MACKY SALL, LE TERRORISTE ET SES ETRANGES ARMES DE GUERRE NON CONVENTIONNELLES POUR UN HOLD-UP ÉLECTORAL EN 2019, UN CRIME D’ÉTAT NE RESTERA PAS IMPUNI ? Par Ahmadou Diop.
Selon mon analyse, le terroriste dispose de trois armes non conventionnelles qui sont liguées les unes aux autres, telle une toile d’araignée, tendant à organiser en permanence un hold-up électoral en février 2019, ce qui est synonyme d’un crime imprescriptible.
1° La justice aux ordres, en faillite, est monopolisée, réquisitionnée en toute circonstance par le pouvoir totalitaire, pour les besoins du service, peu orthodoxe, en échange des valises de billets de banque de FCFA, se complait à la fois dans son rôle d’instrument politique et de jouet.
2°\ La corruption [Guer) massive qui frappe les consciences abîmées d’une certaine nomenklatura, politico religieuse abondamment arrosée par les deniers de l’état, se prolonge à une certaine servilité de référence (aide à la presse), demeure plus que jamais le relais du pouvoir négationniste, ethnique, d’apartheid
3° Acquisition de les fusils d’Assaut et d’autres matériels militaires de répression, sous le fallacieux prétexte de la lutte contre le soi-disant l terrorisme, inexistant dans le ciel, dégagé de toute terreur.
Décryptage :
À l’instar des fascistes africains, l’autocrate déclaré en place, pour arriver à ses fins, ne lésine jamais sur les moyens de l’état, et du haut de son arrogance, et par son ignorance sur le régalien, ne déroge point aux trois règles de ses compères, tels des écheveaux, se tiennent en toile d’araignée à l’échelle planétaire : La justice aux Ordres\ Achats des Consciences Abîmées [Guer) et les fusils d’Assaut.
1° la justice inquisitoire aux Ordres, augurée, le bras armé du régime fantoche, est réquisitionnée, en toute circonstance, demeure plus que jamais le jouet, aux gémonies et aux attaches du chef l’exécutif délinquant, tortionnaire, capitulard, racial, se charge lamentablement des basses œuvres dans lesquelles elle est confinées, pour exister, afin d’extirper par la ruse, tous les éléments les plus indociles de l’opposition , dont elle colle automatiquement des chefs emphatiques d’accusation bidon- sur commande « ndiguël » d’en haut- et sous la bandoulière d’enrichissement illicite, d’escroqueries en bande organisée, détournements des fonds publics, et le tout avec des circonstances aggravées, de sorte qu’ils soient charcutés, réduits au silence, humiliés, livrés à la vindicte populaire, pour être trainés dans la boue comme de vulgaires malfrats, ne valent plus rien aux yeux de l’opinion publique, qui est elle-même totalement grugée et enfarinée sur toute la ligne.
L’objectif, visé du régime colonial, consiste à peindre faussement sa justice, instrumentalisée, un caractère adoré, immuable, pédagogiquement salutaire, n’est nullement politique, mais exclusivement judiciaire, alors qu’il n’en est rien. Alors, au contrairement aux idées reçues, les éternels procès politiques, cataclysmiques en abondance à géométrie variable, portent non seulement une atteinte aux libertés fondamentales des consciences, mais n’obéissent qu’au calendrier caché d’un charlatan, autoritaire, et dont l’immoralité et par sa platitude manifeste, n’échappent plus à personne.
Après le boulot de piètre qualité, la justice hérétique aux ordres, arrimée, soumise, instrumentalisée, a montré son véritable visage hideux, balise rigoureusement le terrain, a donc choisi son camp, reste plus que jamais au garde-à- vous, n’a d’existence que pour rouler pour le nègre de service, boucanier, est toujours prompte à s’exécuter à la moindre incartade, n’obéit qu’au doigt et à l’œil du négationniste ethnique, le valet de la françafrique, et pour lequel elle a porté allégeance sans condition, dans les faits bien têtus, en échange bien tendu de l’immoralité des services rendus, réciproques; le despote, en retour de l’ascenseur, les gratifie avec des galons et de promotion sociale, avec en prime, et par-dessus tout par des cascades d’émoluments indus, tombent mensuellement.
Or, dans le cas d’espèce de la traque des biens mal acquis, le principal accusateur, Macky Sall, le corrupteur-voleur Himself, le Gouverneur de la France, qui inverse les rôles, s’accommode lui-même de sa culpabilité avérée, s’est enrichi illicitement , pour avoir amassé un magot colossal par les mêmes raccourcis politiques- comme en témoigne éloquemment son patrimoine immobilier, estimé au rabais à 8 MRDS de FCFA, sans compter celui de son épouse, Marième Faye, une femme au foyer, fût-elle première Dame, le guichet automatique tous azimuts, ne disposant d’aucun poste officiel, reconnu par la constitution, cogèrent avec son frère, Daouda Faye, la soi-disant structure bidon, « l’Association Servir le Sénégal », pour Asservir le Sénégal. Un tel Groupement, confus, n’est qu’une grosse arnaque, voire un amas de mensonges, une machine toxique à corruptions massives, un embrouillamini mystificateur, digne d’un clanisme blasphématoire, au regard de la morale.
C’est cette femme avec la complicité active de son mari, qui s’adjuge elle-même comme étant la propriétaire de la permanence de l’APR- dite l’alchimie pestilentielle, démentielle de la régression, et ceci, sous le nez et à la barbe du Conseil Anticonstitutionnel et de la justice, passive, se réduisent tous ridiculement en capharnaüm, unifié, se transforme en auxiliaires de service alignés, pour n’être que des supplétifs de la république ethnique, familiale.
2° Le Gourou du népotisme corrompt librement à tout vent certains notables présumés et sa presse médiocre de référence pour les coopter et les mettre dans sa besace. Car ces derniers croient avoir une emprise directe sur la majorité des citoyens candidates, pour qu’ils votent mécaniquement contre leurs propres intérêts. C’est la règle édictée
Et pour s’assurer de son score, digne de lui, le négationniste met en avant la menace terroriste- cousue de fil blanc- commande du matériel militaire chez sa clientèle, qu’il engraisse grossièrement à coup de milliards de FCFA.
3° Le capitulard, mercenaire avait déjà commandé à la France pour 30 millions d’euros du matériel militaire, en avait fait avec d’autres pays, comme par hasard en quelques encablures de la présidentielle de 2019, Macky Sall remet tranquillement le couvercle, commande de nouveau des fusils d’assaut aux Etats-Unis, pour l’équipement de ses forces armées, sous le prétexte fallacieux de la lutte contre le terrorisme inexistant au Sénégal : « seytané waxut deug wayé yaxna xel yi » ? Est-ce donc du marketing politique, et auquel cas c’est une insulte à nos consciences libres, construites de marbre.
Ça est, le lamentable, revient avec ses sabots, toujours fidèle à lui-même, pimente la sauce, n’entend nullement s’écarter de sa trajectoire totalitaire.
Rebelote, et rien n’y fait, le revoilà encore, le criminel tribaliste en chair et en os, qui est mentalement aguerri, s’entête, tient vaille que vaille à garder le pouvoir, et peu importe que les moyens, fussent-ils-il, abjects, nous promet des larmes et des rivières de sang, nous enquiquine, nous nargue en permanence, nous regard de haut , veut nous tenir en laisse, au respect, et ce, par la puissance des armes de feu, reste plus que jamais déterminé, sourd, aveugle, et muet, ne s’encombre outre mesure d’aucune moralité peu ou prou, passe tout son temps tient mordicus à l’émergence répressive, pour se protéger des convulsions populaires, légitimes en perspective. Amine !
Aucune armée, si puissante, avec des logistiques militaires, d’où qu’elle puisse venir ne peut venir, à bout contre un peuple, uni et qui fait corps commun, se dresse face à la tyrannie.
La tempête populaire invincible et debout, dans un élan unitaire, balayera définitivement l’homme de la tourmente, même les sirènes apocalyptiques qui répondront mécaniquement n’y feront rien, face à la loi du peuple, déterminé, souverain , libre et indépendant, triomphera à coup sûr, pour en finir avec le diable et ses tentacules
Soyons sérieux ! Ouvrons donc nos yeux sur la com ‘ des charniers de mensonges distillées ici ou là !
Aucun messie, investi d’une mission abracadabrantesque dotée d’une force spéciale, aucun paratonnerre, ni la magie maçonnique, fut-elle venue de la planète mars, ne peut sauver le cancre capitulard, le soldat de la françafrique, le naufragé, condamné à mort politiquement, malgré l’abondance des tonnes de valises pleines à craquer, dans l’hypothèse où il y aura des élections présidentielles transparentes et démocratiques.
Les services de renseignements alertent le « Macky »: le Président Sall serait à 34,6% des intentions de votes : mensonges d’état – un ballon de sonde sur commande-tendant à semer la zizanie, la discorde, pour nous désorienter, et faire croire que bluffeur, faussaire dans l’âme, a bien des nerfs solides.
De telles arguties de piètre qualité bidon ne valent rien, ne tiennent pas la route, n’ont pas son pesant d’or. Aucune parcelle de crédibilité tant soi peu ne peut étayer un tel scandale.
L’objectif est de comparer avec le score de wade, qui Avait obtenu 35 % du premier tour en mars 2012. Or, le faussaire, n’est qu’un accident. Le score farfelu, apparent à 34, 6 % contraste parfaitement en toute logique avec le bilan calamiteux du médiocre référent nègre de service.
L’homme bat le triste record de l’impopularité par sa gouvernance ethnique sans éthique ni équité. Aucune once de moralité ne peut le couvrir. Qui peut croire à de tells inepties si ridicules ? Les services de renseignement ne peuvent dire autre chose que rester ferrés sous la botte du tyran pathologique dont les casseroles si bruyantes que les coups de tonnerre.
En d’autre terme, c’est un mensonge de vouloir lui accorder des circonstances atténuantes qui n’ont pas leur raison d’être ? Que voulez-vous ? C’est quand même fort de café. Les services de renseignements ne cherchent ni la vérité, mais participent à la désinformation et la manipulation.
Le baromètre des services de renseignements constitue des galéjades : un sondage sur commande destiné à préparer les esprits, tendant à légaliser et à justifier un hold-up en 2019.
Nous ne sommes pas des demeurés, ni des veaux. Décidément, on a tout vu et tout entendu sous le vacarme d’un ramassis.
Les soi-disant services de renseignement sont techniquement incapables de procéder à des sondages fiables, justes, dignes de foi, quand bien c’est une photographie du moment .
Ils ne sont pas formés en la matière, puisqu’ils n’ont guère ni l’aptitude professionnelle, ni l’approche, ni la vocation, encore moins l’expertise.
D’une part, les prétendues prédictions sont dignes d’un masque de théâtre, qui digne en long sur une incongruité décapante, frisant la démence et dépasse même l’esprit rationnel ?
D’autre part, sondage ou pas, techniquement, qualitativement arithmétiquement, politiquement en terme d’adhésion spontanée et de programmes cohérents, attractifs par rapport au rapport des forces en présence, et compte tenu de son bilan chaotique, négatif auprès de l’opinion publique sénégalaise largement édifiée sur la nature du régime le plus scandaleux, Macky sall n’a aucune chance d’être présent au second tour. Nonobstant la corruption en abondance, son cheval de Troie, envers les consciences abîmées, ne peuvent sauver le chef intégriste, terroriste et son parti politique cliniquement clanique, toutefois que les scrutins se dérouleront dans les règles de l’art. Où a-t-on vu dans le monde des services de renseignements s’adonner à de telles recherches ? Ils n’ont ni la technique, ni la qualité requise. À ma connaissance, en France, pour les intentions de vote, je n’ai jamais vu les services français s’arroger à de tels exercices de cette nature. C’est plutôt aux instituts de sondages professionnels à qui incombe la tâche.
Le Sénégal n’a-t-il pas d’autres priorités que de nourrir des marchands de canon et des lobbys d’armement ? Les acquisitions militaires relèvent incontestablement d’un appel du pied à ses souteneurs. Les états qui fournissent des armes à leurs dictateurs ne critiquent jamais ouvertement leurs valets, au contraire, ils les gratifient, les bénissent, et s’abstiennent de tout commentaires à leur égard, sauf ceux qui leur tiennent tète. Où a-t-on vu la paix dans le monde, où les armes dictent leur loi ? À qui profilent les crimes organisés des commandes matérielles de la répression touts azimuts ?
De tels achats si massifs, par leur démesure, sont inadmissibles, délictueux, inappropriés, inopportuns que rien ne peut justifier, compte tenu de la misère sociale en crescendo Ou alors s’agit d’une menace réelle en cas d’hold-up électoral en 2019 qui ne dit pas son nom ? C’est du pareil au même, car tout y est. La violence de l’état ne peut être en aucun cas légale, ni légitimée, de quelle nature que ce soit. Mais chez nous, le dictateur en place, croit qu’il envoyer ses Tontons macoutes toute manifestation, sous n’importe motif farfelu.
Depuis le triste regrettable soir historique du 25 mars 2012, hélas, le changeant, qui nous toujours habitués aux sempiternels faux bonds en continu, nous a tous trahis de fond en comble, oublie ses promesses électorales, qu’il met sciemment aux vestiaires, a visiblement d’autres préoccupations, que de prendre en compte aux attentes pressantes de la majorité des couches sociales les plus fragiles, qu’il laisse sur le quai, qui tirent le diable par la queue, et qui se nourrissent fraîche. De la parodie référendaire –Deum en mars 2016-en passant par les législatives cataclysmiques, jusqu’ à la dernière réforme arbitraire du code électoral, au point que tout ce foutoir qui nous laisse tous pantois, nous donne la chair de poule, passe comme une lettre à la poste, est dignes d’un film de la science fiction. Qu’importe, le personnage anomal, qui a écrit à maintes reprises le scénario apocalyptique, pense gagner à tous les coups et par dessus tout, franchit allégrement tous les obstacles, réussit tout avec une prouesse déconcertante, inégalée, si nous resterons dans notre somnolence congénitale.
Pendant ce temps, le messie des leurres et des mystifications collectionne sans répit des compilations hystériques, privatise à sa guise la république, qu’il transforme à petit feu en démocratie familiale, ethnique, pour sa propre gloire, comme si l’ état sénégalais, providentiel, se résume exclusivement à l’aune des mêmes patronymes bien sonnants. Lesquels apparaissent comme les seuls compétents, prolifèrent dans toutes les structures de l’état, vassalisé jusqu’à la lie. Aucun organe de contrôle institutionnel, présumé, n’échappe pas à la règle de la république privatisée, qui se réduit aux placements de la même famille biologique, des amis, des proches et parents d’alliance.
De la crei, ou la loge ethnocentrique de la même moule, en passant par « la Cour Supréamaciste Nédo ko bandoum », entre autres, l’Inspection Général d’état, le fils de jean Collin, est embarqué lui aussi dans la galaxie– raciale, Encapuchonnée, estampillée l’état –APR, jusqu’à la Cour des Comptes, Inspection Générale des Finances, pour se terminer à la Cour de Cassation, se cache nécessairement la dynastie hégémonique. Le juge Samba Sall, aligné, ne me démentira jamais. Et pour cause. La police, la gendarmerie, les consuls Généraux, ambassadeurs, toute l’administration, les hauts gradés, dirigent tout, comme si nous sommes à Matam. Les mêmes pullulent partout, confisquent tous les leviers financiers et administratifs. Tout passe au peigne fin. Les services du service public sont entre les mains des mêmes, s’accaparent de tout avec une désinvolture, doublée d’une arrogance et d’un cynisme mortifère.
Il n’est donc pas étonnant qu’ils soient si bruyants, et fassent des pieds et des mains, en se liguant les uns aux autres, pour croire réélire leur chef, terroriste d’une baguette magique. Le comble du comble, c’est que tous prennent en otage tous les médias du service et privé, crient aux scandales, utilisent sans gène les mêmes éléments de langage à dormir debout : « nous sommes des sénégalais à part entière.
Les salaires faramineux, disproportionnés par rapport à leur rentabilité, sont exclusivement rackettés dans les poches, présumées extensibles du contribuable sénégalais, présagées comme l’unique matelas financier, largement siphonné, et dont le moins que l’on puisse dire, est astiqué, criblé d’impôts étranges et de taxes de sortes, sans scrupules, ni éthique, ni équité ? Les plus gros salaires tombent mensuellement pour les mêmes fripouilles, pouilleuses.
Alors, l’inimitable dictateur, requinqué par l’euphorie du pouvoir, qui rend fou pour celui qui n’est jamais à la hauteur, le flibustier, énergumène, passe à la vitesse supérieure. Et Place maintenant au plan diabolique et à l’achat des consciences [Guer] et aux commandes du matériel de guerre touts azimuts : des armes non conventionnelles proscrites pour un hold-up électoral, programmé en 2019 !
En vérité, la révision simultanée presto illico des accords de défense bidon en avril 2012 et l’accord de la présence permanente militaire américaine commencent à livrer leurs secrets. Il n’y aucune ambigüité là-dessus.
Malgré le mal endémique du chômage qui continue en pis, s’aggrave davantage et accable les ménages, qui trinquent, trépassent, n’en peuvent plus de la misère sociale chronique, au point que les jeunes prennent le large, bravent dangereusement les terres, les mers et les océans, au péril de leurs vies, et face à l’Europe qui ferment ses frontières et qui se barricadent. Mais le support ethnique « Nédo ko bandoum », trace sa route.
Le Négationniste n’a rien d’autre à faire que d’acheter à longueur de journées des armes sur le dos des victimes sénégalaises , qui payent lourdement la note, pendant que l’hôpital le Dantec de l’indigénat, manque de tout, dont la radiographie obsolète, est hors service, mais que nenni, l’imposteur- corrupteur, voleur, s’en fout de tout , n’en a cure de la santé des citoyens qui l’on élu, préfère corrompre à la pelle tout azimuts, voyage et dépense sans compter à l’échelle planétaire internationale du matériel de guerre, sous le fallacieux prétexte de l’équation présumée terroriste.
Chassez le naturel, il revient toujours au galop ! Le berger colonial, qui est entre le fer et l’enclume, continue de jouer obligatoirement sur le piano-américano–français, à dessein de se sortir d’affaire, quand demain fera jour. C’est un véritable conte de fée qui se passe devant nos yeux.
L’éternel Braqueur-Casseur du Siècle au Sénégal, qui est plus connu sous le nom de Briseur des consciences, remet de plus en plus le couvercle contre nous tous, fait feu de tout bois. Lequel naturellement, est en court d’argument politique, par son incapacité congénitale, ne compte pas s’arrêter là, au contraire, rempile, car après avoir commandé du matériel militaire français, le capitulard nègre de services, se croit tout permis, tout impérial, s’arroge invincible et surhumain, s’accommode lâchement de sa posture de caniveau, joue sur deux tableaux à la renverse et ceci dans le but de satisfaire à la demande de sa clientèle suprémaciste blanche, chez qui il achète de façon récurrente, des armes de répression , pour espérer trouver une échappatoire sur la thématique terroriste invisible dans le ciel clair sénégalais, qui est dégagé de toute terreur.
Pour toutes ces raisons que je viens d’évoquer, voter Macky Sall en février 2019, c’est voter« nédo ko bandoum» pour l’impunité ethnique, constitue un suicide collectif, impardonnable ! À bon entendeur, salut !