En finir avec Macky SALL, l’Autre Autocrate, ou « le Yaya Jammeh Sénégalais ». Par Ahmadou Diop
En finir avec Macky SALL, l’Autre Autocrate, ou « le Yaya Jammeh Sénégalais ». Par Ahmadou Diop
Nous n’avons d’autre choix que d’en finir avec la spirale de la violence, est synonyme d’un système de gouvernance inique, se scotche sur ce qu’il sait faire de plus régnant, depuis l’étourderie généralisée des sénégalais majoritairement envoutés par la bande des fétichistes, qui n’agit que dans l’arbitraire et la tyrannie, use et abuse lâchement de la force publique, pour tuer dans l’œuf toute velléité de résistance.
En politique, selon la vision étriquée du prétendu parangon de la rupture éclopée, promettre, c’est mentir professionnellement, mécaniquement, automatiquement sur toute la ligne, sans baisser sans qu’il ait besoin de baisser sa tête devant tout le peuple qu’il méprise par lâcheté congénitale.
Entre Yaya jammeh, qui est accusé d’avoir vidé toutes les caisses de l’état Gambien, dont la fourchette est estimée à 111 millions de dollars et Macky Sall, s’érige immoralement s l’abreuvoir et le recyclage des déchets toxiques de l’abondance, demeure le pire, pour avoir privilégié les oligarchies financières internationales et des lobbies impérialistes. Car le vendu sénégalais représente la monarchie présidentielle, ringarde, présumée consensuellement fasciste. la mascotte de la tyrannie ne défend que les intérêts américano-français.
L’Envoyé Spécial Colonial en Afrique, Accrédité à Dakar, plus connu sous le nom de Gourou de l’incivilité est le symbole de l’arrogance, nègre de service, du patacaisse réformiste désuet par ses reculades et ses escalades à couper le souffle, comme en attestent les promesses électorales auxquelles il s’est défaussé lamentablement, comme si rien n’était, puisque l’éternel violoniste, étrange, changeant, se suspend orbi urbi et réfute hystériquement la contradiction politique, s’arroge le statut de président de la République et le Secrétaire Général de son propre parti politique cliniquement clanique, lequel s’est enrichi ostensiblement de façon incongrue et attentatoire, est bien pire, pour dire la vérité.
L’homme, bluffeur, renégat, dans les faits, se renie peu à peu, sans scrupules, ni vergogne, ne s’arrête pas là, se contredit publiquement, quotidiennement, puisqu’il devient ipso facto chef d’entreprise, dispose d’un parc automobile considérable, comme pour rien arranger, possède entre, autre, des sociétés immobilières et d’autres biens à la pelle, dont Bilbassy, est redevable de TROIS CENTS millions de F CFA AU FISC. Qu’en sera-t-il, ni nous abdiquons tous, face à lui, si on le laisse faire pour nous gouverner, en restant bras croisés ?
Et ce n’est pas, car le détrousseur exceptionnel, pillard, braqueur, est le chef des délinquants de la république des voyous- c’est le cas de le dire, tout haut, sans qu’il ait besoin d’y enlever une quelconque virgule, a les mains plus que totalement baladeuses, se taille indiscutablement d’une somme astronomique, avoisinant de plus quatre milliards F CFA, qu’il a bien planqués dans les comptes ouverts à l’étranger, notamment aux Etats-Unis, où il paie 50 millions d’impôts, pour avoir acheté une grande maison à grand standing à Houston, dans des conditions nébuleuses.
Jamais dans l’histoire du Sénégal, une telle gouvernance corrompu, corruptible par essence, s’est illustrée sans répit, par ses trahisons et ses dénégations manifestes, n’a jamais été aussi monstrueuse, moribonde, si calamiteuse, que sous ce nullard, l’inimitable flibustier, porte les habits de mercenaire international.
Il faut que nous soyons capables de proposer une alternative crédible aux sénégalais pour propulser notre pays à l’instar des nations émergentes.
Sous ce postulat, la platitude incarné par le fourbe , ethnique, indigne et intégralement intégriste, en l’occurrence, le Macky Sall, qui nous dirige avec l’épée de Damoclès, au-dessus de nos têtes- eu égard aux cueillettes tout azimut- contre tous ceux qui se dressent la tête haute, contre lui et sur son chemin, dont le moins que l’on puisse dire, s’inscrivent toutes dans une traversée totalitaire pitoyablement saugrenue par ses dérives et ses pantalonnades par saccades rituellement à répétitions , depuis le 25 mars 2012.
Que nenni, l’inculte atypique, promoteur du népotisme, des marchés de gré à gré, s’est travesti depuis belle lurette en personnage des folies dépensières, privilégie la fondation bidon, cette structure qui n’est qu’une vaste escroquerie gigantesque, dirigée par sa femme, Marième, Faye, est aussi devenue richissime que son mari, n’a jamais la moindre once de la moralité visible.
C’est donc ce type qui s’accommode, commande par derrière, toutes les dérives, interdit toute manifestation légale, autorisée par la constitution de 2001, gouverne par des décrets présidentiels abusifs et massifs, s’accroche brutalement, malgré les tirs groupés des sentinelles que nous sommes, telle une huître sur son rocher, sur sa trajectoire peu orthodoxe, notamment sur sa vision bancale, quand il s’agit de la chose publique, ne sont point synonymes de droiture, mais de banditisme flagrant, que personne n’ignore.
Alors, si on n’y prend pas garde, le successeur d’Abdoulaye wade, droit dans ses bottes , joue sur les plates bandes de ses maîtres à penser, au premier rang desquels le regretté ,Senghor-paix à son âme ; l’habitacle du codificateur du fascisme , et son larbin immédiat, Abdou Diouf ; puisque tous les deux ne que furent des tyrans, pions invétérés, déclarés, ont pris la cause et les faits de l’idéologie expansionniste, communautariste blanche.
Ce qu’il faut donc savoir, c’est que la démocratie virtuelle, telle est conçue au Sénégal, n’est qu’une parodie, une insulte permanente contre les consciences collectives. Car un dictateur qui part, un autre reprend aussitôt du service, dépoussière habilement, automatiquement les mauvais réflexes et les vieux schémas décriés, en met promptement des couches épaisses, sous le sceau de la prétendue rupture, cousue de fil blanc. Quoique l’on puisse tambouriner à l’échelle mondiale, le Sénégal fait partie des pays tenus d’une main de fer par des dictateurs serviles.
On l’oublie souvent que pour gouverner tout seul, Senghor, avait opéré un coup d’état contre Mamadou Dia, régna en maître absolu pendant 20 ans sans partage. A son départ, il récidiva par un autre coup d’état électoral en 1980 , qui permit Abdou Diouf à son dauphin, d’accéder à la magistrature suprême en janvier 1981, qui gouverna 19 ans avec des charrettes de crimes physiques, économiques, des licenciements abusifs, dont le point d’orgue, que l’on appelle les tristes plans structurels de la banque mondiale et du FMI, cristallisèrent, précipitèrent sa défenestration programmée le 19 mars 2000.
Face au tintamarre chevaleresque des tonitruants terroristes ploutocrates gérontocrates, eux-mêmes se transforment allégrement doungourous en paresseux. Dans ces conditions, nous ne devrons point baisser la garde, ; au contraire, nos devons sévir, nous libérer de notre torpeur et des griffes démentielles, démesurées de la tyrannie, pour déboulonner le traitre et pour cela, le rapport de force doit changer de camp, pour en finir définitivement avec la soldatesque larbinisée waffen SS, de servitude , représentée par le l’escarcelle du syndicat apocalyptique des politicards véreux, unifiés, demeurent tous des nervis abrutis et des asservis, lesquels sont dressés en coupe réglée par le pouvoir égoïstement ethnocentrique et autoritaire par sa lâcheté qui lui colle à la peau.
Rien n’y fait. car à chaque magistrature carambouilleuse, les mêmes vermines-vautours se métamorphosent, se gonflent étrangement, changent leurs carapaces, se nourrissent de saillies, broutent partout, se transvasent d’un camp à l’autre, ont mangé , sans vergogne, constamment dans tous les râteliers, contrefacteurs, agissent sans éthique, ni équité, menace la démocratie, la liberté d’expression et notre existence .
Ne perdons de vue les législatives en perspective de 2017, devraient être nécessairement l’heure du choix et du rendez-vous, doivent créer, quoiqu’il arrive, les conditions obligatoires, optimales, pérennes, dynamiques, auront la nécessité souveraine, pour mesurer la température et sa force, en vue d’une impulsion amplifiée à grande échelle et sur le plan national et donner une large majorité parlementaire au pouvoir du peuple et pour le peuple, est être censé le cheval de Troie, pour censurer en toute légitimité, la démocratie familiale en place.
A ce prisme, réveillons –nous donc de notre somnolence coupable. Si nous sommes unis, debout contre l’envers du décor et déterminés et volontaristes, nous gagnerons de facto et à tous les coups, car nous pouvons , puisque nous serons encore plus nombreux, forts invincibles que jamais , pour agir maintenant tous ensemble et en découdre, à dessein d’en finir avec ce régime fantoche, pandémique, négationniste de pugilat, ce foutoir – de la tyrannie réactionnaire, s’évertue vaille que vaille, envers et contre tous, au gangstérisme clanique, à visage découvert, dont la capacité de nuisance est préoccupante, et si on ne l’arrête pas pendant qu’il est temps, presto illico, risque de plomber définitivement l’avenir du Sénégal, notre patrie, qui est déjà sombre. une tel gouvernement est illégal, illégitime, que nous déclarons absolutiste, comme étant le principal ennemi public , irréversible du Sénégal, dans lequel le tout répressif sévit, sans répit, depuis, hélas, le triste soir historique, reste dans nos gorges comme du plomb .
Pour ce faire, mobilisons nous, concentrons toutes nos forces et mutualisons notre synergie de façon symétrique par nos actions combinées matérielles, qui consistent à tirer à boulets rouges sur le cartel en bande organisée, jusqu’à ce qu’il tombe de lui-même, pour le triomphe et le bonheur et le pouvoir du peuple et par le peuple.
Comme toujours, la pensée révisionniste mécanique médiatico- politique, totalitaire, despotique, abîmée, fidèle à elle-même, s’arroge lamentablement , inexorablement dans un verbiage creux , tient à phagocyter les esprits par des pirouettes de piètre qualité, labellise , pour justifier l’injustifiable , ce qu’il est convenu d’appeler avec euphémisme, le cynisme des poids et des mots, ou la rhétorique de caniveau, comme si elle a exclusivement le monopole de la vérité objective, n’en a cure des récriminations populaires, inverse les rôles fait vent debout envers et contre tous, s’érige en estocade comme paratonnerre contre la justice et le pouvoir du peuple pour le peuple et par le peuple.
En vérité, le climat délétère préoccupant du côté de la Seine, crée un cataclysmique sidérant, n’est rien d’autre qu’une broutille par rapport chez nous. Les braquages rituels, usuels, de l’argent du contribuable sont monnaie courante chez Macky Sall, qui grossit de plus en plus, s’est bien converti piteusement en chantre, ou le champion des renoncements et des invectives interactives, mérite son statut d’abruti, et par extension, est devenu un apostat, en fait sa religion d’état au su et au vu de tous les citoyens sénégalais, qui apparaissent comme étant des sujets et des citoyens seconde, au gré de sa cour royale de carpette qui s’exécute bassement.
L’immoralité absconse comme système de gouvernance bancale qui est source de trouble à l’ordre public, ne peut servir de dynamique pour tromper les sénégalais.
Une gouvernance pouilleuse de la décrépitude et en constante flétrissure, dans laquelle la bassesse inouïe prend le dessus sur tout le reste, avec en filigrane, une déconfiture en état de putréfaction avancée, comme en prime, un vaste tissuthèque de mensonges, compilés les uns aux autres, servent de programme absurde, totalement décousu de fond en comble.
Les talibés –mercenaires, traitres, illuminés, tous gloutonnés, et envoyés aux charbons, se chargent des basses œuvres et qui croient pouvoir arriver à leurs fins, pour réélire tous seuls, mordicus, le voyou déclaré à la place publique, lequel est arrivé par effraction au sommet de l’état, grâce aux esclandres de son butin immense , qu’il a obtenu par des braquages multiples sur les deniers de l’Etat.
L’abondance du fétichiste, négationniste, se contente hystériquement d’un bilan calamiteux du début jusqu’ici, s’autorise à blanchir son impunité imprescriptible, qu’il tente de maquiller en plébiscite.
Naturellement, la profusion est compatible aux adeptes de la tyrannie, utilisent les mêmes méthodes fascistes, décriées, ont tendance à pérenniser la démocratie ethnique, familiale, puisque selon eux, le pouvoir est une affaire de familles et de clans, pour paraphraser, le feu François- Xavier Verschave.
En dehors d’Abdoulaye Wade et de Mamadou Dia, le Sénégal, contrairement à ce qu’il laisse croire, n’est gouverné jusqu’ici que par des traitres encapuchonnés, chevronnés, pestiférés et enchaînés les uns après les autres par la même corde , restent aux attaches du colonialisme outrageant, ont toujours le vent en poupe, malgré leur apparence imaginaire.
Abdou Diouf , qui est l’hériter légitime et l’élève de feu Senghor, ayant dirigé notre pays pendant 19 ans, a été propulsé à la tête de la francophonie en 2002, sous l’aval de son mentor, ne doit sa posture que grâce à sa fidélité indéfectible à la France, est un pur produit formaté du fascisme, reste plus que jamais un français dans son esprit, est en totale osmose avec l’actuelle taupe, qui se niche derrière les grilles du palais, se donne une respectabilité douteuse, constitue éloquemment un secret de polichinelle, à n’en pas douter, sous aucun prétexte.
Finis les chuchotements exténuants sur la question de la république des scandales à haut débit ; L’heure a donc véritablement sonné pour libérer les paroles que l’on étouffe chaque jour que dieu fait.
Il convient de libérer et briser la loi du silence, les manœuvres dilatoires de bas étage, pour démasquer l’autocrate de grand chemin qui torpille sciemment les libertés de conscience et les libertés fondamentales indispensables au nom d’une justice tenue qui s’exécute et obéit servilement à ce que ses commanditaires directs veuillent entendre ; ce n’est pas acceptable dans un monde moderne.
Nous sommes outrés, excédés, indignés, choqués et scandalisés des dérives totalitaires devant les escalades incessantes de régime tortionnaire, opportuniste et de brigandage qui prône l’exemplarité, la charte de la bonne gouvernance à tout vent et n’importe où , en particulier, aux quatre coins de la planète entière, fait le contraire et tente à faire passer ce qu’elle n’est point jamais, s’enrichit des deniers de l’état et sème la terreur sans discontinuer.
Arrêtons de nous voiler la face sur la démocratie hideuse, arrêtons de vouloir l’idéaliser sous le faux postulat, en lui donnant complaisamment un caractère idyllique.
Quoiqu’il le veuille ou non, de Senghor à Abdou Diouf, le Sénégal a été le centre névralgique des coups d’état permanents en Afrique, sous la complicité effective, active du défunt Houphouët Boigny, entretenait des relations diplomatiques avec le régime d’apartheid, et pour le compte de qui et à quelle fin ? Le président Ahmet Sékou Touré, – que dieu l’accueille dans son paradis- en savait un peu plus que tout autre sur la question dans les années 72. L’angolais Jonas Savimbi, disposait apparemment d’un passeport diplomatique sénégalais, créa l’Unita, le concurrent du MPLA-mouvement populaire pour la libération de l’Angola- meurt le 22 février 2002, sous les balles de l’armée angolaise.
Donc, le mercenaire boucanier – pion, l’encombrant, teigneux, s’est adjugé à plusieurs reprises dans son rôle de pionnier docile pour l’émergence coloniale- tout comme Envoyé Spécial Colonial en Afrique, accrédité à Dakar, comme Senghor et Abdou Diouf, a soutenu en 2015 la candidature de son homologue despote, blaise Compaoré.
Plus grave encore, le mordant dictateur dans l’âme, s’est librement sucré sur le pétrole et gaz du Sénégal, a utilisé son frangin, Aliou Sall, son prête-nom, parmi tant d’autres, encaisse plus de 200 milliards F CFA, venant de la société américaine kosmos Energy.
Nous ne passons des 72 milliards de f Cfa que la société Arcelor-Mittal avait décaissés pour régler le litige avec l’état du sénégalais, qui ont atterri à paris, sur l’un des comptes nombreux du traitre en chair et en os.
Quelle est la moralité de cet homme ? Le donneur de leçons n’est jamais un homme d’honneur, n’est jamais propre, ni vierge politiquement, encore moins un homme de vertu, qu’il le laisse croire.
Sa propre femme Marième Faye, qui est elle-même multimilliardaire, a casé tous ses frères de même mère, est peinte musulmane pieuse, n’est qu’une simple vue d’apparence, immortalisée par des caméras accroupies. que valent de tels éloges ? C’est une image erronée qui cache la forêt. Il ne s’agit que d’une méritocratie ethnique, familiale, médiocre.
Nous devons crever l’abcès et briser des chaînes que l’on tient à nous faire porter par la force. Face au péril représenté par le despotisme ambiant, qui franchit de plus en plus le Rubicon, il est impératif d’y mettre un terme et l’endiguer. La pilule ne passera pas. Qu’il se le tienne [Macky Sall] pour dit. Nous ne pouvons nous taire, au risque nous soyons tous coupables.