A LA UNEACTUALITÉSCONTRIBUTIONLE BLOG D'AHMADOU DIOP

Tous debout – siggi taxaw jonë contre la République des incultes et « des proxénètes ! » Par Ahmadou Diop

Macky Sall MechantmackyContrairement aux idées reçues, il n’y a pas que la prostitution habituelle. Il existe aussi son équivalence en politique, on l’oublie souvent.

Autrement dit, s’il y a aussi la prostitution politique sur la chose publique, c’est-à-dire la gestion des affaires de la Cité, il va de soi qu’il existe en toute logique, des proxénètes pour couvrir des coupables désignés, qui peuvent être des femmes ou des hommes. Nous allons en parler, même s’il s’agit, ici, d’un tabou, qu’on appelle la loi du silence, connue sous le nom de l’omerta !

L’objectif majeur consiste à maquiller les faits, visant à faire échapper des enrichissements illicites, aux seules conditions que les coupables présumés, pour être sereins et tranquilles, puissent se transvaser et verser une partie de leurs butins dans la loge du cheval marron, la symbolique apocalyptique, népotique, « takhrip »s, très plus humidifié que tout le reste. En vérité, les voleurs se ressemblent, s’assemblent, et partagent leurs propres ignominies. C’est la règle.

Historiquement et présentement, dans ce pays étrange et à la renverse, la trahison est source d’ascension sociale, résulte incontestablement d’une dégénérescence totale de la classe politique dans sa majorité. Une conséquence des effets du colonialisme dans l’inconscience des esprits formatés jusqu’à la lie. Toute capacité de résistance semble être, désormais, révolue dans ce pays.

Sommes-nous donc des moins que rien, des couards larbinisés, pour laisser le terrain à un conglomérat de rats, dirigé par un faussaire de Grand chemin et ses bouffons d’énergumènes détestables, indécrottables, défroqués, qui nous empoisonnent la vie quotidienne depuis le regrettable soir du 25 mars 2012 ?

Sommes-nous des traitres ou des sujets par consentement réactionnaire, face à la république des proxénètes, nichés derrière les grilles d’un palais ?

Savoir, se taire, ne rien dire, ne rien faire, c’est consentir, se défausser, se dérober, se complaire, lorsque la république est entre les mains sales, fait la pluie et le beau temps par sa tyrannie. Demain, c’est maintenant qu’on le construit. Ne jamais reporter ce qui est possible. Conjurer les diables et les déboulonner du haut de leur piédestal, devient une question de survie, de salubrité publique.

Tenez-vous ! On se croirait à une secte. Ce l’on sait, c’est qu’on n’est pas très loin, tant s’en faut, car la réplique existe bel et bien ici, qui est ce foutoir- fourre-tout où tout est permis, dans lequel les mariages corporatistes étranges, par entente directe, constituent une vocation pandémique repoussante à plus d’un titre !

De la rupture des voyous à  » l’Etat des proxénètes »

Macky, le maquilleur endurci, dit Charlie, le charlatan ou « l’affairiste Pétain Noir », quoiqu’il puisse faire des pieds et des mains, sera à coup sûr disqualifié, politiquement, juridiquement, ne pourra être présent au premier tour, sous aucun prix, à moins qu’il s’inscrive totalement dans la trajectoire des fraudeurs nègres de service estampillés, les dictateurs fascistes africains, tous logés dans le banditisme électoraliste, c’est-à-dire que les scrutins de pacotille ne seront qu’une simple formalité administrative.

L’homme a déjà annoncé les couleurs par sa presse matelassée, pressurisée, propagandiste et corrompue, qu’il n’a pas d’adversaire politique, puisque selon sa vision étrique de la démocratie, il est totalement réfractaire, jusqu’à la lie. Les scrutins ne seront qu’une simple formalité. L’homme est toujours égal à lui-même.

Que nenni, bienvenue donc à la prairie népotique du symbole maléfique, apocalyptique, tant que l’argent volé par des ministres, doit servir à un parti politique, cliniquement clanique. C’est la règle des non dits par l’entente cordiale.

Place maintenant à la prostitution politique, forcée, déguisée. En vérité, « l’ETAT-APR » ou le support de la poisse d’un conglomérat des rats coalisés, maquillés des incohérences convergentes, absolues !

Du jamais vu au Sénégal dans toute l’histoire des partis politiques au pays de la téranga, le ciel ouvert du gangstérisme d’état, dont le renégat, flegmatique, endurci, est le coupable symbole. On a tout vu depuis l’arrivée de Macky, « dit Charlie ou l’affairiste Pétain Noir », un pantin, traitre dans l’âme, passé maître dans l’art d’un foutoir-fourre-tout.

Une première incivilité au Sénégal et peut être même dans le monde. Décidément, après les scandales massifs, infinis et à répétitions, place maintenant à l’incongruité des racolages et des attitudes singulières, cocasses d’une république des mœurs douteuses qui ne s’encombre d’aucune moralité, mais s’accommode d’une particularité politique, indécente, scandaleuse, obscène, voire même incestueuse politiquement, dont une certaine ancienne ministre de wade, en l’occurrence, « Awa ndiaye dite Awa Coudou » épinglée par la traque des biens mal acquis, échappe à la justice, s’est mariée miraculeusement avec Cheikh, Kanté le guichet automatique, un richard baroque . Marchandage politique d’une justice d’apartheid, monnaie d’échange, mariage d’amour ou de raison ?

Apparemment, chez les adeptes de la prétendue rupture, la disjonction est assimilée « à l’inceste politique », se veut synonyme de religion d’état, comme système de gouvernance. Ce n’est pas tout. Awa coudou Ndiaye n’est pas un cas isolé, au contraire, c’est la règle générale de ce parti, qui n’a ni vertu, ni éthique, ni équité d’une machine toxique des manières peu orthodoxes. Une bizarrerie. Chez la famille politique de  » macky, dit Charlie ou l’affairiste Pétain Noir », rien n’est donc impossible.

Qu’il [Macky] rende le tablier au nom du peuple sans conditions par ses charrettes infinies des reniements et renoncements, face à ses promesses électorales qu’il a laissées sciemment aux vestiaires !
Nous exigeons son départ immédiat, sans discussions possibles d’aucune sorte !

Pendant qu’il passe sous silence ses puits de forfaitures dégoulinantes, entre autres, les mensonges grotesques à haut débit, orbi, urbi, le Grand Timonier des désordres habiles, tient à absoudre ses promesses électorales par sa cour de justice d’apartheid, laquelle encordée, tenue en laisse par sa docilité très renversante, exécute bassement le sale boulot, continue de sévir par l’esclandre des sorties au vitriol, au point qu’elle défraie la chronique et troubler l’ordre public, de façon clinquante, flagrante, alors que les scandales du siècle des affaires – Sallgate Arcelor-Mittal –Pétrotim- non élucidées, sont beaucoup plus graves que la traque sélective des biens acquis supposés.

L’état voyou des proxénètes et des fripouilles, en bande organisée, cache et développe ses vacarmes, monstrueux, comme si nous sommes oublieux.

Sous le parrainage d’une justice aux ordres de l’arbitraire, abonnée aux incongruités incommensurables, toujours au gardez-vous, agit ouvertement à double standard pour le compte d’un Etat fasciste, corporatiste lequel a sa tète, un chef des délinquants financiers de classe exceptionnelle, est plus riche que l’ensemble des présidents de la république des pays développés, malgré ses apparences, ferme les yeux, blanchit et recycle habilement une certaine gente aux mœurs légères, notoirement « takrip », épinglée par l’Autorité de Régulation des Marchés..

Par Ahmadou Diop CPC

Articles similaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Bouton retour en haut de la page