Pétrole et Gaz au Sénégal/ Aliou Sall – Macky Sall/Deux Caïds Multirécidivistes Dangereux : Chronique d’une Entreprise Familiale de malfaiteurs en bande organisée. Par Ahmadou Diop.
Dans le cas précis qui continue de défrayer hystériquement la chronique, Aliou Sall, le combinard, corrupteur, n’est pas au dessus des lois, doit impérativement bénéficier d’un mandat de dépôt et d’une présomption de culpabilité avec des circonstances aggravées.
Compte tenu de la sortie du ministron de la justice des leurres, nous sommes très sceptiques sur l’issue de l’enquête présumée, n’augure rien de bon. Et pour cause. Au lieu d’être le jouet et les oreilles et les yeux du fraudeur flibustier nègre de service en place, la vraie justice de l’ivraie, régalienne, impartiale, libre et indépendante, a l’obligation de rendre la justice au nom du peuple par le peuple et par le peuple. Pour ce faire, dans un premier temps, elle doit apposer à Aliou Sall, l’accusé, désigné, un mandat de dépôt. lequel bénéficiera de facto une présomption de culpabilité avec des circonstances aggravées.
Pétrole et gaz au Sénégal/ Aliou Sall – Macky Sall/Deux Caïds Multirécidivistes Dangereux : Chronique d’une Entreprise Familiale de malfaiteurs en bande organisée, incarnent le mal absolu dans le ciel obscur du pays de la Téranga. Qu’ils se le tiennent pour dit ! Et qu’ils le veuillent ou non !
Puisqu’il s’agit bien de cela. Il n’y a ni plus ni moins. Le cas d’espèce révèle un banditisme financier de grande envergure, à laquelle s’y greffent une escroquerie gigantesque, avec prise illégale de marché, favoritisme, conflits d’intérêts, complicité directe, corruption active, trahisons, recels, blanchiment d’argent sale, dissimulation de fonds et détournements de biens sociaux de la part d’une entreprise familiale de malfaiteurs en bande organisée, à grande échelle internationale
La frontière est poreuse entre l’accusé, le prête-nom et son envoyeur obligatoire. C’est bonnet blanc, blanc bonnet.
Sur la pression des tirs groupés chevaleresques par presse interposée et par saccades d’Ousmane Sonko et Cie, le ministron de la justice agit sur commande du maître du palais alpulaar, saisit le procureur général près la cour d’appel soi-disant pour faire la lumière sur les contrats pétroliers. C’est de la poudre aux yeux digne d’une manœuvre dilatoire, diligentée au plus haut niveau pour faire beau.
Cela contraste avec le cas de Karim Wade et Khalifa Sall, traités comme des malfrats, ont été tous les deux cueillis et conduits manu militari à Rebeuss, le Guantanamo du Caniche de l’Occident. Car la justice n’a pas attendu la fin d’une quelconque enquête en bonne et due forme, ce qui résulte incontestablement d’un traitement de faveur pour le pedigree escroc, catapulté à la caisse de dépôt et consignation à des fins obscures.
D’où la justice à double standard et à géométrie variable qui sévit plus que jamais et en continu « am ndeye ak coumba amoul ndeye » : deux poids et deux mesures.
Nous ne sommes pas dupes, ni amnésiques. L’annonce en grande pompe en dit long sur un écran de fumée programmé, se tiendra à huis clos, n’aboutira à rien, n’a d’autre objectif que d’étouffer l’affaire, et qui touche directement celui qui se donne une respectabilité d’apparence, et qui se barricade derrière les grilles d’un palais « nédo ko bandoum », n’a jamais eu ni de près, ni de loin une once de moralité peu ou prou, ni ne dispose d’aucune odeur de sainteté palpable, encore moins la qualité requise d’un président réel, normal. C’est un chef de clan, un bandit notoire de grand chemin. Circulez, il n’y a rien à voir !
Certes, faire la lumière sur les dits contrats pétroliers, est une chose, mais quand lorsqu’il s’agit d’épingler le coupable-flibustier, pris en flagrant délit avec des chefs d’accusation, afin d’organiser rigoureusement son procès dans les règles de l’art, c’en est une autre, relève à coup sûr d’un courage de haut niveau. Ce n’est pas la même chose, il y a nuance. Nous déchanterons encore pour rester sur notre faim.
La justice ira-t-elle jusqu’au bout concernant l’affaire Aliou Sall – Macky Sall ? Pas si sûr. Puisqu’elle a les pieds et poings liés. Faire le procès du mongolien, c’est aussi faire celui de son coaccusé, c’est-à-dire Macky Sall, le personnage à la surcharge pondérale, himself, est par définition, le premier coupable désigné, le commanditaire principal de la corruption massive à dormir debout. L’un ne va pas sans l’autre. Ils ont des addictions irréversibles aux mécanismes douteux, se complètent entre eux par leurs manières aléatoires auxquelles ils ne peuvent s’en dépêtrer. Le procès Aliou Sall n’aura pas donc lieu tant que l’acrobate sera au plus haut sommet de l’état. C’est une évidence mortifère chez les nègres de service.
L’accusé, le corrupteur, le multirécidiviste, n’est pas à son coup d’essai, loin s’en faut, devrait être arrêté immédiatement, afin qu’il soit le voisin de l’ex- Calife de la Capitale sénégalaise et sous bonne garde, pour éviter toute relation peu ou prou avec son frangin.
Macky Sall et Aliou Sall, c’est du pareil au même, sauf que le second vit aux dépens de l’autre. Plus d’une fois, la montagne accouchera d’une souris. Derrière le chapardeur, dit le pdg de ramassis, le pion mercenaire n’est jamais loin. Qui voudrait-on tromper encore ?
Alors que sous d’autre cieux, malgré l’arrêt l’abondance de la Cédéao, qui a fait couler d’encre et n’a jamais cessé de défrayer la chronique, Karim Wade et Khalifa ont laissé des plumes pour avoir bénéficié d’une présomption de culpabilité, à contrario, le flexible de la caisse de dépôt et des consignations et ses nombreuses casseroles empilées les unes après les autres, qui monopolise tous les médias de la servilité en place, circule librement avec une désinvolture décapante, fait exception à la règle édictée d’un Èco Système d’Apartheid, à géométrie variable. C’est ça le changement, selon l’entendement du chantre de la rupture des mots épargne par devers sa famille et son clan: « le Sénégal est une démocratie absolue ». Mon œil !
Si nous étions dans un véritable état de droit avec une justice libre et indépendante qui tourne à plein régime, Aliou Sall bénéficierait immédiatement et immanquablement d’un mandat de dépôt et d’une présomption de culpabilité avec des circonstances aggravées, à défaut, tout le reste n’est que mystification et obstruction à la justice. Ce qui est le cas.
Si Macky Sall était vraiment sincère, il n’aurait pas pu mêler toute sa famille dans la gestion de l’état. Mais lorsqu’il s’agit de la démocratie idiocratique consanguine en bande organisée, est placée au cœur de l’état -dont Aliou Sall-, le coupable désigné, comptable dans l’histoire. Lequel de son ignorance sur un état régalien, s’est métamorphosé en caméléon juge et partie, change radicalement sa tonalité, les blanchit tous et à bras raccourcis, savait parfaitement qu’il serait démasqué tôt ou tard, mais préparait longuement et silencieusement dans le secret des dieux sa rhétorique de caniveau habituelle, bancale qu’on lui connaît, qui consiste à dénoncer une « déstabilisation » après les accusations contre son frère. Dans ces conditions, peut-on parler alors « de tentative de déstabiliser le pays » ? Ne vous y trompez pas ! Tous les despotes irrécupérables par leur bassesse, réduisent tout à eux, utilisent et répètent lâchement sans scrupules, les mêmes éléments de langage. C’est bien connu.
Main basse sur le Pétrole et gaz du Sénégal par Macky Sall- Aliou Sall / ou le casse du siècle : la justice politique de carpe aux ordres, face aux scandales des frères SallGate en bande organisée, joue nécessairement les abonnés absents, ne travaille que sur ndiguël d’en haut. « kulay abal vay bët moolay wax fingay xol ».
Le paresseux du haut de son rang, se donne des libertés et des largesses infinies, s’est fait virer la somme de 250 000 dollars dans son compte bancaire, sous l’aval du maître des transvasements, de la transhumance, du cannibalisme politique et de l’anarchie généralisée à grande échelle. Et ce n’est que la face émergée de l’iceberg. Les manquements en abondance, les dysfonctionnements et les scandales massifs qui se multiplient à la pelle, se corsent à un rythme effréné sont si graves qu’on ne saurait les énumérer tous. La présidentielle de pacotille en 2019 nous donne la chair de poule, reste comme du plomb dans nos gorges. Comment accepter l’idée qu’un président de la république, candidat à sa propre succession, puisse désigner son juge, Demba Kanji pour rendre les résultats des scrutins ?
En France et ailleurs dans les démocraties de telles dérives sont impensables, cataclysmiques. Et ce n’est pas tout, puisque le minable pickpocket prédateur, propriétaire de la société Sahel Avion, domiciliée chez l’Oncle SAM, est dans toutes les sauces, partage le même taux d’adn que son frangin, qui l’a gratifié et planifié son envol démesuré, contraste parfaitement avec son cv bidonné et ses expériences imaginaires. Qui peut vraiment égrener les scandales surréalistes, sans tomber des nues ?
Si malheur Abdoulaye Wade et son fils Karim Wade, durant leur règne avaient commis un massacre d’une telle ampleur grotesque, qu’aurait-on dit entendu ?
Ce chiffre est d’ailleurs une broutille par rapport au magot si colossal qu’il a volé. Karim Wade a été écroué pour s’être enrichi illicitement, alors que le chiffre de 138 mrds de F FCA est un mensonge grossier. De façon cynique, le rapport du magistrat français qui avait un bureau au sein la CREI, n’a pas été versé dans le dossier du présumé coupable avant l’heure. Même chose pour Khalifa Sall, le député –maire de Dakar a perdu ses mandats et subi le même sort que le fils de Wade, croupit aujourd’hui dans les geôles du tyran et à l’indifférence quasi générale, et ce sous le prétexte bidon qu’il a détourné la bagatelle de plus d’un mrds de F FCA dans la caisse d’avance.
Cela nous renseigne sur autre gros mensonge cousu de fil de fil, dont les motifs sont bassement politiques. Le nullard et sa cohorte de fripouilles freinent les mécanismes fonctionnels du développement au Sénégal. C’est le cas de le dire tout haut et sans langue de bois. Que voulez-vous ? En Afrique soumise et sous tutelle coloniale, baptisée honteusement francophone des guignols, les traitres servent de référence, font l’histoire à la place des bons. C’est la règle. L’aventurier aux multiples casquettes des leurres, n’est pas au dessus des lois, n’a aucune immunité le protégeant, bénéficie impunément des privilèges d’exception imaginaires et dans le secret des dieux. Malgré ses litanies démentes, Macky Sall himself , est le coupable numéro un, dont la complicité avérée n’échappe plus à personne, ne peut pas , en aucun cas, se dédouaner, et ignorer le banditisme et les combines de son alter ego, à qui il ressemble comme une goutte d’eau.
Lequel agit sous sa bénédiction, est en intelligence avec Frank Timis, l’autre aventurier, dont lemoins que l’on puisse dire, n’a les compétences, ni les moyens financiers requis pour avoir une licence sur l’exploitation du pétrole et gaz. Ce dernier, on le sait, a comme patron Ovidiu Tender, l’homme d’Affaires auquel le Sénégal a cédé les deux puits de pétrole Saloum Onshore et Sud Sénégal Offshore, condamné à 12 ans et 7 mois de prison en Roumanie pour fraude, corruption et blanchiment d’argent. À l’exception des véritables compagnies pétrolières qui ont pignon sur rue, Tout ce beau monde qui gravite autour du pétrole et gaz n’est qu’une bande de malfaiteurs, prédateurs au sommet duquel se trouve le parrain de la république familiale ethnique.
Si on ‘y prend pas garde, le scandale aliou Sall- Macky sall sera oubliée comme tout le reste.
Main basse sur le Pétrole et gaz du Sénégal par Macky Sall- Aliou Sall / le casse organisé du siècle : la justice politique de carpe aux ordres, face aux scandales ubuesques des frères SallGate, silence radio.
la justice politique de la Stasi, fait preuve d’activisme et d’excès de zèle, s’autosaisit promptement sur les cas des opposants présumés coupables, les met immédiatement en charpie et en mandat de dépôt, en les jetant en pâture sans discernement, et sans état d’âme, et ceci avec la musique audible, instantanée d’une certaine servilité en place, laquelle très prolixe, est totalement corrompue, nauséabonde abondante, en revanche, lorsqu’il s’agit de l’entreprise terroriste familiale de malfaiteurs, bizarrement, elle reste dans la passivité et nettement au garde-à-vous de façon étrange.
Pour cela, elle fait profil bas, en jouant les abonnés absents, laisse le terrain à l’escroc, veut frapper fort et pour phagocyter les esprits faibles, se dédouane de tout, croit cristalliser les idées autour de sa personne, sévit et se distingue lamentablement par ses simagrées et ses ratonnades, allume plus d’une fois des contrefeux, fait solo et son numéro sur la scène nationale et internationale, pour se sortir d’affaire par la petite porte, tendant à arrondir les angles et cintrer les coins, se dispute indignement l’ignominie avec son frangin, prête-nom. Il faut le voir pour le croire. Ca, c’est la praxis d’un voleur inguérissable, méprisable jusqu’à la lie. C’est en Afrique des Guignols chapardeurs dans l’âme, où de telles pratiques invraisemblables et surréalistes sont rituellement possibles. L’inimitable faussaire renégat forcené, né voleur-fraudeur nègre de service de son espèce, jusqu’à l’abysse, est arrivé au pouvoir à cause de l’esclandre de ses milliardaires sortis de terre, qu’il a bien volés dans les méandres des égouts politiques- des postes de nomination tan sa bula nex.
Il n’est pas étonnant qu’il agisse ainsi et en continu de la sorte, à moins que la force arrête la force.
Ousmane Sonko, l’intrépide soldat debout, et fier de l’être, n’y va sur le dos de la cuillère, et dont les propos percutants, lapidaires, sont sans appel, riment parfaitement avec ses facultés mentales bien fournies, donnent du fil à retordre à Macky Sall. Le leader Pastef, bien connu, sous la bonne graine de l’ivraie, à l’endroit contre l’envers du décor, attaque frontalement et sans quartier, et preuves à l’appui, renvoie dans la corde le temple du favoritisme désuet.
Cerné de toutes parts, le singulier mercenaire, négationniste, le coupable désigné de son espèce par son arrogance, sa suffisance et son incapacité manifeste, face à l’implication directe de son frangin, aliou sall, qui est accusé de corruption active sur le pétrole et gaz au Sénégal. « Ndéyi mbiligui- Ndéyi sac ci par qui les scandales arrivent toujours, passe à côté de la plaque, réquisitionne tous les plateaux de télévision soumis, et en défendant aveuglément l’opportuniste, l’indéfendable pickpocket, par un montage éhonté de mensonges cousus de fil blanc, frisant la démence.
Il n’y a pas ni d’état régalien, ni de droit, ni de procureur, ni de justice équitable au Sénégal, ce n’est qu’elle se réduit promptement et mécaniquement dans son rôle de supplétif, en tant qu’auxiliaires de service obéit machinalement aux ordres d’un justicier –malfaiteur lamentablement négationniste, défroqué, perd ses pédales et ses repères, qui est pris plus d’une fois et constamment pris la main dans le sac, et dénonce une déstabilisation après les accusations contre son frère.
Voilà les incohérences absurdes des légèretés suintantes cyniques et ses dénégations insoutenables auxquelles s’appuie tout despote en court d’arguments, s’érige automatiquement en victimaire des leurres. Lequel par son impunité ne travaille que pour son compte personnel et celui de sa famille immédiate biologique, présumée intouchable, gouverne contre la volonté du peuple, continue de le braver par devers à tout vent, et contre lequel il n’a que du mépris abyssal , par sa haine viscérale, foule du pied et viole systématiquement les règles les plus élémentaires du droit inaliénable du peuple, n’en a de ce dernier, est pire que tout, agit librement et vertement à la place publique selon son humeur scandaleux à double standard et à géométrie variable.
Le monstre vindicatif, autoproclamé président de la république, se nourrit de ses contrevérités indécrottables, fumantes, s’autoflagelle sans vergogne, ridiculement, et, comme à l’accoutumée, tient à laver à grande eau ses échappées torrides affreusement, le coupable désigné gratifie son frère, son prêt sur la scène nationale et internationale e-nom ne va jamais l’accabler, alors que le même voyou disait à qui voulait l’entendre, er par presse nationale et internationale interposée ne mêlerait jamais sa famille dans la gestion de l’état.
Où a-t-on vu un tyran kleptocrate reconnaître ses infinies forfaitures et ses nominations à connotations ethniques, si ce n’est que ses propres charniers de mensonges cataclysmiques et sa Com’ de caniveau l’emportent sur la vérité éternelle des preuves têtues contre lui et son receleur immédiat ?
Au contraire il les bénit. au lieu de faire profil bas, L’autocrate, dévergondé, chantre du népotisme n’a aucune vertu, ni scrupules balaie d’un revers de main et à bras raccourcis ne valent rien les accusations contre son pitoyable frangin nous nargue par sa platitude, d – -ce qui est une défend Quand il s’agit de l’éclaboussement de son propre biologique, Aliou Sall, si plastique par ses scandales, est présumé innocent.
Selon la vision étriquée du traire incorrigible en os et en chair, seuls sont coupables les autres sénégalais parce que présumés des citoyens de second rang,