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Macky Sall, le Gourou de la Mal Gouvernance Familiale, coloniale : ou le Gouverneur-Falsificateur Lave À Grande Eau ses Péchés Originels À Paris et les Dessous contre l’extrémisme Sur Internet. Par Ahmadou Diop.

Pour une première fois, le président de la République a choisi d’emprunter le vol régulier d’Air Sénégal pour se rendre à Paris, le mardi 14 mai 2019,  titre  pompeusement  une certaine sarabande moutonnière, empestée, mensongère, accréditée, attitrée auprès du palais «  alpulaar », se dégonfle,  et se  distinguant affreusement  encore  une fois de plus  à la place publique, par ses séquences de  pantalonnades en cascades, suintantes sont  si  bruyantes et par sa servilité  chroniquement  massive, corrosive, tant  par ses ratonnades  explosives, polluantes,  que   ses tonalités nauséabondes,  nous donnent  la chair de poule, et dont   le point culminant se mesure par  l’abondance de sa carence nocive, nous renseigne  éloquemment  sur l’état de pourrissement avancé d’une  bande de  fripouilles, irrécupérables. Ce n’est pas un scoop, mais relève d’une tambouille  réchauffée. L’enfumage classique sévit de plus belle que jamais. Les mêmes causes  reproduisent nécessairement les mêmes effets.  C’est un parfum du déjà vu.

L’Insolite pantin – pantouflard-satellite, est un chef de  clan, trompe-l’œil, et non certainement pas  un véritable chef d’état normal, nous rappelle étrangement  son périple africain très onéreux  en juillet 2013, faisait déjà à l’époque les choux gras d’une certaine libre presse, ne mâchait pas ses mots, ne laissait pas embobinait par l’escarcelle de la racaille en place, défrayait hystériquement  la chronique, durant des jours,  en avait une autre grille de lecture plus objective, titrait librement : « Coût exorbitant de la tournée de Macky Sall : Location d’un Airbus A320 à 100 000 euros par jour ! »

« Cette tournée risque de grever encore les finances publiques sénégalaises depuis que l’Airbus A319 CJ Moyen courrier – MSN 1556 – 6V-ONE acheté à la France à prix d’or par l’ancien Président Wade à plus de 20 milliards FCFA est immobilisé depuis plusieurs mois à Perpignan Rivesaltes pour réparation nous dit-on. Macky sall  aloué  La société Masterjet basée en France au Bourget, qui loue ce type d’appareil,

Eh oui, l’avion doit revenir à Paris…vide pour un coût minimal de 500.000 € au contribuable sénégalais. »

En effet, les menteries cachaient une sale ardoise financière de grande ampleur rarement inégalée, inégalable,  relevait d’une vaste escroquerie,  digne d’un menteur, on ne saurait mesurer  les dégâts  monstrueux.

 2013 :, pour rappel, Mack Sall, qui revenait alors  du  prix Houphouët Boigny [ le co-fondateur  de la France Afrique avec Senghor  en 1955] à Paris, la presse propagandiste nous avait servi  bien  la sauce, selon laquelle  Macky Sall a boudé  l’avion présidentiel.  LE PANTIN,   sur ordre  de ses propriétaires blancs bon teint leucodermes  remerciait  à grand tapage médiatique, son  acolyte, Blaise Compaoré, le  dictateur  du Burkina Faso, en l’occurrence,   le déchu,  fugitif, pour son soi-disant rôle de médiateur sur la crise post- électorale en Côte d’ivoire en 2010- mon œil !

  Or,  malgré tout qu’on adit, on a bien su   ce qu’il en était réellement. On l’oublie souvent,  nous  autres, nous avions commenté  largement  dans l’Info Autrement et  à travers notre Radio ruepublique.com les turpitudes du tonitruant encombrant  et  ses voyages dits officiels, superflus, que nous considérons  toujours comme  étant  des voyages d’affaires.  Moi, j’en ai consacré une  chronique  dans mon émission  « Xew Xewi rewmi »   du mardi.  Malheureusement, youtube l’a tout  simplement supprimée, comme  tout le reste.

Comme tout relais  digne de son rang, l’éternelle girouette, le temple  des intérêts impérialistes, s’est bien  converti en gourou de décrépitude de classe exceptionnelle, compte tenu de ses   incessantes rituelles litanies démentielles à couper le souffle, pour exister et croire  compenser des manières aléatoires, après  qu’il eût lavé à grande eau  et à maintes reprises  son  énième  hold-up électoral par sa fausseté, congénitale, fait son show dans la capitale française pour amuser la galerie  et  par des pirouettes et sur fond d’incantations stériles, s’inscrit  promptement  dans la logique de la dépendance systémique  coloniale, en s’inclinant dans la platitude, continue non seulement son numéro Spécial  abyssal dans  l’hexagone.

 Pis encore et  par-dessus  tout, s’accommode bassement  dans sa fuite en avant, en renouvelant plus que jamais son allégeance indéfectible dans le secret des dieux À Paris, à dessein d’engranger par la petite les dividendes politiques escomptés au nom de la géopolitique.  Maintenant, le changeant dans l’espoir d’obtenir un prestige  et  une notoriété internationale imaginaire,  tente d’y trouver une bouée de sauvetage, surfe  mordicus sur la thématique mécanique  terroriste de ses  maîtres suprémacistes  blancs. Pour ce faire, l’inimitable marionnette  respecte à la lettre  l’obscure voie que  ceux qui le tiennent par  la corde lui ont tracée. .

 Pour  le président autoproclamé,  illégitime indigne,  décidément,  tous les chemins mènent à Paris, ce  haut lieu incontournable,  né sous la bonne étoile,  pour des voyages superflus,  car tout sert de prétexte foutoir pour atterrir dans la capitale française. L’étrange pigeon voyageur dans les airs,  a bien élu domicile du côté de la  Seine, où  il paie nécessairement  des impôts coloniaux,  toujours égal à lui-même et  fidèle dans sa ligne totalitaire,  s’agrippe dans des folies  dépensières sans compter.  Et ce n’est pas tout, Car le Sénégalais, le  nègre de service, américano- français  pion à Houston, aux Texas,  y possède  également une villa grand standing.

Et pour ce faire, l’imposteur, de la dialectique renversante,  ou  le chantre de la rupture mutilée et des paroles dédites, dit l’envoyé spécial colonial, béni oui, oui , déclaré  le caniche de l’occident et ses escapades à répétitions, décrète sa  fatwa mortifère contre un seul camp pour son grade, qu’il élague, cisaille un par un, et ce par sa police de la Stasi,, ne manque pas de culot et d’occasion,  tue la démocratie, les libertés fondamentales de conscience,  sacralise par devers la corruption, et sanctuarise les transfuges, pourtant c’est cet homme là, qui se donne  incongrument une virginité imaginaire, épargne par devers son clan, adoube, engraisse  et  met  sur le devant de la scène sa  propre  femme,  Marième Faye, dont le moins que l’on puisse dire, n’a rien à envier  à madame  Chantal Biya, pour ses   folies dépensières au Cameroun.

 Alors que la première n’a aucune posture officielle reconnue par la constitution étrangère moribonde,  ne se prive de rien, collectionne à tout vent  des parures  les plus chères au monde, et  multiplie   les  dérapages,  autant que son mari,  allant  jusqu’à  briller dans l’indécence totale et  au mépris de la conscience humaine.

 Voilà donc  celle que l’on surnomme  à juste titre,  le coffre-fort du palais,  la première dame des manières aléatoires, ou  plus  exactement,  est  le ciel ouvert  de la boîte de pandore de la corruption  toxique  et massive, bénéficie impunément du talisman et ce,  devant le nez et  la barbe de la justice instrumentiste  qui reste sourde, muette et aveugle, alors que pour une oui ou pour  un non, elle s’active  et s’exécute machinalement, quand il s’agit  de ceux qui  cherchent à promouvoir  un contre-pouvoir  et un état de droit régalien .

 Depuis hélas,  le regrettable et triste soir historique du 25 mars 2012,  l’étrange First lady iconoclaste ou l’inculte multimilliardaire des ténèbres et par les raccourcis politiques  des richesses  ostensibles, attentatoires, sont  étalées ouvertement à la place publique.   

 Alors,  sous le faux postulat  de  musulmane dite pieuse, croit  pouvoir  tromper durablement   le dieu le tout-puissant,  ne déroge point à sa règle édictée,  distribue  à gogo  et sans vergogne, ni vertu, ni scrupules  l’argent  racketté dans la poche du contribuable sénégalais sous forme d’aumône à son clientélisme clanique   immédiat nédo ko bandoum, avec  la bénédiction effective de son époux,  détient à coup  sûr, la palme  noire d’un  professionnel ,menteur  en la matière.   Comme on dit,  dis-moi qui tu es, je te dirai qui est  ta femme.

Le parisien noir à Paris , où il a élu domicile,  et  quand  bien même  il est à l’intérieur du pays,  pleuvent  torrentiellement et la dialectique des charniers de mensonges, par  sa duplicité, entre autres, ses  compilations de fourberies truculentes et ses élucubrations pittoresques et auxquelles s’épaississent davantage et  pêle-mêle ses incohérences convulsives sismiques. C’est bien  la conviction d’un manipulateur trompeur délinquant notoire clinquant, machiavélique ethnocentrique, moralisateur surréaliste, négationniste d’apartheid de tète aux pieds, qui prêche à la fois l’éthique et l’équité à  sa soldatesque de la canaillerie  toute capable, partage et se dispute elle –même leurs ignominies  à la place publique pour faire beau.

Car celui qui s’érige  un donneur de leçons, on ne sait pour quelle raison, n’est jamais une sainteté, qu’il prétend  incarner, outrepasse de loin  ses prérogatives, et  sous le couvert de son statut supposé, est moralement, politiquement, juridiquement  illégitime, de facto, devient  dans les faits,  source d’impunité. Alors un tel acrobate  et ses légèretés abracadabrantesques, nous enquiquine, utilise la force publique interposée, rechigne à s’appliquer à lui-même les mêmes règles  les plus élémentaires de la déontologie  concrète sur le terrain du crime, épargne  sa femme, qui  est elle-même coupable, qu’on le veuille ou non.

 Pour ne rien arranger, pratiques attentatoires confiscatoires à la démocratie par des lois    scélérates, coercitives  à n’en plus finir  sur commande d’en haut, avec prime, la  concussion et  la  dilapidation des deniers de l’état à des fins personnelles  de la part d’un expert de la désinvolture, contrairement  à ce qu’il veuille afficher, détient en quelques années et par des raccourcis politiques, une  fortune si gigantesque et si colossale, avoisinant presque la moitié de la dette du Sénégal.

Aussi extraordinaire que cela paraître, le multimilliardaire des ténèbres a eu  le culot de  jouer  le victimaire des leurres, accuse à bras raccourcis  sa bande d’ouailles de l’avoir trahi,  et dont le bilan si chaotique  correspond nettement au degré de sa conscience abîmée, s’apitoie  allégrement sur des querelles d’arrière-boutique de bas étage. 

 Voilà  le sport favori et le menu auxquels excelle quotidiennement le chef de bande  de la république des invectives cataclysmiques.

En fin de compte, on a l’impression que  pour Macky Sall,   qui est dénommé le matelas financier du monde capitaliste, tout sert de transvaser, dans une certaine mesure, les emprunts obligataires  à Paris, sous le socle « Golo dibay baboun di doundé ».

Pour une première fois,  selon la presse du palais,, Macky Salla choisi d’emprunter le vol régulier d’Air Sénégal pour se rendre à Paris. C’est une certaine façon d’accréditer la thèse  selon laquelle le parrain de la mafia ethnique, est devenu humble,  pour avoir de l’empathie envers les sénégalais et les sénégalaises.

  Or, il n’en est rien, puisque c’est lui-même qui diligente tout seul la compagnie aérienne sénégalaise. La Com ` de caniveau n’est que la face émergée de l’iceberg en dit long sur une politique   problématique dans laquelle  le visible   cache  l’invisible.

 

Chaque visite officielle  du braqueur électoral  et ses dessous à paris s’élèvent  tels des écheveaux  montagneux  qui  s’amoncellent à la pelle et à l’infini. C’est  ça la caractéristique  essentielle du pedigree en chair et en os.   Macky  Sall À Paris pour Lutter Contre L’extrémisme Sur Internet,  a reçu Lamine Diack, l’ancien patron de la fédération internationale d’athlétisme (IAAF), épinglé par Le Parquet national financier (PNF) pour corruption et blanchiment de corruption, c’est-à-dire l’argent russe de Jackpot [1 MILLION 500.000 €] et fils  pour arroser  la campagne présidentielle de 2012  de  Macky Sall himself  contre Abdoulaye Wade,  continue d’ éclabousser le SallGate, le tonnant,  l’homme de la rupture  des mots et  des slogans creux, plus connu sous le nom de kleptocrate, a un autre visage que celui qu’il affiche publiquement partout.

Le juge français Renaud Van Ruymbeke qui  s’était rendu  à  Dakar reste jusqu’ici  sur sa faim, affirme que la justice sénégalaise, qui a été saisie d’une commission rogatoire, n’a posé aucun acte pour l’aider à accomplir sa tâche. Il soutient même que le Sénégal a entravé son enquête, en refusant de livrer Papa Massata Diack à la justice française.   Pourquoi Macky Sall,  le principal  coupable, numéro Un,  refuse-t –il de livrer le colis encombrant à la justice française, ou a-t-il quelque chose à se reprocher ?  Je le crois et pour cause.   

Si nous étions dans une démocratie  réelle qui tourne à plein régime sans accroc,  rien que ce scandale parmi tant créer sa chute  brutale, au point qu’il sera jugé pour hautes trahisons, lesquelles sont passibles à des peines d’emprisonnement ferme de 30 ans  avec perte de ses droits civiques.

  Enfin, pour terminer notre article,  faisons  donc un peu d’histoire pour comprendre comment en est-on arrivé là ? 

Mais comme  le savez sans doute, le gardien du temple des intérêts colonialistes en place, Macky Sall, est bien un pur produit  de Senghor, disait que «  la colonisation est un mal nécessaire », « j’ai une faiblesse pour la France», ajouta-t-il dans ses écrits. Comment un crime est-il un mal  nécessaire ?  Un comble du comble ! C’est pourquoi Cheikh Anta  Diop, le kamit- panafricain,  le qualifiait à juste titre  de codificateur du fascisme. 

 Ainsi donc, pour égaler  et suivre machinalement  le maître du plagiat historique [ Senghor paix à son âme ], le chantre affirmé, le sous marin- ou le pion américano-français de la rupture  des slogans  creux,  : « la patrie avant le parti », surfe nécessairement   sur  les terres  du prétendu  auteur  de la négritude politique, s’en appropria, qui  est  en réalité  un concept publié  dans la revue des Etudiants Martiniquais en 1935 par Aimé Césaire. 

Le successeur d’Abdoulaye Wade, falsificateur dans l’âme jusqu’à l’abysse, confond sciemment le nationalisme et le patriotisme, en 2012, entre les deux tours des présidentielles, je le cite textuellement : «  le retrait des troupes et bases militaires françaises relevait quelque peu d’un nationalisme mal placé,  et ce, devant Nicolas Sarkozy, dont l’inspirateur n’est autre que Victor Hugo, le symbole de l’antikamitisme choquant, défendait orbi et orbi  le colonialisme, que l’Afrique n’a pas d’histoire.

 Pour rappel, Saint-Louis, fut baptisée en hommage au Roi de France, Louis IX, sous la régence de Louis XIV, a été fondée en 1659 par Louis Caullier, écrit-on de marbre dans les annales de l’histoire, comme si  cette ville du nord était déserte avant la pénétration coloniale.

Une insulte portée  contre la mémoire de nos ancêtres que l’on  oublie, enterre sciemment  comme  étant  tous des insignifiants historiques.   jusqu’à ce jour, au Sénégal,  dans la capitale , il  n’y pas eu  une Géante statue de  Lat Dior Ngoné latyr Diop , le résistant  hors-pair de classe exceptionnelle sur son cheval Malaw, ne serait-ce que  pour perpétuer et immortaliser  l’cone  charnière,  l’intrépide et  le redoutable  guerrier contre l’impérialisme  français  apporte sur le  plan symbolique,  de la résistance historique,  notamment   les retombées touristiques, si nos élites  étaient à la hauteur , avaient une vision, au lieu de se confiner bassement  dans leur rôle de  marionnettes,  comme  étant des moutons de panurge malléables et corvéables à merci.

Après  presque  59 ans  d’indépendance formelle de la dépendance  dynamique , nos  lamentables  élites  multimilliardaires des raccourcis politiques de la décadence se métamorphosent en guignols  pantins, satellites vis-à-vis  de l’ancienne puissance coloniale, est plus que jamais  la maitresse des horloges, car la plupart de nos rues et nos établissements scolaires, universitaires et avenues font florès, portent indignement la marque digitale de nos  éternels  oppresseurs colonialistes. 

Au Sénégal, la statue de Louis Faidherbe à terre  a été réinstallée  rapidement, malgré les réactions épidermiques  des sénégalais

Louis Faidherbe (3 juin 1818-1889), « l’une des grandes figures du colonialisme français« , a mené « une guerre d’extermination » au Sénégal, qui a abouti « à l’imposition d’un système d’oppression raciste« . « La réhabilitation de la statue de Faidherbe, insulte permanente à la mémoire des peuples colonisés, est une faute« , juge le collectif. 

Kléber, était parmi ceux qui  avaient accompagné napoléon à la fin du 18 siècle, fut assassiné en Egypte. Il y  avait  aussi Volney-,le savant bien méconnu du public , a reconnu que les pyramides était l’œuvre de noirs aux cheveux crépus, dont parlait justement Cheikh Anta Diop, le savant scientifique, égyptologue de renom, le kamit panafricain, hors pair, la référence de proue   emblématique par excellence de l’africain bon teint, auteur de plusieurs ouvrages, dont en première ligne, «  Nations nègres et cultures »    Nous devons connaître notre histoire avant de connaître celle des autres, martelait-il, durant sa vie.

 Charles De  Gaulle,  qui est bien connu,  dirigeait le gouvernement provisoire, imposa la monnaie coloniale, le 25 décembre 1945  jusqu’à nos de jours, ou la honte du siècle au Sénégal  en Afrique  des pantins  alignés  soumis n’osent point en parler, sauf le soldat Ousmane Sonko,  parce qu’ils ont l’épée de Damoclès qui pèse sur leurs tètes.  Ce qu’il est convenu d’appeler avec euphémisme  l’ingérence monétaire humiliante. 

  william Merlaut Ponty, gouverneur et administrateur colonial ; Albert Sarraut, fut  ministre des Colonies, l’un des principaux inspirateurs de la politique coloniale ;  Ernest Roume- l’actuel Palais fut la résidence officielle du gouverneur général de l’AOF. Il   fut  inauguré le 28 juin 1907 comme palais du Gouvernement général. Ernest Roume, est le premier à y demeurer, selon les spécialistes  des questions coloniales.   Le Sénégal des  élites minables enterre la mémoire de ses héros,  reste plus que jamais  le ciel ouvert et le  label du colonialisme triomphant.

 

 

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