DEUMBII / AK BIREUM BUREUY & SES BULLES PUANTES BITIM REW !
”SAC AM DEUNDE YOMBNA WAYÈ FOKOY TEUGUÈ MOODIAFÈ-DI FEN DI GUER DIKO DAGANAL DITEUTE DIGUENEU LATE DI SET HADJ AK SEN BAYI SAC YI NEK CI YOW”.
”DIDOUFEUL SA WAKEUR DIOX LÈNE DOMBOYE TANK YUKOWÈ DILÈNE AAR DI LAX ÑILAY RAMAL”
”DI SET SA NJARIÑU SA BOP KOKU DEY TALPALÈ TEY SAC CATE BUGMALA DU GOR YELLOWUT FIMUNEX ”
« Certes, il est facile de voler un tam-tam, mais lorsqu’il s’agit de le battre, c’en est une autre. Le menteur professionnel du haut de son rang, montre sa partialité, choisit arbitrairement ceux qui doivent être punis ou non, selon la propre loi.
« Les obscurs transhumants, qui se sont enrichis illicitement, quelle soit leur nature et leur culpabilité, échappent tous à la justice, tant qu’ils le rejoignent, tant qu’ils lui obéissent, tant qu’ils resteront fidèles, se plient à sa a ligne totalitaire »
« Mieux, l’énigmatique, indélicat, le Tout-Puissant, l’intouchable, Casseur du siècle, le plus coupable, l’engraissé, corrupteur, en chair en et en os, selon ses propres règles, imparables, protège, couvre, couve sa famille immédiate et son clan, et les met à l’abri de tout besoin, les gratifie, en les plaçant même dans des structures de haut de niveau de l’état, et qui bénéficie de toute impunité, devant la barbe de la CREI. Un tel individu, qui n’a jamais ni la moindre étoffe d’un homme d’honneur, ni la Grandeur en terme de qualité, en tant que KILIFEU vrai et à l’Endroit, ne mérite en aucun cas, sa place au palais ».
Les Annales de l’histoire ne retiendront de lui que de la poubelle, comme un mauvais souvenir de marbre, amer. Autrement dit, la rupture sobre, vertueuse, transparente et efficiente, n’est qu’une grosse escroquerie de mensonges compatibles à son auteur, des sottes d’humeur de mauvais aloi.
Quoique l’on puisse dire, les dérives de la justice capitularde de Macky Sall sur le procès cataclysmique de Karim wade, se prolongent directement sur celui Khalifa Sall, se tiennent par la même corde du régime fantoche colonial, totalitaire. Lequel par sa bassesse, tire les ficelles par derrière, annihile froidement et systématiquement tout droit aux accusés.
Juridiquement, Macky Sall, qui outrepasse ses prérogatives supposées, n’a pas le droit de gracier unilatéralement Karim Wade, ni la faculté de le déporter manu militari en catimini au Qatar, en tant que sénégalais à part entière. C’est une faute politique, cynique, arbitraire, comme si le Sénégal, est devenu sa propriété privée, exclusive, d’où les DEUX DERIVES DEJA DE TROP [WEUR DOMBO ÑI ÑY TUDÈ ATÈ CAT YII].
C’EST ÇA LA DEMOCRATIE ABSOLUE AU SENEGAL, SELON L’ENTENDEMENT DU FAUSSAIRE EN CHAIR ET EN OS !
FACE À UN LÂCHE, QUI A EU UN TEL CULOT, L’ESPRIT S’ATTEND QU’IL FASSE UN REFEREN’DEUM ET DES LEGISLATIVES CATACLYSMIQUES ET AUTANT DE MANDATS ET DE DERIVES QU’IL VOUDRA, TANT QU’ON LE LAISSERA FAIRE.
Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, lors du Référendum de Foutoir en mars 2016– lequel ne concernait pas son mandat présidentiel en cours, qu’il avait pourtant promis de réduire à 5 ans à grand tapage médiatique à l’échelle planétaire internationale et par presse interposée de référence propagandiste.
La suite est donc passée comme une lettre à la poste, comme en témoigne éloquemment tout le reste, puisque l’avis consultatif du Conseil anticonstitutionnel et de son assemblée nationale devient absolument étrangement force de loi.
Le Sénégal fait partie des pays qui ont ratifié la charte Universelle des Droits de l’Homme, refuse de se conformer à ses obligations. Pour rafraichir les mémoires, bizarrement, Sidiki Kaba, a été élu président de l’Assemblée générale des Etats parties de la Cour pénale internationale (CPI). IL y’a là quelque chose d’insolite et d’inacceptable.
L’éternel pigeon voyageur dans les airs parcourt le monde, effectue des visites superflues, par dépense sans compte l’argent du contribuable sénégalais, plastronne, s’auto glorifie, et collectionne à longueur de journées des prix loufoques, qu’il commande derrière, et ce, pour se donner une notoriété internationale imaginaire et pour des raisons de prestige cousue de fil blanc.
Aujourd’hui, il se braque et change son fusil d’épaule comme si rien n’était, se dresse contre la décision du Comité des droits de l’Homme des nations unies, tant que cela ne l’arrange pas ; rechigne d’appliquer la loi sous le prétexte fallacieux que son jouet, sa justice, instrumentalisée, est souveraine.
Pae ce refus, qui n’en est pas un, sous le règne du régime fantoche, colonial, le plus scandaleux de toute l’histoire du Sénégal, L’État- Macky Sall, est plus que jamais classé dans la liste Des HORS- LA-LOI.
Tout dictateur, se définit comme un démocrate est gratifié, un criminel, un vendu, chouchouté, ne connaît pas les remords, ni le mal qu’il fait, ni la morale, et peu importe que les récriminations fusent, il s’en fout éperdument de tout. Pour lui, sa justice est supérieure à la vérité du peuple, reléguée au second plan, ne compte point. C’est le cas du pion-agitateur, Macky Sall, le malade mental, le forcené, taciturne, grincheux, hypocrite, hautain, arrogant versatile, nombriliste et suffisant, ne se repentira jamais.
Le ministron de la justice, Ismael Madior Fall, dont la parole ne vaut pas un sou, n’est qu’un exécutant, un mercenaire alimentaire, juge et partie, ne brille que par des litanies et dans des légèretés à la renverse, devient absolument l’otage servile du chef de l’exécutif, lequel ¨ par notre somnolence, diligente tout seul, en réalité, toutes les opérations, depuis le palais « Alpulaar Nédo ko Bandoum »
El Hadji Hamidou Kassé, l’autre ministron conseillé bidon, déclare: « le procès de Karim Wade ne va pas être réexaminé…”
L’étrange changeant des mystifications se passe de l’avis du groupe des droits de l’homme de l’ONU, se croit plus malin, prend les devants et tente de justifier sa politique ” COUMBA AM NDEYE AK COUMBA AMOUL NDEYE”
SI NOUS NE SERONS PAS VIGILANTS ET SUR NIOS GARDES, SE TAILLERA SON PROPRE SCORE FANTASMAGORIQUE, DIGNE DE LUI, COMME TOUT DESPOTE DE SON RANG.
Il ne peut pas dire le contraire de celui qui le nourrit dans les deniers de l’état. Pour autant, après ses caprices à Paris et par un certain média interposé, les masques commencent à tomber peu à peu, car le comédien a du pain sur la planche, est rattrapé par l’avis du courrier en bonne et due forme de la part du Secrétaire Général de l’ONU, António Guterres, donne du fil à retordre à la République” Nédo KO Bandoum” et à son chef clanique, met au pinacle et en demeure presto illico et en termes clairs et sans ambages, les autorités sénégalaises, qui se réfugient dans une apparence de pacotille, et ceci, dans une lettre datée du 14 novembre 2018, en leur demandant de se conformer à la décision du Comité des droits de l’Homme des nations unies.
Affaire Karim Wade : «Aucun organe international ne peut annuler un arrêt de la Crei»
RAPPEL : QUAND MACKY SALL DEMANDAIT AU HAUT-COMMISSAIRE DES NATIONS UNIES AUX DROITS DE L’HOMME DE RECADRER ABDOULAYE WADE
Cerise sur le gâteau, le même voyou, puisqu’il s’agit bien lui, lors de la mort du regretté Ndiaga Diouf, dans un meeting organisé par le Guignol en février 2012, adoubait Moustapha Niasse, le changeant, à l’poque des faits, avait voulu porte plainte auprès de l’ONU contre l’ancien régime et pour lequel il a bien cheminé pendant 8 ans, qui lui a permis de s’enrichir bassement dans des conditions indignement scandaleuses. Le personnage surprenant, s’inscrit nettement dans la trajectoire de la bande des Ouattara, dont Emmerson Mnangagwa et Cie, ne pensent qu’à eux-mêmes, se défaussent tous, telles des girouettes, mais s’autoproclament victimaires des leurres.
Dans les cas d’espèce, tout est faux et décousu. C’est une parodie de justice, d’une police politique, qui n’obéit qu’à des entournures bassement politiques et sur commande du BERGER COLONIAL. Il faut le dire tout haut de façon audible, sans langue de bois, ni ornements. Que cela soit clair !
Au passage, je ne suis pas ni un partisan, ni un pro karim wade, ni un pro Khalifa Sall, ni de qui que ce soi, mais force est de reconnaître qu’ils sont tous des victimes de la police politique, représentée par la CREI, OUl’Arme de Guerre de l’Autocrate, déclaré, qui se trouve au palais par effraction.
Malgré son apparence peu convaincante, la justice mécanique des courbettes et aux ordres du Caïd en Place, n’a jamais cessé de violer, et continue de bafouer délibérément et ouvertement les droits inaliénables des présumés de ceux qui l’empêchent de dormir, sont interdits de concourir à la présidentielle de 2019.
Car sa justice s’est transformée en marionnette, n’a pas dit le droit, est injuste fondamentalement à leur égard du début jusqu’ici, s’est totalement dégonflée, a manifestement failli à sa mission régalienne de fond en comble par ses manquements et ses dysfonctionnements arbitraires sur toute la ligne, n’a jamais respecté en aucun moment, les procédures légales que lui impose la déontologie professionnelle. Laquelle exige l’art de la rigueur et l’impartialité, une attitude, qui requiert absolument la qualité indispensable d’une telle profession.
Apparemment, le Nègre de Service n’a pas besoin de leur professionnalisme, mais leur demande de s’exécuter machinalement, de se conformer à la lettre de ce qu’on leur dicte, la tète baissée et le couteau sous la gorge. À défaut, tout juge, ou magistrat, qui se veut libre et indépendant, sera muté ailleurs pour être oublié, sans autre forme de procès. Certains juges, indomptables en ont payé les frais et un lourd tribut.
La justice n’est pas rendue au nom du peuple par le peuple et pour le peuple, mais au nom du président- monarque, le Tout-puissant, surhumain, l’immortel et l’invincible, a droit de vie et de mort sur ses sujets. C’est la caractéristique essentielle des régimes présidentiels en Afrique sous tutelle coloniale.
C’est voulu et pour cause et par ceux qui ont conçu le système présidentiel, colonial, tel qu’il est, est un non sens, car leurs valets sont gagnants, à contrario, les peuples africains, grugés et roulés dans la farine sont des perdants.
LA DEMOCRATIE EN AFRIQUE SERA LEUR DESCENTE AUX ENFERS ET LEURS MALHEURS. ILS LE SAVENT PARFAITEMENT ET EN SONT CONSCIENTS. DONC, NOUS DEVONS Y METTRE ABSOLUMENT UN TERME, SINON LE MAL IRA TOUJOURS EN PIS. POINT BARRE !
KUÑUY JIÑ DEUM NGAY DEUM NGAY WONÉ YÉLI LIR DISAIÑU DI SOCU DI GALLATI CI SUNU DIG DEUKBI CI SUNU PEN MI LUÑU DIÑ YAKO DEFNAK
LE YONU YOKUTE FAMILIAL OU LE LABEL DE LA DELINQUANCE DANS LEQUEL LA COMPETENCE SE MESURE A L’AUNE DE LA GALAXIE SEDO NEDO KOK BANDOUM DIUBADI. PSE : UNE COQUILLE VIDE D’UN SLOGAN CREUX D’UN ENFUMAGE EMPHATIQUE.