Libérons notre pays, le Sénégal de la tutelle des Institutions Poupées et de son Valet, Macky Sall ! Par Ahmadou Diop.
Malgré ce qu’elles laissent apparaître, les institutions internationales taillées sur mesure pour leur propre compte, sont des outils inadaptés à nos réalités, cachent la foret sur lesquelles s’accrochent les faussaires nés, imposent leur propre volonté par des mécanismes savamment élaborés, alors que rien ne tient du début à la fin.
C’est sciemment voulu, tant que ceux qui les ont créées, y trouvent leur compte. Et pour cause. Un tailleur doit demander d’abord à son client ses mensurations avant lui de coudre sa veste et son pantalon et sa chemise qui vont avec.
Ce qui n’est le cas avec les 193 pays que compte la planète entière, dont 5 Pays tout- puissants décident en lieu et à la place des autres, qui sont classés de seconde zone- ce que ces derniers doivent faire obligatoirement -, sont tous considérés comme des moutonniers, suivistes. « ku lay abal ay bët molay wax fingay xool ».
Les puissances capitalistes apparaissent, juges et parties, n’ont jamais l’idée de faire le plan Marshall pour l’Afrique, malgré l’abondance des éternels sommets de la francophonie des leurres mis en bandoulière.
Pourtant, les mêmes qui ont cautionné certains pays dans le monde, bénéficient exclusivement du plan Marshall, sont devenus extraordinairement des puissances économiques, financières et qui disposent de touts les moyens logistiques, aériens , terrestres, illimités, détiennent des forces de frappe, qui peuvent atteindre tous pays, d’où qu’ils puissent se situer sur l’échelle la planétaire internationale.
À contrario, tous ceux qui se dressent contre eux, en auront pour leur grade-regardez mon doigt- Laurent GBAGBO, le détenu politique dans les geôles du tribunal politique, l’honorable tigre réel de la côte d’ivoire et ceux d’une certaine Amérique latine et Cie ne me démentiront pas. Il y a donc de parler de deux poids et deux mesures.
Autrement dit, les mêmes qui promeuvent, élaborent leurs lois, sans y associer dans leurs décisions, la majorité, qui sont pris pour des gueux, qu’ils s’appliquent, à eux-mêmes, sans état d’âme, selon leur vision du monde et pour leurs intérêts, qu’ils imposent de façon disproportionnée au reste du monde soumis, sans qu’il y ait des concertations.
En vérité, il s’agit tout simplement d’un habillage décousu et sous le paravent non avoué d’un prolongement soft du colonialisme qui dit bien son nom.
Ce qui est cocasse, c’est que partout où ces institutions internationales interviennent grossièrement, il n’y a point la moindre lueur de démocratie visible, ni en terme de progrès économique, de droit et de liberté d’expression.
Les mêmes qui tiennent mordicus d’une main de fer nos constitutions absolument bancales, moribondes, cautionnent par derrière leurs valets sanguinaires, qui tous sont dressés en coupe réglée, sévissent comme constamment, laissent des dégâts collatéraux, à savoir les fameux plans structurels du FMI et de la Banque Mondiale de mauvais aloi, créent systématiquement et de facto le marasme social, les déboires, les désillusions massives, le chômage de masse, banqueroutes, crimes, pandémies, corruptions, injustices, désolations, la pauvreté et parfois les guerres interminables, programmées dans le secret des dieux. Il n’y a pas un seul pays qui échappe à la règle prescrite. Voilà ce à quoi excellent les tyrans satellites de la démocratie mondialiste et de l’arbitraire.
Quand bien même , s’installe l’anarchie à tout vent, les bandes rivales armées à coups de canon se disputent , se livrent à des pillages organisés des ressources naturelles, qui atterrissent à tout prix aux mains des grandes industries impérialistes.
Après quoi, pour se donner bonne conscience, les mêmes maîtres pyromanes autoproclamés les distributeurs des bons points et mauvais aux uns et autres au mauvais endroit et à travers le monde, ne versent que des larmes de crocodile au nom de l’hypocrisie, jouent les pompiers de service, après quoi, s’arrogent jouer les prétendus bons offices.
Le droit international et les institutions capitalistes , en particulier, la banque mondiale et le fonds monétaire international, qui furent mis sur pied par les Accords de Bretton Woods, en 1945, au lendemain de la de la débâcle de la deuxième guerre dévastatrice, tant sur le plan humain que sur l’économie- pour faire beau- ont tout simplement, changé leurs moutures, mais gardent la nature de leurs peaux, restent incontestablement des outils expansionnistes, notamment envers les pays du tiers monde, qu’elles siphonnent, dont certains n’avaient pas encore accédé à la souveraineté internationale des mirages.
pourtant, il existe d’autres systèmes alternatifs, plus justes et plus équilibrés, qui sont de nature pour nous faire sortir de l’ornière , et émerger dans le concert des grandes nations bien connues, qui jouent dans la cour des grands , que l’on pourrait mettre en application avec des partenaires libres à travers la planète entière.
Le système capitaliste, tel qu’il est conçu, élaboré, était si efficace, on le saurait depuis fort longtemps. C’est un trompe-l’œil, un rapport entre dominateurs et dominés et oppresseurs et oppressés.
Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, les multiples compilations, pour désigner la typologie, c’est à dire la catégorisation des pays du sud, qui sont riches, très riches en matières premières de toutes sortes- ce don de dieu, ou ces multiples dons- deviennent des malédictions malédiction-, et dont les appellations tous gentes frisent le mépris total en filigrane, portent tous des acronymes creux, à grand renfort de publicité mensongère- que l’on appelle, tantôt PS[Pays- Sous développés], tantôt, les PP [Pays Pauvres ], tantôt, les PMA, [Pays les Moins Avancés], tantôt les PVD [Pays en Voie de Développement], tantôt les APE [ Accords de partenariat économique].
En décembre 2014, un accord de partenariat économique est signé entre l’Union européenne et 10 pays de la communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).
En effet, à y regarde de plus près, il s’ agit tout simplement d’un manque à gagner qui se chiffre à plus de 200 mrds de FCFA par an, en défaveur des pays africains, soumis, selon les experts africains financiers , monétaires et économiques de haut niveau. Les pays africains qui n’ont pas d’industries lourdes pour transformer leurs matières premières en produits fini, importent plus qu’ils n’exportent. Le défunt président Hamani Diori du Niger, les qualifiât de détériorations des termes de l’échange.
D’où la nécessité d’opter impérativement et sans délais, pour le développement généralisé des industries lourdes à l’échelle supra nationale africaine, en particulier, en mettant l’accent sur la technologie de haute pointe, de façon à transformer leurs matières premières sur place, à l’instar des pays des Brics, libres indépendants, et souverains, qui ont reproduit à l’identique les institutions financières internationales , telles que le FMI et la banque mondiale- disposent en chine l’équivalent de 700 MRDS de dollars. Ainsi, si nous voulons, nous pouvons, car nous devons absolument collaborer et établir un partenariat multilatéral avec eux, pour mettre fin à la dépendance dynamique et à la tyrannie des pays colonialistes, capitalistes.
Le Sénégal et les pays africains prennent le contre pied du Ghana, a décidé de sortir des griffes des institutions financières, après qu’il aura fini de rembourser ses dettes.
Alors que riyal saoudien, est arrimé au dollar américain. Il faut noter que le régime ethnique saoudien, le valet des américains, qui a été impliqué dans les attentats du 11 septembre 2001, a déposé dans le trésor public américain plus de 700 MRDS de dollars américains. Toute chose est égale par ailleurs.
Selon, le professeur, expert financier économique, monétaire, Nicolas AGBOHOU, dans son livre, intitulé : « Le Franc CFA et l’Euro Contre l’Afrique ».
Je le cite : « Le franc CFA, ou franc des Colonies Françaises d’Afrique, est créé le 25 décembre 1945 par un décret signé par trois Français (Charles De GAULLE, président du gouvernement provisoire ; René PLEVEN, ministre des finances ; Jacques SOUSTELLE, ministre des colonies) qui ont en commun un double caractère : ils sont imbus de la suprématie blanche ».
Comment accepter que des gens, au mépris du droit international- leur propre droit- fussent-ils si puissants, se lèvent un beau matin et décident d’imposer unilatéralement à toute l’Afrique, présumée son esclave de droit divin, le nazisme monétaire sans demander l’avis des concernés, sous prétexte qu’ils n’eurent pas leurs mots à dire ? Plus de 60 ans après les indépendances supposées formelles de la décadence dynamique, toutes les banques installées à l’ensemble des 14 pays francophones, tous soumis, sont des filiales de la BNP, la quelle fut créée par Napoléon, un roturier. « C’est décidément la politique DEUMBI DU GUENEU CI GALGUI ». Au Sénégal et dans les 13 pays de la zone franc FCFA, tous sont assujettis au ndiguël du gendarme colonial, le Tout-puissant. Décidément, les emprunts obligataires à la pelle ne servent qu’à acheter du matériel de répression chez le même, qui en tire profit. A qui profite donc les crime ?
Toutes ces substantifs ou ces structures bidon, farfelues, que sont les ape et autres, que sais-je encore, changent au gré du vent, mutent constamment comme des serpents, constituent une rhétorique grossière à grande échelle internationale, notamment en Afrique centrale et de l’ouest honteusement dénommée francophone, qui régissent l’UE à L’Afrique des Guignols , alignés, sont des rapports entre pays, agressés, oppressés, Soumis, et pays dominateurs Engraissés- Agresseurs- oppresseurs, sous le fallacieux prétexte des échanges économiques Pompeux, Gagnants-gagnants6 mon œil ! C’est l’effet contraire mécanique qui se reproduit.
D’autant plus que les cataclysmiques,néfastes, créent des déséquilibres très prononcés, ne représentent en réalité que des coquilles vides pour tous les pays qui sont sous tutelle coloniale, au premier rang desquels le Sénégal, sous le règne du régime le plus scandaleux, l’auxiliaire du prestataire de service, en l’occurrence, le Satan, en la personne de Macky Sall, qui fixe les débats politiques, les clôt à tout vent, quand il veut, à sa propre convenance personnelle, confisque par sa lâcheté la démocratie et bafoue toutes les libertés fondamentales de conscience.
Aussi longtemps que nous serons sous la remorque capitaliste, paternaliste, à outrance, nous n’avancerons jamais d’une seule virgule, pour dire la vérité, rien que la vérité. Croire à ces institutions financières internationales, est une illusion monumentale. Elles ne sont pas des mécènes, tant s’en faut, mais des pillards.
À quoi servent nos institutions poupées ? Libérons notre pays, le Sénégal des institutions de poupées et de son valet, Macky Sall !
L’unique coupable, Macky Sall, se croit supérieur, plus futé que nous les sénégalais tous réunis, cherche des co-accusés qu’ils puissent partager avec le dealer ses parjures sur le pétrole et gaz du Sénégal.
S’il était de bonne foi, il aurait pu avoir toute la latitude nécessaire pour discuter largement et ouvertement, publiquement avec tous les acteurs politiques, tous les citoyens, y compris toute la société civile, en privilégiant largement les intérêts supérieurs incessibles de l’état sénégalais sur la question qui nous fâche nous tous.
Le revoilà de nouveau qui veut se racheter et nous entuber une fois de plus pitoyablement, comme si rien n’était, et qui prétend se donner une posture imaginaire, et se couvrir sous le faux habillage d’un patriote sénégalais, qu’il n’est jamais, ne sera jamais, car il est par définition, un imposteur, déclaré-non non éclairé à la place publique. Réveillons-nous donc de notre torpeur et ouvrons nos yeux sur un escroc, qui est totalement démasqué.
Le hâbleur mortifère tient à masquer ses nombreuses parjures cataclysmiques par ses turpitudes et ses attitudes scandaleuses, prouvent qu’il ne peut être, en aucun cas, un président de la république normal, mais un caniche de l’occident, invertébré, dont l’ignominie suintante, est compatible à ses sottes d’humeur, dont qu’il ne cesse de poser des actes répréhensibles sur la scène politique au Sénégal.
Tous ceux qui voteront pour lui, et quelque soit leur appartenance et leurs rangs, d’où qu’ils puissent venir, n’auront aucune once de moralité, peu ou prou, seront tous considérés comme des traitres en chair et en os. Que cela soit clair et qu’ils se le tiennent pour dit ! Personnellement et solennellement, je le dis tout haut et publiquement, de vive voix et de façon audible.
Nos prétendues institutions, sont ne que des poupées. Elles ne sont rien d’autre que des instruments de domination, d’asservissement que nous louons, pour nous nous avilir aussi longtemps, que nous les garderons, nous serons dans l’impasse totale et dans la pénombre. Elles sont l’antithèse de nos valeurs traditionnelles par rapport à nos modes de pensée.
C’est comme des voitures qu’on loue, elles ne nous appartiennent pas. Ce qui intéresse nos oppresseurs impérialistes, c’est de créer des guerres partout, diviser , cliver, mettre les uns contre les autres, en signant des contrats d’ armes mirobolants avec les traitres, qui font le lit des seigneurs de guerre, qui tuent, sans compter leurs peuples respectifs, qu’ils méprisent , les tiennent en laisse, avec le matériel lourd et les logistiques, qui les assistent, pour qu’ils puissent triompher indignement par le miracle des coups de canon.
Réorganisons nos administrations et notre armée nationale, et sortons-nous donc et toute suite de la tutelle des institutions étrangères impérialistes, esclavagistes des charniers de mensonges, si nous voulons être libres, indépendants, souverains et patir sur de bonnes bases voulues, pour établir nos modes de pensée élaborés par nous-mêmes et pour nous –mêmes, au lieu de laisser nous tenir en laisse par la pensée mécanique, comme si nous sommes inaptes à aller de l’avant.