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Le Dérangement Des Délinquants, Hypocrites /Ignares et Des Comploteurs-Gérontocrates Acrobates, Malfaiteurs en Esclandres. Par Ahmadou Diop.

Les biens mal acquis spoliés et placés à l’étranger  obligent.   Moustapha Niasse,  dont  je  ne  détiens  pas le secret des dieux, agit contre son gré, s’accommode  honteusement SUNU DIG PENC MI, dans les faits qui parlent d’eux-mêmes, s’adjuge tout seul, le chef de service du palais « Nédo ko Bandoum »- TAX CI RIP- pour emprunter les termes d’Abdou Latif Coulibaly- n’a eu pas le choix,  doit  absolument  faire du bruit, et battre son tam-tam macabre à la place publique.
 Son entente cordiale  en grande pompe  avec le  caniche de l’Occident, n’est  pas une adhésion politique, mais résulte  plutôt d’une  d’un subterfuge.  S’il était vraiment sincère, il aurait  pu dissoudre son parti politique -l’AFP – dans la loge  pestilentielle odieuse,  Le chef  béni oui-oui  n’est pas dupe, il le  sait. Ce qui l’intéresse, ce n’est pas tant l’homme [Moustapha Niasse], mais ce qu’il peut  lui apponter en termes de voix politiques. En échange, il n’aura aucune poursuite  judiciaire, qu’il s’agrippera  telle une teigne à la  loi autoritaire du juge et partie.
Ceux qui  se reconnaissent entre eux, se rassemblent, s’assemblent, et se logent tous dans la même enseigne apocalyptique.
De quoi  ont-ils  donc  peur ? Le  choriste Inculte  Ethnique  et  le bal  Maqué des impolitesses  et la Pagaille  en jointure Des avec  le lyrisme  des Délinquants, Ignares- Politicards- et Des  Gérontocrates Malfaiteurs  en Esclandres.
 Bradage du Pétrole et Gaz du Sénégal par Macky Sall : le  Choriste stérile, en chair et en os, fidèle à lui-même,  brade le pétrole et gaz du  Sénégal, ouvre  le  bal des invectives cataclysmiques, allume en permanence des contrefeux, donne  le Tempo par ses  saillies démentes.  Et son escarcelle alignée, en l’occurrence, les Délinquants, Ignares  Comploteurs, Gérontocrates Malfaiteurs en Esclandres, utilisent mécaniquement, servilement les   mêmes  éléments  de langage striés, pour croire échapper belle, et se tirer d’affaire  sur un   long scandale  d’état- Macky Sall Himself-le planificateur des braquages électoraux  au Sénégal.
Les vrais arnaqueurs et les  ignares sont ceux que l’on ne croit pas.  En Afrique des félons, clowns, en particulier au Sénégal, reste le ciel ouvert des bandits fonctionnaires notoires politicards paresseux, font florès.   Car l’argent,  qui est faiseur de roi,  détermine  les scrutins de pacotille en bande organisée.
Le vote n’est nullement l’expression du peuple, mais  l’expression de l’argent volé dans les raccourcis politiques.  La taupe-pion,  l’un des pires dictateurs  serviles de la planète entière,  en est une parfaite illustration par son gangstérisme financier international.
Il est loin d’être le seul, puisque   l’illuminé Moustapha Niasse, l’agresseur, du haut de son verbatim creux,  qu’on lui connaît,  et ce, malgré son apparence trompeuse, et son acolyte  Ousmane Tanor Dieng  et Cie font partie de la bande des   receleurs et des déchets toxiques, recyclés, pour n’être que des champions chapardeurs, mercenaires, tous des  gloutonnés  par des postes de nomination, ne peuvent en aucun  cas,  justifier  leurs  patrimoines immobiliers  gigantesques et leur envol rapide  financier, qu’ils ont amassés, et planqués dans des comptes  bancaires , qu’ils ont ouverts  dans  les paradis fiscaux, depuis des années, grâce à des promotions sociales  indues .   Alors qu’aucune moralité, peu ou prou, ne les habite.
Quand la haine viscérale et  les rancœurs  de la mal gouvernance  deviennent   un label, le jeu favori du plus haut niveau de l’état,  il n’y a  pas  l’ombre d’un état régalien, normal et  civilisé.
 Ne nous trompons pas. IL  s’agit  bien  donc de deux caïds politicards véreux, notoires, deux businessmen,  qui ont addiction  aux affaires,  additionnent en même temps et des postes politiques et  la qualité de chefs d’entreprises, se connaissent bien, dont l’un tient au respect, contrôle l’autre, a toute la latitude de le  noyer  dans l’eau  à tout moment pour l’avaler d’une  bouchée. Alors, le vaincu,  se fait petit, tout grillé, a beaucoup à perdre qu’à gagner. Oryx  et les entreprises à gogo  sont en jeu.  C’est tout simplement une entente de façade. Point barre !
Le rageur, schizophrène, scotché à son ADN nocif par ses ratonnades lapidaires, perd  ses pédales et ses repères, crache son venin :   « Aucun imbécile, aucun salopard, ne peut me séparer de Macky Sall ». L’auteur sait de quoi il parle,  sauve les meubles, cherche l’empathie de son  actuel maître  pour lequel il ne tarit pas d’éloges obscurs,  qui obéissent à des soubassements politiques, notamment la sauvegarde  de ses biens mal acquis, qu’il a obtenus dans des conditions scandaleuses. Et pour cause.  Le pedigree a brouté dans toutes les prairies.  Du  PS, il s’est déporté au pds et  à  la suite de la victoire d’Abdoulaye Wade, il est nommé Premier ministre et occupé plusieurs postes à l’ONU.
À la suite d’un clash avec  le pape du SOPI, il claque la porte.   Aujourd’hui,  il  est bien arrimé et  ferré, se trouve entre le fer et l’enclume et sur les griffes acérées de l’autocrate, qui détient  par devers des preuves matérielles  de sa culpabilité avérée,  le tient en laisse, tel un mouton.
 Un tel agitateur, au regard de la morale, est-il vraiment un rassembleur, un homme d’honneur, un  homme d’état, digne ?
 L’examen de sa fortune si colossale, étalée au grand jour, nous laisse froid au dos, de la part d’un fonctionnaire.
Tout le long de sa carrière,  au lieu  d’être un serviteur loyal  de l’état sénégalais, il s’est bien lui-même servi gloutonnement pour sa propre gloire personnelle.
 Pour lui et la majorité des marchands d’illusions, tous des opportunistes, la politique se réduit exclusivement à tisser des relations personnelles multilatérales tous azimuts, notamment avec le label des  monarchies moyen-orientales des pétrodollars qui pleuvent.
Qu’est ce qu’il a  apporté à l’état du Sénégal en termes  de progrès, de droiture visible,  pérenne, de valeurs ajoutées, de démocratie et de liberté d’expression ?
Rien que des impolitesses et de l’arrogance par sa carence et sa  suffisance pathologique, dont il détient le bonnet d’âne, qu’il partage avec  le  chantre du népotisme. C’est le moins que l’on  puisse dire, pour dire la vérité.
Le pacte ou l’alliance de circonstance  forcée du chef autoritaire de l’AFP,  le gérontocrate, ce géant virtuel, s’est dégonflé,  est  bien un jouet docile, plus qu’il n’y paraît,  est cuit, évite à tout prix  le rapport et l’humiliation et les déboires  et ses déballages à couper le souffle à la place publique, tombe facilement  sous la coupe réglée de l’escarcelle  DE LA  MAL GOUVERNANCE FAMILIALE «  NEDO  KO BANDOUM », pour se donner une bouée de sauvetage et esquiver, ainsi, un séjour carcéral à Rebeuss. Le renouvellement  à compte goutte  DE  SON MANDAT DE PRESIDENT DE L’ASSEMBLEE NATIONALE –  n’est rien d’autre qu’une caisse de résonnance et d’enregistrement au service du despote encombrant, le prouve éloquemment, chaque jour que dieu  fait.
Tous ceux qui ont refusé  de se mouiller ou de se mouler  au  rouleau compresseur, sont plus que jamais  traînés dans la boue, traqués, comme des malfrats,  sans scrupules et sans quartier, et sans état  d’âme devant les tribunaux  aux ordres  du Tyran.
 C’est qu’a bien compris  le maître de l’AFP ; cette coalition n’est ni sincère, ni spontanée, ni une conviction franche, encore moins une adhésion, c’est au contraire une habileté.  Le  programme farfelu du nullard en place, est un simulacre.  Une telle union  contradictoire à la renverse,  est exclusivement  motivée pour des critères judiciaires, pour  éviter qu’on lui  cherche des poux  par  la CREI interposée, n’est qu’une police politique, n’a rien à envier à celle de la Stasi.
Les vautours charognards, vampires  insulteurs traitres fauteurs de trouble à l’ordre,  qui nous déclarent la guerre,  savent eux-mêmes qu’ils sont des ignares de la pire espèce.
Personne n’ignore  la boulimie vorace  de  la République  des hyènes et  des canailles  et des ripailles  et en  tête  de laquelle  la  Bourrique- Deum bien ventrue, joufflue, trapue, est si méconnaissable par sa surcharge pondérale exceptionnelle, a  adoubé, soutenu, et contaminé son frangin, le plastique, Aliou Sall, un inconnu dans l’échiquier politique sénégalais, est catapulté à la caisse des dépôts et de consignations, qu’il  couve,  couvre,  et continue d’engraisser par le sang des martyrs,  souffre  lui aussi  du mongolisme.
 Face  aux abrutis  de la bande  des troubadours  au premier rang desquels, le Guignol Berger colonial, l’usurpateur  déclaré  l’ennemi public numéro 1, qui  nous a tournés le dos,  pour  avoir   bien ouvert le bal des saillies, depuis belle lurette,  il est  urgent que nous soyons debout  et faire le bon boulot.
 À cet effet, la riposte doit être nécessairement proportionnelle à l’impunité, car à chaque situation exceptionnelle, des solutions exceptionnelles, radicales pour venir à bout au climat délétère permanent.  Nous n’avons pas d’autre choix que de les réduire au silence,  au nom de la légitime défense, régler et  de facto leur compte en toute légitimité. En ce moment là, nous n’avons aucun compte à rendre à qui que ce soit.
 Et Seydou Guèye, le valet, le soumis-farandole du misérabilisme, de son rang, le fidèle captif, attitré auprès du gouvernement de capharnaüm, se désigne lui-même en porte-parole alimentaire, se transforme lamentablement de plus en plus en symbole de la décadence, brille par  sa carence atavique,  et  par  sa récurrente rhétorique de caniveau, inverse les rôles, s’insurge dans un éclat,  s’interroge affreusement  à la place publique par presse  interposée, étrangère, se donne une posture imaginaire, déclare : « où va le Sénégal ? ».
Face au climat délétère, qui est ce foutoir en lambeau, dédouane le bazar gouvernemental de tout, en impute indignement la responsabilité  à ses adversaires immédiats, qui ne sont pas sur les manettes.  Décidément, la bassesse est devenue un gagne-pain dans notre pays étrange et à la renverse. C’est un conte de fée.
 Le Prétendu Président de l’assemblage des guenilles  et son supérieur se disputent  le bonnet d’’âne de la puanteur des injuries,  deviennent une norme  établie dans la république des voyous et des lascars.
 Que cela  plaise ou non ! Qu’ils se le tiennent pour dit !  Les deux  flibustiers et tant d’autres à la pelle, se sont  bassement enrichis tous  par le miracle des  raccourcis, ne s’encombrent outre mesure  d’aucune parcelle de  moralité palpable.
Où a-t-on vu dans le monde, des fonctionnaires  dans l’exercice  de leurs mandats, tout en cumulant  des  fonctions de PDG ?
En Afrique, c’est la règle quasi générale. Et pourtant, aussi extraordinaire que cela puisse paraître,  les  mêmes  ont  eu le culot  de donner des leçons de moralité  aux uns et aux autres.
  L’homme qui est aujourd’hui au sommet de l’état sénégalais, nous tambourinait à longueur de journées,  qu’il interdirait le cumul des mandats.  Place maintenant aux rétropédalages  massifs. N’eussent été leurs postes, ils ne seraient  pas des multimilliardaires ténébreux.
Que voulez-vous ?  Évidemment, le régime présidentiel, tel qu’il est conçu, autorise toutes les dérives exponentielles, puisqu’il  n’y a nullement  de garde –fous  pour contrôler les actions du chef de l’exécutif,  qui se croit au-dessus des lois, parce que bénéficiant d’une immunité, qui est source d’impunité,  contrôle lui-même  tout le monde contrôle.
L’alliance contre nature de Moustapha Niasse, Ousmane Tanor Dieng et Cie  à  Macky Sall : ou  le cartel, caractériel  des   médiocres, Guignols,  ignares encartés à la  Françafrique, engraissés  dans les deniers de l’état et des postes de nomination Tan Sa bula nex-telle une goutte d’eau,  les acariâtres, qui ressemblent, s’assemblent  par la réciprocité de leurs propres intérêts mesquins mal  placés.
Face  au Bradage du Pétrole et Gaz du Sénégal qui défraient la  chronique,  la bande des traitres en jointure avec le label-«  Nédo ko Bandoum », passe son  sale temps à allumer des contrefeux, pour  croire   compenser leur incurie   et leurs forfaitures incommensurables, manifestes, dont ils sont les comptables devant l’histoire.
Les politicards gérontocrates ont la bouche de sang, traitent le camp d’en face de d’ignares,  sont    eux mêmes des ignares, des  charognards, des bandits   et des vampires
Les véritables canailles courbettes défroquées sont celles qui s’auto- déclaraient l’ennemi public, du changeant, se renient, et se sont accroupies servilement, ont porté honteusement allégeance  au voleur   casseur du siècle au siècle, gourou des marchés de gré à gré, le pourvoyeur  et le chantre  du népotisme , du cannibalisme  politique, de la transhumance et des transvasements
 Le premier d’entre eux, qui est très prolixe par ses déclarations ignobles,  est  bien dans la galaxie des transhumants, a mangé dans tous les râteliers – Citons donc une certaine presse. Bien renseignée
 « A l’occasion de son déplacement au Sénégal du 21 au 24 mars 2013, le Président de l’Assemblée nationale Claude Bartolone a remis au Président de l’Assemblée nationale du Sénégal, les insignes de Grand Officier de l’Ordre national du Mérite lors d’une cérémonie à la résidence de France le samedi 23 mars au soir. »
« Le 6 novembre 2015 : 18 h 30, au palais de l’Élysée. François Hollande présidera la cérémonie de remise des insignes de commandeur de la Légion d’honneur à Sidiki Kaba, le ministre sénégalais de la Justice (et président de l’assemblée des États membres de la Cour pénale internationale). Moustapha Niasse, président de l’Assemblée nationale, le ministre-conseiller Amath Dansokho, Mamadou Badio Camara, président de la Cour suprême, et diverses personnalités sénégalaises feront le déplacement [Jeune Afrique] »
Après  l’hystérisation  de la République  et des enrichissements illicites de la Bande des Fascistes  Cancres- voleurs- mercenaires  multimilliardaire par  des raccourcis politiques, unifiés, tous alignés,  qui traitent  l’opposition de machine  mécanique- Moustapha Niasse, le fonctionnaire politicard, s’est métamorphosé miraculeusement en un quart de tour en chef d’entreprises, dont Oryx, est classée la quarantième compagnie pétrolière dans le monde.  En sus de son salaire mensuel, le président de l’Assemblée Nationale, engrange annuellement la somme astronomique de   5 MRDS DE FCFA.
 Comme si cela ne suffisait pas encore, le charlatan, qui n’en est pas,   privatise son parti politique,  L’AFP. Gakou ne nous démentira. Et pour cause.  Il a été  défenestré  brutalement, et a  laissé bien des plumes, pour  son grade,  pour avoir été  couvert d’insultes  les plus  abjects  et les  plus indignes, de la part d’un soi-disant kilifeu [notable ].
Au point que les  salves de grenades lacrymogènes ne  feraient  pas mieux, dans une certaine mesure.  L’homme ne s’arrête pas là,  crée  privatise  son parti politique, qu’il dirige  comme une entreprise unipersonnelle- et sait qu’il n’est pas le seul.
 Lors des cirques électoraux en 2012, a été  l’adversaire  du chantre «  Nédo Ko Bandoum », et pour lequel, de façon étrange, il roule. Une alliance contre nature.  Est-ce donc l’épée de la CREI  qui pèse sur sa tête   ?  Un secret de polichinelle  qui explique ce revirement spectaculaire.
Un fonctionnaire si riche n’est synonyme de droiture,  encore moins de patriotisme.  Le singulier  par ses ratonnades en cascades à la renverse, n’est  jamais réceptif aux récriminations, parce qu’autoritaire,  n’est pas à son coup d’essai- et  dont le moins que l’on puisse dire,  est loin d’être une sainteté,  détient la palme peu reluisante des Insultes,  montre son véritable visage hideux, s’accommode  à la fois et le chef de  service et le  cireur de lèches -bottes du  pouvoir ethnique,  reprend du service  de piètre qualité, rempile et traite d’ignorants qui parlent sur le pétrole et gaz du Sénégal.
 Ousmane Sonko, est bien  l’auteur du brulot, pamphlétaire  sur le pétrole et gaz au Sénégal : «  chronique  d’une spoliation ».  Entre  l’ancien fonctionnaire, qui les invite à débattre sur la question qui fâche  et  tout  le clan  de Macky Sall, y compris lui-même,  tous réunis, font profil bas, n’osent point l’affronter sur les plateaux et par presse interposée, et par l’entregent des journalistes professionnels, libres et indépendants, en la matière et à l’endroit contre l’envers du décor.  Lequel des deux camps  antagoniques baigne  dans l’ignorance totale ?
 Naturellement, les ignares, capitulards, poltrons  se situent tous  du côté du pouvoir inquisitoire, ne risque pas de se faire ridiculiser dans un débat contradictoire.
 Ils savent bien  ce qui les attendra, demain, dans l’hypothèse d’une confrontation  intellectuelle de haut niveau.   Ils se garderont bien de porter plainte contre l’auteur du brulot, mais font du bruit, pour exister. Pour croire pouvoir  arrêter le « TSUNAMI TROPICAL SONKO »,  ils essaient de l’atteindre sur des bases mensongères qui ne tiennent pas la route.   Khalifa Niasse, porte plainte  contre Sonko, et lui reproche d’avoir commandité une vidéo, dans laquelle un certain Ousmane Bâ l’abreuverait d’injures.  Le ridicule ne tue plus  dans pays de la Téranga, le Sénégal.
 L’incongruité  d’une  plainte  farfelue, est vouée à l’échec, sera classée sans suite.   Décidément,  Ousmane SONKO,  est-il donc devenu  si populaire,  qu’il faille absolument  l’abattre.  Et peu importe que les moyens soient abjects, cousus de fil blanc.
Macky Sall et sa Cohorte de « Doungourous- Camériers  »corrompus, sont-ils atteints donc de cécité et de  schizophrénie,  quand il s’agit de Sonko et son mouvement Pastef.

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