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Les charlatans passent, mais le peuple trépasse et trinque. Par Ahmadou Diop

ahmadou-diop1Chaque jour que dieu fait, des milliers d’africains meurent dans les océans ou assassinés et ceci à l’indifférence quasi générale, si ce n’est des incantations stériles avec des condamnations platoniques pour se donner une conscience de façade.
La réalité dépasse l’entendement et l’esprit rationnel. On se croirait dans une autre planète. Quand l’hypocrisie tient le monde.
Combien de présidents africains ont été assasinés et par qui et pour le compte de qui, que l’on occulte et sans que cela n’ait suscité aucune émotion ?
Selon une certaine idéologie, il n’y a de victimes, de vérité, de magnanimité que blanches, tandis que la haine, selon les discours antaginistes, clivant, les rancune, les violences sonnent africaines et les autres.
En vérité, contrairement aux idées reçues, la plupart des hommes politiques, s’arrogent hystériquement le rôle de politiciens désinformateurs et de manipulateurs, endurcis, se nourissent et se reconnaissent tous par leur capacité de nuissance, illimitée, n’aiment ni la transparence sur les affaires de la cité, ni la démocratie, ni la vérité des faits ou la vérité tout court.
Et qu’il soit ainsi, autant que possible; de sorte que ces populations anesthésiées, scotchéés, qui se prêtent aux jeux, jusqu’à l’abîme, n’ont d’autres choix que de se laisser embobinéés aussi cela s’avérera nécessaire, et qu’elles soient obligées à s’alimenter vaille que vaille de la drogue des mystifications et pour leurs dépens, si bien que les charlatans puissent préserver leurs propres intérêts crypto-personnels, mesquins, mal placés, et tant pis au détriment de ceux du peuple, qui trépasse, trinque.
Que dire de la hiérarchisation des inégalités raciales et des crimes à double standard ? Un crime est un crime.
Un journal indignement négrophobe assimile les migrants africains à des rats et des terroristes
Le dessin du jour du journal dont nous ne tairons le nom, pour ne pa s lui faire la moindre publicité, a publié sur son site internet, assimile les migrants africains à des rats et des terroristes.
La même pantomime s’aligne sur les discours de Sarkozy, qui qualifiait les migrants africains d’une « fuite d’eau ». Un misérabilisme qui en dit long sur la négrophobie à visage découvert. Non assistance aux africains migrants qui meurent sur le chemin de l’Europe par milliers, sont assimilés à des rats et des terroristes. L’humanitarisme rime avec racisme. Aucune colère, audible de l’hexagone n’a crié scandale. La négrophobie médiatique, passse sous silence, pendant que l’on dénonce l’ignominie des terroristes, on met de l’huile sur le feu pour attiser l’animosité étrange de la surenchère spectaculaire.
Terrorisme : ni l a tuerie de charleston, ni les viols des jeunes filles africaines en Centrafrique, ni les africains assassinés massifs par des terroristes qui ne se comptent plus, n’ont pas les mêmes échos que ceux de Charlie Hebdo et au Bataclan. à Paris.
Les crimes terroristes , effroyables contre des caricaturistes de l’hebdomadaire en France avaient défrayé la chronique, et continuent de susciter une émotion généralisée en France et dans le monde, mais pour autant, apparemment, des crimes racistes aussi crapuleux, qui ne comptent plus aux pays de l’Oncle Sam, et qui visent essentiellement la communauté noire américaine, constituent des cibles privilégiées, doivent être condamnées rigoureusement sur toute la planète avec la dernière énergie, pour qu’ils ne se reproduisent plus jamais. Le terrorisme, c’est le terrorisme. Toutes les victimes se valent. Il n’y a pas donc de victimes supérieures aux autres. Appremment, les victimes africaines ne sont pas logées dans le même registre que les victimes blanches.
Il n’y a jamais de slogans perceptibles, pour dire : « nous sommes africains, plus jamais ça ».
Les condamnations doivent avoir la même tonalité, la même intensité à l’échelle planétaire internatiobnale sans discrimination. Est-ce- le cas ? Pas si sûre.
Ce qui ce qui s’est passé aux Etats –Unis n’est rien d’autre que des génocides, savamment organisés puisque les victimes noires commencent à compter beaucoup. Faut-il donc attendre que tous les noirs soient tous exterminés pour que la communauté internationale se lève sur la planète entière, pour dire plus jamais ça, lorsqu’il sera trop pour agir. Et en ce moment, à quoi cela servirait de crier scandales.
Le choc de la rhétorique suprémaciste d’une certaine affluence communautariste nous révulse à plus d’un titre. L’habileté de la com’ contre le terrorisme international, peut-elle servir de partonnerre contre la chronique d’une chute annoncée bien programmée en 2017 au Sénégal, si toutefois qu’il y aura des élections présidentielles à date échue,
Les escalades massives des dérives scandaleuses , ouvertement racistes, créent le buzz sur l’échelle planétaire internationale, qui n’émeuvent personne , deviennent une convergence et un point de ralliement des élites médiocres et aux esprits tordus jusqu’à l’abîme.
Gobineau, Voltaire, Montesquieu, kant, Hegel, et Cie, les pères fondateurs du fascisme, qui décrétèrent la hierarchisation des inégalités raciales, furent des écervelés, qui peignirent jadis, les noirs, tels des aninaux ou des êtres prélogiques, n’ont jamais été à ce jour condamnés à titre posthume, firent l’apologie de la violence : un crime imprescriptibe contre l’humanité. Au contraire, leurs idées ont crée l’école du négationnisme univetrsaliste, selon le paradigme suprémaciste de l’intellectualisme terroriste.
Le Sénégal sous la menace du terrorisme international : une gouvernance des échappées torrides
Macky change son fusil, fumine : « il n’y a aucune interdiction sur le port du voile intégral ». Nos tirs groupés chevaleresques, légitimes, audibles, entendus, par l’ensemble des sénégalais, en sont-ils pour quelque chose ?
Le régime le plus répréhensible, le plus scandaleux de toute l’histoire politico-financière, cache sa nature surréaliste, révéle son caractère blasphématoire par ses échappées torrides, tend par la ruse, à absoudre ses forfaitures infinies. Pire encore, il tient à créer contre vent debout, les conditions obligatoires d’une insécurité publique, qui lui permettrait de ne pas respecter le calendrier des élections présidentielles à date échue.
La menace inventée du terrorisme au Sénégal n’est qu’un tissuthèque de mensonges grossiers, savamment élaborés par le pouvoir d’état tortionnaire, totalitaire au premier rang duquel le tonitruant tyran, en l’occurrence, Macky Sall, du haut de son piedestal, se niche derrière une respectabilité d’apparence au sommet de l’état familial, ethnique, corrupteur, corrompu, est le premier terroriste, l’activiste, l’irréfléchi et le principal commanditaire, direct, désigné « de la république des proxénète », corporatistes, caîds de la haute délinquance financière internationale, de classe exceptionnelle.
Il est temps maintenant d’imposer la démocratie au sein de l’audiovisuel, notamment les médias publics et la transparence, pour l’équilibre du temps de parole, l’éthique et l’équité.
Avant tout, nous devons mettre un terme à l’hégémonie ethnique totalitaire de la bande d’ouailles de journalistes, propangandistes, corporatises, tous placés, alignés à la tete du service public…

Par Ahmadou Diop CPC

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