sur l’homme. Macky Sall, tel que l’indique son nom, ce nègre de service est le prêt- à -porter des intérêts colonialistes cachés. Ce que nous croyons(…)

Aussi étrange que cela puisse paraître, au lendemain de l’investiture de Macky Sall à la magistrature suprême, qui a été fêtée en grande pompe, relayée en boucle sur toute la planète par cette presse, très loquace, hier, mais coupable aujourd’hui, passe sciemment sous silence les dérives spectaculaires ce qu’elle dénonçait du temps du wadisme débridé. Le déluge n’est, en réalité, qu’une simple vue de l’esprit et un vaste tissu de mensonges cousus de fil blanc.

Aujourd’hui, après trois ans de gouvernance tristement absolutiste, ethnique, sans partage, ni ethique, ni équité, nos analyses politiques laissent apparaître nettement un état policier, totalitaire.

Paroxysme et paradoxe d’une rupture altérée ou les esclandres des scandales d’Etat parmi tant d’autres : le socle d’une indécence comme système de gouvernance totalitaire. L’homme peint sous des oripeaux victimaires, promettait le changement radical, s’est métamorphosé étonnamment en caméléon méconnaissable une fois qu’il est aux commandes.

Au bout du compte, en vérité, en lieu et place d’un président de la république, les sénégalais qu’on a roulés dans la farine, ont finalement commis le sacrilège imprescriptible d’introniser : «la dynastie des Faye- Sall-Timbo et Cie ? », un échantillon sur une liste corporatiste, non encore exhaustive, incommensurable, qu’on ne saurait compter, sans avoir des vertiges.

Manifestement, il y’a donc tromperie sur la marchandise, avariée, quoique l’on puisse dire. « La patrie avant le parti » n’est qu’une grotesque supercherie totalement abracadabrantesque.

Macky Sall a appelé les pays africains à promouvoir un « islam tolérant », comme si l’islam tel qu’il est pratiqué chez nous, est synonyme de terrorisme.

Pour le maquilleur, « le bon élève de la francophonie », tout bon musulman pratiquant est potentiellement « coupable ». A contrario, s’il travestit sa religion, pour étioler son âme, il est « bon ». On peut se légitimement se demander qui est terroriste et qui ne l’est pas.

L’homme qui a été élu le 25 mars 2012, est-il devenu la caisse de résonnance et d’enregistrement automatique des oligarchies financières internationales en contrepartie des services rendus ?

Une ignoumie condamnable, repoussante en dit long sur le viatique du logiciel toxique de la françafrique, versus mafiafrique.

Macky Sall, « dit Charlie ou l’affairiste, Pétain Noir », le nègre de service, est en vérité, le symbole en chair et en os de la république des proxénétes, des homosexuelophiles, corporatistes ethniques. La traque des biens mal acquis à double standard se prolonge sur la prohibition du port du voile intégral ou partiel.

Macky Sall, qui apparaît plus franc-maçonnique que musulman, surfe sur le thème du terrorisme pour cacher ses parjures infinis et plaire à ses maîtres suprémacistes blancs.

Sommes- nous donc menacés dans notre existence par le taux d’adrénalisme, démesuré « d’un doungourou », corrompu, contrefacteur, chevaleresque et aux mains totalement sales ?

Le tyran contre vents et marrées veut dicter sa propre loi tyrannique pour sévir.

Riposter vigoueusement pour mettre fin à l’impunité crescendo ou n’être que ses sujets serviles. Entre l’esclavage vet la liberté, il n’y a qu’un seul choix, comme l’unique option possible qui vaille.

Personne n’a le droit de se dérober face à ses responsabilités ou d’être coupable par consentement réactionnaire. Les langues doivent se délier pour nous libérer des griffes acérées d’un monstre politique, atypique.

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