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Y aura-t-il encore « du Réchauffé » entre la France et ses Colonies d’Afrique ? Qui vivra, verra ! (Par Ahmadou Diop).

Pour  les  parodies législatives  de juillet 2017 : pour une défaite cuisante  à l’apr  et sa  cohorte d’acariâtres, tous tenus en laisse !

Paradoxalement, là où  les autres pays  réussissent avec brio, nous échouons  lamentablement face à un  lâche de son espèce.

   L’homme, qui est à la tête de  l’état  sénégalais    continue à  diviser  les familles, met les uns contre les autres,  pour régner, selon ses propres intérêts  mal placés.

 Face  à Macky Sall, l’imposteur,  le profanateur menteur-professionnel, dans l’âme,  le tyran, nègre  de service,  endurci,   s’autorise e hystériquement  par ses trahisons, se complaît  dangereusement sur la  thématique  du terrorisme, imaginaire au Sénégal,  de surcroît ; comme si cela ne suffisait pas encore,  l’homme piétine et foule du pied   la démocratie,  les libertés  fondamentales de conscience,  distribue à tout vent  toutes nos ressources  naturelles, notamment le gaz  et le pétrole, qui couleront, demain à flot,  doivent être   obligatoirement  nationalisés,  pour que les dividendes  puisent doper non seulement  notre économie  financière et  monétaire,  si bien  que  les rétributions  qui en découleront,  soient   partagées  de façon  équitable entre les citoyens.

Voilà le travail auquel nous devrons nous atteler, si nous voulons  l’émergence de notre Sénégal,  à l’instar des autres nations libres, indépendantes  et souveraines !

Macky alloue 2 milliards aux 1274 policiers radiés sous Diouf : une attribution  est  synonyme de corruption massive corruption   quelques encablures des cirques électoraux

Voila les conséquences directes du régime présidentiel, totalitaire,   qui n’a jamais reçu l’approbation générale des sénégalais par  voix référendaire, selon la seule  volonté d’un seul homme, en l’occurrence, Senghor !

l’élève de Senghor et d’Abdou Diouf,  emboîte le pas à Senghor, emprisonne à tout vent,  sous n’importe quel prétexte bidon par le truchement de ses auxiliaires de service, , alors qu’il est le plus mouillé

 Dans la logique  des communautaristes  leuco dermiques,  qui nient le décollage économique, politique, monétaire de toute l‘Afrique à l’échelle continentale, l’indépendance  et la souveraineté de la défense  supranationale au niveau  des états suscités, constituent à leurs yeux, un casus belli inacceptable.  En vérité, il  ne s’agit  pas  de racisme,  mais d’antipanafricanisme,  qui rime avec  antikamitisme.

Et l’assassinat des héros, tels que  Omar blondin Diop,  des commissaires  de police,  dont on dit  qu’ils sont   morts  par suicide?

 A-t-on  rétabli la vérité  sur Mamadou Dia, ancien président du conseil pour éclairer les sénégalais sur les véritables raisons  politiques cachées. A quelle fin et pourquoi ?

Au lendemain de l’arrestation de Mamadou dia  le 17 décembre 1963, l’armée a  tiré délibérément  sur   les manifestants sous l’aval de Senghor, qui parlait de légitime défense.

Qu’en fait donc Macky Sall sur ces assassinats  massifs  encore élucidés ?

le Sénégal  qui est aujourd’hui  plus que  jamais  orphelin, a raté l’histoire , en abandonnant  l’honorable  Mamadou dia, Cheikh Anta diop,  le  panafricain,  le scientifique,  égyptologue, l’icône de  la référence  par excellence  du kamit  en chair et en os.

Par ailleurs, l’indépendance réelle commence donc par le contrôle de sa propre monnaie, économique, monétaire et  sa défense nationale. Or, il n’en est rien depuis les tristes  événements  de 62 orchestrés  par Senghor et la sous bienveillance du tout-puissant colonial sur le terrain.

A-t-on  fait le cas  de   Lat  Dior Ngoné  Latir Diop , pour restaurer   son mausolée  qui est   en ruine. Le Grand homme d’Honneur, le résistant hors pair de classe, mort les armes à la main  à Dékheulé,  à 11 heures, sur le champ de l’honneur ?  L’Etat du Sénégal  clientéliste ne respecte que ceux qui  ont apparemment  une force  politique dans ce notre pays.  Alors que celui Maba Diakhou, son ami a é été restauré par  les deniers de l’état.

Cela étant, parlons de l’actualité en France ! Pour Macron, l’avenir de la France et de l’Europe se joue aussi en Afrique

À  chaque magistrature, l’éternel  slogan rituel qui passe, place  à un autre pour marquer les esprits C’est le renouveau en permanence.

 Comme toujours, l’union européenne fait bloc et cause commune  tient à garder sa propre  monnaie  euro, mais  toute l’Afrique francophone,   cartellisée,  n’existe que  pour n’être que la vache à lait du colonialisme, non assumé, n’a  pas eu  sa  souveraine monétaire, ni sa défense nationale  à l’échelle supranationale,  n’est  pas  affranchie politiquement, économiquement, financièrement,   ne peut décoller  d’un iota, dans ces conditions, encore moins d’émerger, à l’instar des autres pays debout

Ça y est !   Nous sommes blindés  et habitués  aux mêmes litanies qui obéissent à des critères de dominations coloniales,  non assumées,  Pour autres  qui sommes  bien éveillés, nous n’attendons aucune surprise, tant s’en faut. Le même  remake s’installe de nouveau pour changer, alors que  rien  ne changera d’une seule virgule, si ce n’est  l’écran de fumée.

La sémantique du nouveau locataire de l’Elysée  est sans  appel, ne souffre d’aucune ambigüité possible. Car  à lire le discours de Macron, l’avenir de l’Afrique   dépend    du  colonialisme de la seule volonté   qui change sa peau garde nature,  dicte son tempo, son cap qu’il modèle à sa propose  guise, en lui donnant un caractère  angélique,  particulier, comme si rien ne sera  comme avant. Mon œil ! Et la bande  des larbins, dont  le chef des esclaves  des élites de pacotille  s’exécutera promptement, machinalement.

 Malgré les belles phrases pompeuses, emphatiques aux effets magiques, en effet, rien ne tient  pour  changer.  Au contraire,  tout continuera dans le pire, tant que nous aurons des pantins arrimés à l’expansionnisme outrageant.

Pour cela,  les experts  alignés  de la Com’ assurent  le service pour faire passer la pilule, de sorte que toute l’Afrique sous tutelle coloniale l’intègre dans son substrat. Et le tour sera joué comme tout le reste, en attendant les gueules de bois  de mauvaise haleine, comme toujours.

Le dernier venu est toujours le meilleur pour l’Afrique,  mais lorsque demain fera jour, le réveil sera brutal.

Que nenni, toute l’Afrique des larbins amadoués envoyée dans la corde, rempilera plus que jamais. Circulez, il n’y  a rien à voir ! Belle pagaille  en perspective !

 Le nouveau  locataire du palais de l’Elysée, le président Emmanuel Macron,  français  effectue depuis hier,  sa première visite officielle   en  l’Allemagne, la super puissance  économique, financière européenne, auprès  de la chancelière  d’Angela Merkerl.

L’accueil  et l’entente  cordiale  sont de mise, comme d’habitude,  même  si  les apparences sont trompeuses.  C’est le jeu du chat et de la souris,  puisque de  l’autre côté du Rhin n’est pas n’importe qui.   Il  faudrait  que tous les deux  fassent de faire preuve de tact, de lucidité, et de diplomatie.  Car il y aura beaucoup de chemins  à parcourir.

Certes,  de part et d’autre les discours  officiels  sont  éminemment courtois, mais   le plus dur reste à venir.   Attendons de voir demain !  Wait and see !

La chancelière allemande  se laissera-t-elle  faire et  pour qu’on  lui dicte  ce qu’elle doit faire ?

Dimanche dernier,   les caméras du monde entier immortalisent l’événement, donnent  de la couleur à  la primauté de l’investiture  du premier magistrat de la république française. après la remise  solennelle des clés  au nouveau élu, Les commentateurs qui sont totalement en émoi ,  ne manquent d’éloges   et de piment au  nouveau venu,  qui est aux anges,  prend la  mesure de la gravité exceptionnelle, l’enjolivent  tendrement, le ménagent  en termes ambigus.

L’arc de triomphe  marque le symbole  de la résistance, ou   l’image d’Epinal,  incarnée  par  le nouveau  président Emmanuel Macron, représente  l’icône de la république en marche,  le visage grave, pendant que la marseillaise  s’entonne,  l’homme se recueille devant la tombe du soldat inconnu.

Sous la pluie battante, Macron, le symbole de la république en marche,  salue un par un les notables, notamment les anciens de la guerre d’Algérie.  Et pour cause. Tout un emblème  pour un inconnu, qui arrive avec fracas aux plus hautes fonctions de l’état par son verbe percutant.

Comme l’exige la tradition,  les messages de félicitations  qui  pleuvent de partout, atterrissent  dans le bureau du nouveau  élu français, Emmanuel Macron, dont ceux de Macky Sall, le suppôt, déclaré en chair et en os.

À son tour, le maître de l’Elysée passe un coup  de fil à son homologue sénégalais.  Dés lors,  dans les prochains jours,  on peut  raisonnablement penser  que  les crépitements incessants des appels souterrains téléphoniques  des chargés de communication de part et d’autre,  s’activent sûrement  pour caler  la première  officielle  d’état du président Emmanuel Macron à Dakar.

Sauf un miracle,  pour autant, pourrait-on s’attendre  à la fin de la françafrique, qu’est cet éternel  logiciel ubiquitaire  qui  n’a que trop  duré, imprime sa marque depuis la nuit des temps   ?

Mais l’éternelle vache à lait  qu’est  l’Afrique des valets,  qui reste   le terrain de prédilection des Cows boys, sera  déplumée,  n’aura que des larmes et du sang, comme c’est toujours le cas des pantins de services, sont tous   accroupis, tondus et alignés  par le triomphalisme du gendarme colonial.

François Hollande à Dakar : officines obscures, Françafrique, trouvent portes closes !

 nonobstant les discours embellis,  Macky Sall a signé quand même les accords de défense, sous signe les sen lieu et place du changement ou de la rupture, sous la Hollandie, la continuation est plus jamais que en action  par les preuves matérielles  au Sénégal par le renforcement des entreprises françaises  qui raflent  mordicus toutes les parts de marché sans appels d’offres, notamment l’interventionnisme, sévit plus bel que jamais,  sous le prétexte  en bandoulière de la lutte contre le terrorisme qui est totalement dégagé au pays de la Téranga,  tout azimut  en Afrique  des nègres de service.

 5 ans après les injuries  auparavant,  Nicolas sarkozy,  sous le vocable de la rupture, son devancier  écrabouille  les sénégalais dans les lieux du crime :«  l’Afrique n’est pas assez entrée dans l’histoire »

 Autrement dit, le crocodile ne peut se transformer en tronc d’arbre.  Car comme le disait le cardinal de richelieu, les états n’ont pas d’amis, mais des intérêts. Et  le discours habile, alambiqué, crypté d’Emmanuel Macron, en dit long,   annonce le tempo et la couleur : «  l’Afrique est en marche, Emmanuel Macron en est convaincu.

Le président élu veut renforcer les liens avec le continent africain appelle à devenir un pôle majeur de l’économie du XXIè siècle. Cela passe par la mise en place d’un partenariat stratégique entre l’Union européenne et l’Union africaine : une sorte de plan Marshall en échange d’un meilleur contrôle des flux migratoires ».

La  thématique  contre  le terrorisme international  n’est-elle pas  donc  devenue un prétexte  du   nouveau colonialisme pour faire une pierre deux coups : aider d’abord  les états africains satellites pour  se servir en nature ? Ensemble, la France, versus la république en marche, changera-t-elle sa monture,  malgré  ses quelques retouches  remarquablement  élaborée et en grande pompe,   peut-elle donc  échapper à la règle  de ses devanciers. ? Laquelle est passée comme une lettre à la poste.

À chaque période,  le vocabulaire change, d’autant plus que le serpent change sa nature,  mais sa peau, comme ce fut la mission  dite  civilisatrice, présumée salvatrice- un bluff – mon œil !

La lutte contre le  terrorisme cache quelque  peu, des intérêts, maquille dans une certaine mesure,   le prolongement du colonialisme tempéré.  Depuis belle lurette,  nous sommes bien sevrés sur la politique de   l’esbroufe.

L’avenir de l’Afrique et du Sénégal dépend  de nous-mêmes, ne peut être lié  par des accords habilement pensés   ou à  des équations insolubles de la dépendance entre un seul gagnant et beaucoup de perdants.

En tout  état de cause,  l’écervelé, pion  au sommet de l’état sénégalais,  fidèle à lui-même,   s’est déjà  aplati sur toute la ligne, face à la France et aux américains,  s’est  transformé peu à peu  en câble de la françafrique,    s’y prêtera   ses jeux, favoris,  la tête baissée.

 À quelques jours des  élections présidentielles en France du deuxième tour,  comme d’habitude, Macky Sall prend les devants,  rempile plus que jamais. L’entreprise Total  fait son entrée avec fracas   dans l’offshore sénégalais aux côtés du groupe Kosmos-Energy, comme  des  signes  de gages, qui s’amoncellent  sans fin.

  Pour ces toutes ces raisons,  quoiqu’il fasse [Macky Sall], doit subir une défaire cuisante lors des prochaines législatives en juillet 2017, de sorte que son gouvernement soit censuré et jugé, y compris lui-même et sa bande de capharnaüm. C’est la seule option possible qui vaille. Il n’y a rien d’autre.

L’envoyé Spécial Colonial en Afrique, attitré  et accrédité à Dakar,  qui a une faiblesse notoire vis de la France ,  pour avoir octroyé  à Total  le pétrole   gogo  qui se trouve à  Rufisque, continue  de faire preuve de  moult trahissions , dont il est l’unique comptable devant l’histoire.

Et  les éternels dictateurs  africains qui sont tous assistés par des logistiques demeurent  plus  que jamais   les vainqueurs  des scrutins de pacotille gagnent nécessairement  par des coups de canons et par la puissance de l’argent volé des contribuables africains, si bien que ces derniers n’ont d’autres choix  que de prendre le large au péril de leurs vies, pour braver  les terres et les océans.

 Quand bien même, les mêmes parrains  se barricadent, en fermant  leurs frontières.  À quoi servent donc  les APE,  si  les pays africains signataires perdent plus qu’ils ne gagnent ?

 

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