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Sukeuru kor- Guer d’un parti Etat- APR ! Par Ahmadou Diop

macky faye sall gassama timboEn ce mois de ramadan bien béni, tout bon musulman qui se réclame comme tel, doit faire preuve de piété et de droiture.

Dans ces conditions, nous avons la responsabilité morale de dénoncer haut et fort la trajectoire totalitaire de ce foutoir de gouvernement qui ne dispose guère d’aucune parcelle de moralité, tangible, tente vaille que vaille à tromper durablement les sénégalais, sous le faux habillage musulman, même si certains gardent en bandoulière sur leurs têtes des bonnets présagés.

Pour commencer, Macky, le tonitruant homme politique, menteur le plus effronté de toute la classe politique singulière, sénégalaise, est le premier délinquant de la grande finance internationale de la république des caïds et des voyous.

C’est pour cela qu’il s’applique hystériquement à lui-même l’article 80 bidon de la constitution moribonde, à savoir l’éternel Talon d’Achille contre la démocratie, pour faire taire par l’entregent de ses auxiliaires de service, tous qui ont le courage de lui rappeler ses propres menteries inflationnistes aussi suintantes que le tunnel de la Corniche du temps du wadisme débridé.

En France, des organismes d’état bien organisés s’occupent essentiellement de la distribution des aides attribuées, selon les revenus des citoyens au nom d’une justice sociale, mais ici, le contraire se reproduit toujours, car les acteurs politiques ploutocrates, multimilliardaires des raccourcis politiques, s’en accaparent et en font systématiquement une arme politique, volent et distribuent une infime partie de leurs butins, à dessein de croire pouvoir laver leurs pêchés incommensurables.

Nous le disions tout haut de vives voix audibles, pour que cette vérité éternelle devant l’éternel, soit entendue largement par l’ensemble des sénégalais, très édifiés sur la nature d’un menteur inné, sans qu’il ait besoin d’enlever la moindre virgule. Il [ Macky Sall] a l’obligation de nous dire d’où il a tiré sa fortune si immense et si rapide, ce qu’il n’est pas en mesure de prouver, car il ne suffit pas de déclarer un tel patrimoine si gigantesque de la part d’un fonctionnaire.

Quel que soit l’indice de son salaire, Macky Sall, « Charlie ou l’affairiste Pétain noir, le guide népotique du symbole maléfique et apocalyptique » ne peut justifier sous aucun prix une telle cueillette grotesque; surtout qu’il a fait preuve d’abstraction totale de tout argent liquide qu’il a placé dans de nombreux comptes ouverts à l’étranger, en particulier, dans les paradis fiscaux à l’abri des regards indiscrets.

En vérité, nous avons au cœur de l’Etat-APR vassalisé pour le déshonneur d’un couple en morceaux, un empereur et son impératrice. Entre Macky Sall et Mariéme Faye, on se demande raisonnablement qui fait quoi. Sous l’ère Macky Sall, les mensonges sont labellisés. Au cœur de l’état sénégalais, on a une dualité qui n’a pas sa raison d’être.

Le symbole de Première dame bon teint, rime avec un banditisme qui va toujours en pis. Aliou Sall déclare que son élection comme maire de Guédiawaye, est une victoire de la démocratie. Mon œil !

Comme toujours, qu’il y ait ramadan ou pas, Marième faye, l’inimitable distributeur automatique à tout vent, se sert de son Association bidon, Servir le Sénégal, le symbole maléfique des méthodes aléatoires, pour se servir bassement elle-même et servir et son mari et son clan mafieux, tous présumés philanthropiques.

Mais le comble, du comble, c’est que la première dame, outrepasse allégrement son rôle et s’arroge tous les excès par la complicité tacite de son propre mari, mais que l’on croit vertueuse, pieuse, corrompt tous azimuts de jour comme de nuit. Ce n’est guère étonnant, puisque Macky se servait d’Harouna Dia, présagé philanthropique, argentier de l’apr.

Qui pouvait le croire vraiment sans être ridicule ?

Les mêmes manières très basses continuent leurs litanies pour tromper, cliver et diviser tout le pays. En vérité, les vertus discutables demeurent les choses les plus partagées des juges, aveugles, sourds et muets et aux ordres, mais curieusement, les mêmes sont très zélés, lorsqu’il s’agit d’un camp adverse d’en face ou des citoyens conjecturés coupables, avant l’heure.

Fondation « Servir le Sénégal » ou le misérabilisme d’un gangstérisme d’Etat totalement mystificateur jusqu’à l’os. Marième Faye crée sa fondation « Servir le Sénégal » pour se servir elle-même et servir politiquement son mari, alors qu’aucune disposition de la constitution ne prévoit nullement une telle posture. Exemplarité ou indécence absolue ?

Les pratiques douteuses sont têtues. On utilise les deniers publics à des fins de propagande ou de culte de personnalité.

La fondation bidon « Servir le Sénégal » n’est qu’un gigantesque foutoir d’une grosse arnaque. Incontestablement, la terminologie laisse apparaître une opacité manifeste, qui en dit long sur cet embrouillamini mystificateur, hautement toxique.

Si le mal a triomphé, c’est parce qu’il n’y pas de bons dans ce pays. Le 29 juin 2015 : remise du mandat de Moustapha niasse, président de l’assemblée nationale de 1 à 5 ans. 2014 : Macky SALL, déclare hystérique sur RFI, je le cite : « ce n’est pas moi qui fais la loi ». Un tel régime impudent promet plus qu’il n’en fait en réalité.

Justement, parlons donc de la RFI, son média préférentiel, fétiche par lequel passe nécessairement Macky Sall, « Charlie ou l’affairiste Pétain Noir, le guide népotique du symbole maléfique et apocalyptique », le premier nègre de service de premier plan, version nouvelle génération des suppôts déclarés, très adulés ne jure que par ce support de l’abondance propagandiste de référence. Naturellement, c’est l’un des outils par excellence de la domination étrangère, d’asservissement politique, culturel, omnipotent à l’échelle continentale africaine.

En vérité, la présence permanente des organes de presse et médiatiques, outre atlantique, en particulier du côté de la Seine, agissent ici, sans contrôle, aucun, sur ce continent sous tutelle, constituent immanquablement une menace réelle à la démocratie.

Ces abondances servent de relais aux pantins dictateurs qui ne pensent qu’à s’accrocher au pouvoir pour distiller leurs mensonges viraux.

Ceci n’est ni un épiphénomène, ni un cas anodin. Macky Sall est totalement abonné à cette radio, son talisman. On a bien vu qui s’est passé sur les événements post -électoraux en Côte d’ivoire des choses drôles.

Devant l’hôtel du Golf de « la République du Golf », qui servait de Quartier Général à Alassane Ouattara. Ce qui était cocasse, c’était de voir une mise en scène bien visible, savamment élaborée par une télévision étrangère, diffusant en direct, une femme présumée morte par la soldatesque de Laurent Gbagbo.

Heureusement, un caméraman amateur plus averti, avait pris le soin de filmer la fameuse scène au moment où la prétendue victime se relevait. Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, la fausse information disparaissait dans les radars des écrans de la propagande, comme s’il n’en était rien.

Aujourd’hui, seule notre Radio Sunuker FM, la première radio Africaine en Californie, résiste et reste l’unique média sénégalais, le plus emblématique, totalement libre par rapport à la pensée mécanique, totalitaire, suffocante. Il faut rappeler que Macky Sall, sans le dire ouvertement, tire les ficelles par derrière, à la seule fin que nos discours pertinents ne soient pas relayés en boucle au Sénégal.

Le nullard de classe exceptionnelle, en chair et en os, talibanise sa bande d’ouailles, dont l’antipatriotisme, très prononcé, repoussant jusqu’à la lie, nous donne les preuves matérielles des réfractaires à la démocratie et au contre-pouvoir.

Depuis 2012, en lieu et place d’une rupture, le mal a triomphé à st louis et Guédiawaye par l’abdication totale de la clase politique toute transformée en « doungourous » sémillants, bouffons jusqu’à la lie.

En vérité, le premier fraudeur de l’état sénégalais est le maître dans l’art des mensonges cousus de fil blanc et des slogans hystériques, creux verbeux, stériles, dont sa presse de sarabande, coalisée pour un sou, toujours au garde-à vous, relaye la rhétorique des renoncements et des reniements.

Autrement dit, les paroles dédites sont labellisées sur toute la planète entière sans retenue, ni humilité d’aucune sorte. Monsieur le parangon des leurres n’a jamais posé les jalons d’un pays émergent. Pour ce faire, il faut que ceux qui sont au plus haut de sommet de l’état sénégalais puissent agir en toute liberté sur des bases voulues, en toute indépendance et en toute conscience.

Naturellement, il faut privilégier un partenariat international multilatéral avec tous les pays émergents, touts azimuts, sans limite et à l’échelle planétaire mondiale, avec la priorité de ne prendre en compte que les seuls intérêts légitimes nationaux, incessibles du Sénégal.

L’homme de la rupture est disqualifié politiquement, juridiquement pour n’avoir pas tenu ses promesses électorales qu’il a sciemment laissées aux vestiaires par trahison manifeste, flagraFondation « Servir le Sénégal » ou le misérabilisme d’un gangstérisme d’Etat totalement mystificateur jusqu’à l’os. Marième Faye crée sa fondation « Servir le Sénégal » pour se servir elle-même et servir politiquement son mari, alors qu’aucune disposition de la constitution ne prévoit nullement une telle posture.

Exemplarité ou indécence absolue ?

Les pratiques douteuses sont têtues. On utilise les deniers publics à des fins de propagande ou de culte de personnalité. La fondation bidon « Servir le Sénégal » n’est qu’un gigantesque foutoir d’une grosse arnaque. Incontestablement, la terminologie laisse apparaître une opacité manifeste, qui en dit long sur cet embrouillamini mystificateur, hautement toxique.

Si le mal a triomphé, c’est parce qu’il n’y pas de bons dans ce pays. Le 29 juin 2015 : remise du mandat de Moustapha niasse, président de l’assemblée nationale de 1 à 5 ans. 2014 : Macky SALL, déclare hystérique sur RFI, je le cite : « ce n’est pas moi qui fais la loi ». Un tel régime impudent promet plus qu’il n’en fait en réalité.

Justement, parlons donc de la RFI, son média préférentiel, fétiche par lequel passe nécessairement Macky Sall, « Charlie ou l’affairiste Pétain Noir, le guide népotique du symbole maléfique et apocalyptique », le premier nègre de service de premier plan, version nouvelle génération des suppôts déclarés, très adulés ne jure que par ce support de l’abondance propagandiste de référence.

Naturellement, c’est l’un des outils par excellence de la domination étrangère, d’asservissement politique, culturel, omnipotent à l’échelle continentale africaine. En vérité, la présence permanente des organes de presse et médiatiques, outre atlantique, en particulier du côté de la Seine, agissent ici, sans contrôle, aucun, sur ce continent sous tutelle, constituent immanquablement une menace réelle à la démocratie. Ces abondances servent de relais aux pantins dictateurs qui ne pensent qu’à s’accrocher au pouvoir pour distiller leurs mensonges viraux. Ceci n’est ni un épiphénomène, ni un cas anodin.

Macky Sall est totalement abonné à cette radio, son talisman. On a bien vu qui s’est passé sur les événements post -électoraux en Côte d’ivoire des choses drôles. Devant l’hôtel du Golf de « la République du Golf », qui servait de Quartier Général à Alassane Ouattara. Ce qui était cocasse, c’était de voir une mise en scène bien visible, savamment élaborée par une télévision étrangère, diffusant en direct, une femme présumée morte par la soldatesque de Laurent Gbagbo.

Heureusement, un caméraman amateur plus averti, avait pris le soin de filmer la fameuse scène au moment où la prétendue victime se relevait. Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, la fausse information disparaissait dans les radars des écrans de la propagande, comme s’il n’en était rien.

Aujourd’hui, seule notre Radio Sunuker FM, la première radio Africaine en Californie, résiste et reste l’unique média sénégalais, le plus emblématique, totalement libre par rapport à la pensée mécanique, totalitaire, suffocante.

Il faut rappeler que Macky Sall, sans le dire ouvertement, tire les ficelles par derrière, à la seule fin que nos discours pertinents ne soient pas relayés en boucle au Sénégal.

Le nullard de classe exceptionnelle, en chair et en os, talibanise sa bande d’ouailles, dont l’antipatriotisme, très prononcé, repoussant jusqu’à la lie, nous donne les preuves matérielles des réfractaires à la démocratie et au contre-pouvoir.

Depuis 2012, en lieu et place d’une rupture, le mal a triomphé à st louis et Guédiawaye par l’abdication totale de la clase politique toute transformée en « doungourous » sémillants, bouffons jusqu’à la lie.

En vérité, le premier fraudeur de l’état sénégalais est le maître dans l’art des mensonges cousus de fil blanc et des slogans hystériques, creux verbeux, stériles, dont sa presse de sarabande, coalisée pour un sou, toujours au garde-à vous, relaye la rhétorique des renoncements et des reniements. Autrement dit, les paroles dédites sont labellisées sur toute la planète entière sans retenue, ni humilité d’aucune sorte.

Monsieur le parangon des leurres n’a jamais posé les jalons d’un pays émergent. Pour ce faire, il faut que ceux qui sont au plus haut de sommet de l’état sénégalais puissent agir en toute liberté sur des bases voulues, en toute indépendance et en toute conscience.

Naturellement, il faut privilégier un partenariat international multilatéral avec tous les pays émergents, touts azimuts, sans limite et à l’échelle planétaire mondiale, avec la priorité de ne prendre en compte que les seuls intérêts légitimes nationaux, incessibles du Sénégal.

L’homme de la rupture est disqualifié politiquement, juridiquement pour n’avoir pas tenu ses promesses électorales qu’il a sciemment laissées aux vestiaires par trahison manifeste, flagrante.

Par Ahmadou Diop CPC

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