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” DEUMBII/ TAPALÈKATE ” ET SES INCOHERENCES POLUANTES À PARIS ET SA JUSTICE AUX ORDRES. Par Ahmadou Diop.

DEUMBII / AK BIREUM BUREUY &   SES  BULLES PUANTES BITIM REW !
 ”SAC AM DEUNDE YOMBNA WAYÈ FOKOY TEUGUÈ MOODIAFÈ-DI FEN  DI GUER DIKO DAGANAL  DITEUTE DIGUENEU LATE DI SET HADJ AK SEN  BAYI  SAC  YI NEK CI YOW”.
  ”DIDOUFEUL  SA WAKEUR DIOX LÈNE  DOMBOYE TANK  YUKOWÈ  DILÈNE  AAR  DI LAX  ÑILAY RAMAL”
”DI SET SA NJARIÑU SA BOP KOKU DEY TALPALÈ TEY SAC CATE BUGMALA DU GOR YELLOWUT  FIMUNEX ”
« Certes, il est facile de voler un tam-tam,  mais lorsqu’il s’agit de le battre, c’en est une autre. Le menteur   professionnel du haut de son rang, montre sa partialité, choisit arbitrairement ceux qui doivent être punis   ou non, selon la propre loi.
«  Les obscurs  transhumants,  qui se sont enrichis illicitement, quelle soit leur  nature et leur culpabilité,  échappent tous  à la justice, tant qu’ils le  rejoignent, tant qu’ils lui obéissent, tant  qu’ils  resteront  fidèles,  se plient à sa a ligne  totalitaire »
«  Mieux,  l’énigmatique,  indélicat, le  Tout-Puissant,  l’intouchable, Casseur du siècle,  le plus coupable, l’engraissé,  corrupteur,  en chair en et en os,   selon ses propres règles, imparables, protège, couvre, couve sa famille immédiate et son clan,  et les met à l’abri de tout besoin, les gratifie, en les plaçant  même dans des structures de haut de niveau de l’état, et qui  bénéficie  de toute impunité, devant la barbe de la CREI. Un tel individu,  qui  n’a jamais  ni la moindre étoffe d’un homme d’honneur,  ni la Grandeur en terme de qualité, en tant que KILIFEU  vrai et   à l’Endroit, ne mérite en aucun cas, sa place au palais  ».
Les  Annales de l’histoire ne retiendront de lui que de  la poubelle, comme un mauvais souvenir de marbre, amer. Autrement dit, la rupture sobre, vertueuse, transparente et efficiente, n’est qu’une grosse escroquerie de mensonges  compatibles à son auteur, des sottes d’humeur de mauvais aloi.
Quoique l’on puisse dire, les dérives de la justice  capitularde  de Macky Sall sur le procès cataclysmique de Karim wade,  se prolongent directement sur  celui Khalifa Sall, se tiennent  par la même corde  du régime fantoche colonial, totalitaire. Lequel par sa bassesse, tire les ficelles par derrière, annihile  froidement  et systématiquement  tout droit aux accusés.
  Juridiquement, Macky Sall, qui outrepasse ses prérogatives supposées, n’a pas le droit de gracier unilatéralement  Karim Wade, ni la faculté de le déporter manu militari  en catimini au Qatar, en tant que sénégalais à part entière.  C’est une faute politique, cynique, arbitraire, comme si le Sénégal, est devenu sa  propriété privée, exclusive, d’où  les DEUX DERIVES DEJA DE TROP  [WEUR DOMBO  ÑI ÑY  TUDÈ  ATÈ CAT YII].  
C’EST ÇA  LA DEMOCRATIE ABSOLUE  AU   SENEGAL,  SELON  L’ENTENDEMENT DU  FAUSSAIRE EN CHAIR ET EN OS ! 
FACE À UN LÂCHE,  QUI A EU  UN TEL  CULOT,   L’ESPRIT  S’ATTEND  QU’IL FASSE UN REFEREN’DEUM  ET DES LEGISLATIVES CATACLYSMIQUES   ET  AUTANT DE MANDATS  ET   DE DERIVES QU’IL VOUDRA,  TANT   QU’ON LE  LAISSERA FAIRE.
Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, lors du Référendum de Foutoir en mars 2016– lequel ne concernait pas son mandat présidentiel en cours, qu’il  avait pourtant promis de réduire à 5 ans à grand tapage médiatique à l’échelle planétaire internationale et par presse interposée de référence propagandiste.
La suite est  donc passée comme une lettre à la poste, comme en témoigne éloquemment  tout le reste, puisque l’avis consultatif  du Conseil anticonstitutionnel et  de son assemblée nationale   devient absolument  étrangement  force de  loi.
 Le Sénégal fait partie des pays  qui ont ratifié la charte Universelle des Droits de l’Homme, refuse de se conformer à ses obligations.  Pour rafraichir les mémoires,  bizarrement, Sidiki Kaba, a été élu président de l’Assemblée générale des Etats parties de la Cour pénale internationale (CPI).  IL y’a là quelque chose d’insolite et d’inacceptable.
L’éternel  pigeon voyageur dans les airs parcourt le monde, effectue des visites  superflues, par   dépense sans compte l’argent du contribuable sénégalais, plastronne, s’auto glorifie, et collectionne à longueur de journées  des prix  loufoques, qu’il commande derrière, et ce, pour se donner une notoriété internationale  imaginaire et pour des raisons de prestige cousue de fil blanc.
 Aujourd’hui,    il  se braque  et change son fusil d’épaule  comme si rien n’était, se dresse contre la décision du Comité des droits de l’Homme des nations unies, tant que cela ne l’arrange pas ; rechigne d’appliquer  la loi sous le prétexte fallacieux que  son jouet, sa justice, instrumentalisée, est souveraine.
 Pae ce refus, qui n’en est pas un,   sous le règne du régime fantoche, colonial,  le plus scandaleux  de toute l’histoire du Sénégal,  L’État- Macky  Sall, est plus que jamais classé dans la liste Des HORS- LA-LOI.
Tout dictateur, se définit comme  un démocrate est  gratifié, un criminel, un vendu, chouchouté, ne connaît pas  les remords, ni le mal qu’il fait, ni la morale, et peu importe  que  les récriminations fusent,  il s’en fout éperdument de tout.  Pour lui, sa justice  est supérieure à  la vérité du peuple, reléguée au second plan,  ne compte point. C’est le cas du pion-agitateur, Macky Sall, le malade mental, le forcené, taciturne, grincheux, hypocrite, hautain,  arrogant versatile, nombriliste  et suffisant, ne se repentira jamais.
 Le ministron de la justice, Ismael  Madior Fall, dont la parole ne vaut pas un sou,  n’est qu’un exécutant, un mercenaire alimentaire, juge et partie, ne brille que par des litanies et dans des  légèretés à la renverse, devient absolument  l’otage  servile du chef de  l’exécutif, lequel ¨ par notre somnolence, diligente tout seul, en réalité, toutes les opérations, depuis le palais « Alpulaar  Nédo ko Bandoum »
El Hadji Hamidou Kassé, l’autre  ministron conseillé bidon, déclare: « le procès de Karim Wade ne va pas être réexaminé…”
L’étrange changeant des mystifications se passe de l’avis  du groupe des droits de l’homme de l’ONU,  se croit plus malin, prend les devants  et tente de justifier sa politique ”  COUMBA AM NDEYE  AK COUMBA AMOUL NDEYE”
SI NOUS NE SERONS  PAS VIGILANTS ET SUR NIOS GARDES, SE TAILLERA SON PROPRE SCORE FANTASMAGORIQUE, DIGNE DE LUI,  COMME TOUT DESPOTE DE SON RANG.
Il ne peut pas dire le contraire de celui qui le nourrit dans les deniers de l’état.  Pour autant, après ses   caprices  à Paris  et par un certain média interposé,  les masques commencent à tomber peu à peu, car  le comédien a du pain sur la planche, est rattrapé  par l’avis du  courrier en bonne et due forme  de la part  du Secrétaire Général de l’ONU, António Guterres, donne du fil à retordre à la RépubliqueNédo KO Bandoum” et à son chef clanique,  met au pinacle et  en demeure   presto illico  et en termes clairs  et sans ambages, les autorités sénégalaises,  qui se réfugient  dans une apparence  de pacotille, et  ceci, dans une lettre datée du 14 novembre 2018, en leur demandant de se conformer à la décision du Comité des droits de l’Homme des nations unies.
Affaire Karim Wade : «Aucun organe international ne peut annuler un arrêt de la Crei»
 RAPPEL : QUAND MACKY SALL DEMANDAIT AU HAUT-COMMISSAIRE DES NATIONS UNIES AUX DROITS DE L’HOMME DE RECADRER ABDOULAYE WADE
Cerise sur le gâteau, le même voyou, puisqu’il s’agit bien lui,  lors de la mort du regretté  Ndiaga Diouf,  dans un meeting  organisé par  le Guignol en février 2012, adoubait Moustapha Niasse,  le changeant,  à l’poque des faits,  avait voulu porte plainte  auprès  de l’ONU contre l’ancien régime et pour lequel il a bien cheminé  pendant 8 ans, qui lui a permis de s’enrichir bassement dans des conditions indignement scandaleuses.   Le personnage  surprenant,  s’inscrit  nettement dans la trajectoire de la bande  des Ouattara, dont  Emmerson Mnangagwa et Cie, ne pensent qu’à eux-mêmes, se défaussent tous, telles des girouettes,  mais s’autoproclament victimaires des leurres.
Dans les cas d’espèce, tout est faux et décousu.  C’est une  parodie de justice,  d’une police  politique, qui n’obéit qu’à des entournures  bassement politiques et sur commande  du BERGER COLONIAL. Il faut le dire tout haut de façon audible, sans langue de bois, ni ornements.  Que  cela soit clair !
Au passage,  je ne suis pas  ni un partisan, ni  un pro karim wade,  ni un pro Khalifa Sall,  ni de qui que ce soi, mais force est  de reconnaître qu’ils sont tous des  victimes de la police politique, représentée  par la CREI, OU l’Arme de Guerre de l’Autocrate, déclaré, qui se trouve au palais par effraction.
Malgré son apparence peu convaincante, la justice mécanique des courbettes et aux ordres du Caïd en Place,  n’a jamais  cessé de violer,  et continue de  bafouer délibérément  et   ouvertement les droits  inaliénables des présumés  de ceux qui l’empêchent de dormir, sont interdits de concourir à la présidentielle de 2019.
Car sa justice s’est transformée en marionnette, n’a pas dit le droit, est injuste fondamentalement à leur égard du début jusqu’ici, s’est totalement dégonflée, a manifestement failli à sa mission régalienne de fond en comble par ses manquements et ses dysfonctionnements arbitraires sur toute la ligne, n’a  jamais  respecté en aucun moment, les  procédures légales que lui impose la déontologie professionnelle. Laquelle exige l’art de la rigueur et l’impartialité, une  attitude, qui requiert  absolument  la qualité indispensable d’une telle  profession.
Apparemment, le Nègre de Service n’a pas besoin de leur professionnalisme, mais leur demande de s’exécuter machinalement, de se conformer à la lettre de ce qu’on leur dicte, la tète baissée et le couteau  sous la gorge. À défaut,  tout juge, ou  magistrat,  qui se veut libre et indépendant, sera muté  ailleurs  pour être oublié, sans autre forme de procès.  Certains juges, indomptables en ont payé les frais et un lourd tribut.
La justice n’est pas rendue au nom du peuple par le peuple et pour le peuple, mais au nom du  président- monarque, le Tout-puissant, surhumain, l’immortel  et l’invincible, a droit de vie et de mort sur ses sujets.     C’est la caractéristique essentielle des régimes présidentiels en Afrique sous tutelle coloniale.
  C’est voulu et pour cause  et par ceux  qui ont conçu  le système présidentiel, colonial, tel qu’il est,  est un non sens, car  leurs valets sont gagnants,  à contrario, les peuples africains, grugés et roulés dans la farine  sont des  perdants.
LA  DEMOCRATIE EN AFRIQUE  SERA LEUR DESCENTE AUX ENFERS ET LEURS MALHEURS.  ILS LE SAVENT  PARFAITEMENT ET  EN SONT CONSCIENTS.  DONC,  NOUS  DEVONS Y METTRE ABSOLUMENT UN TERME,  SINON LE MAL IRA  TOUJOURS  EN PIS. POINT BARRE ! 
KUÑUY JIÑ DEUM NGAY DEUM NGAY WONÉ YÉLI LIR DISAIÑU DI SOCU DI GALLATI  CI SUNU DIG  DEUKBI  CI SUNU PEN MI LUÑU DIÑ YAKO DEFNAK
 LE  YONU YOKUTE FAMILIAL OU LE LABEL DE LA DELINQUANCE DANS LEQUEL LA  COMPETENCE SE MESURE A L’AUNE DE LA GALAXIE  SEDO NEDO KOK BANDOUM DIUBADI.  PSE : UNE COQUILLE VIDE D’UN SLOGAN CREUX D’UN ENFUMAGE EMPHATIQUE.

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