La République Ethnique D’apartheid des Juges et des Procureurs –politicards- Mercenaires. [Ahmadou Diop].
La République Ethnique D’apartheid des Juges et des Procureurs –politicards- Mercenaires. [Ahmadou Diop].
Qu’on le veuille ou non, nous avons au cœur de l’état sénégalais personnalisé jusqu’à la lie, un Guignol, attardé, menteur professionnel, profanateur dans l’âme.
L’inimitable fourbe, taciturne, voleur, pilleur de nos ressources naturelles, viole, tue, foule du pied systématiquement la démocratie et les libertés de conscience à travers sa presse de servitude et ses juges, ses procureurs-politiques, mercenaires, tous blottis, roulent automatiquement dans son sillage la tête baisse, tels des otages enchaînés, marqués au fer rouge.
Un ramassis de racailles –ripaille ripoux cartellisés en juges, et en procureurs déguisés, sortis de terre d’école on ne sait où et comment se croient plus futés impriment sa marque totalitaire pour les beaux yeux d’un aventurier nous enquiquine, tient vaille que vaille dans une bouteille.
La surabondance nauséabonde surréaliste, tribaliste des Juges et des Procureurs –politicards- Mercenaires qui est au service de la République Ethnique D’apartheid, prend, semble-t-il, le dessus sur l’ensemble des sénégalais, agencés de zone, depuis, hélas, le triste regrettable soir historique du 25 mars 2012 ?
Le Sénégal est-il donc ce Géant Virtuel aux Pieds d’Argile, face à la tyrannie d’un félon, déclaré ?
Alors, face au triomphalisme blasphématoire de la république ethnique des juges et procureurs politicards, mercenaires tous vissés et ligués, il nous incombe d’être debout pour en finir avec eux, si nous assurer notre propre destin sur des bases voulues.
Pour ce faire, nous devons inverser absolument les rôles et changer maintenant et tout de suite le rapport de force, pour mettre un terme définitif à l’insolence de la soldatesque waffen SS, qui est dressée en coupe réglée par le corrupteur, corrompu du haut de son soubassement supposé.
Quoique l’on puisse dire, la brutalité du gendarme colonial nous gouverne habilement par l’entregent de nos élites traitresses interposées de Senghor, à passant par Abdou Diouf, le soldat de la francophonie, jusqu’à Macky Sall, le pire des larbins, estampillé, s’érige la courroie, catapultée, comme le plus fidèle captif de ceux qui ont nous toujours trahis.
En vérité, le Sénégal, notre patrie, qui fut jadis, la terre des Grands hommes d’honneurs Résistants se laisse dominer par un seul homme appartenant à la loge maçonnique, qui le parraine par derrière, en lui donnant toute la logistique nécessaire, dont le but essentiel est de renforcer son pouvoir d’apartheid, , ethnocentrique, intégriste à travers les prétendus accord de défense, qui se déguisent en entreprise coloniale, dans les faits.
La république de la de pacotille, de la Racaille et du gangstérisme réquisitionne pour les besoins du service des juges pouilleux ethniques et des procureurs des bëk nek , qui s’activent bassement sur l’autel des galons, et balisent le terrain au voyou, lequel se donne piteusement une respectabilité imaginaire derrière les grilles d’un palais des fétichistes.
Ainsi, comme tout félon, agitateur en Afrique, larbinisée, sur ordonnance presto illico du traitre versatile, pantin, himself, vil négationniste, menteur professionnel, profanateur dans l’âme, la justice mensongère farandole qui est tenue en laisse par le voleur-fasciste, s’est lui-même enrichi illicitement et miraculeusement, en flagrant délit, a planqué son butin grossier dans des comptes bancaires ouverts aux paradis fiscaux, à l’abri des regards indiscrets, trie au volet cueille à tout vent, élague sans répit ses adversaires politiques immédiats, présumés coupables désignés d’avance, qui doivent nécessairement passer par « la potence » et à quelques encablures des parodies législatives en perspective de juillet 201, au moment où les submersions apocalyptiques freinent et réduisent le vote des citoyens.
Les paroles du maître des reniements et des renoncements à couper le souffle ne valent rien. Ce qu’il dit le matin, il le récuse le soir même avant de se coucher. Nous devons le balayer et le déboulonner et quels soient les résultats des cirques électoraux. A défaut, le mal ira en pis. Puisqu’il ne changera jamais. Le guignol se transforme ouvertement en matelas – Tali niaret est au service des lobbies militaro-industriels impérialo- capitalistes.
Il va sans dire que si on n’y prend pas garde, Abdoulaye Daouda Diallo, le ministron ethnique, indigne de l’intérieur, qui est s’est bien converti en lamentable mercenaire, octroiera librement la meilleure part du lion à la dimension du récidiviste, faussaire né, est toujours sur les plis de la françafrique, comme d’ailleurs se réclame tout despote africain de sa trempe, rempilera et abusera, sans aucun doute de la mécanique des mêmes ressorts, peu orthodoxes pour se tailler à libre cours son propre score fantasmagorique, lors des prochains scrutins de pacotille.
L’escroc, le changeant, tient mordicus à préparer un autre hold-up électoral gigantesque aussi massif, voire même pire que celui de mars 2016, qui est cet éternel foutoir fourre-tout, resté comme du plomb dans nos gorges.
Malgré nos discours de qualité, le Sénégal est plus que jamais dans la somnolence, la tourmente et dans la pénombre. En dépit de nos mises en garde, Le caudillo sénégalais n’en démord pas, continue ses méthodes fascistes, décriées, mais la majorité des sénégalais, semble-t-il, ne veulent rien entendre ne voient rien, ne veulent pas prendre leur responsabilité, pour en finir avec le tyran, encombrant, préfèrent plutôt garder le silence.
Comment peut-on accepter que des entreprises étrangères s’accaparent et monopolisent sans appels d’offres toute notre économie ? Or, nous avons toute la légitimité d’opérer notre choix libre et prendre les meilleures offres, en fonction de nos propres intérêts exclusifs, en traitant d’égal à égal avec des partenaires libres que nous aurons choisis sur des bases voulues, pour que nous pussions assurer notre propre destin, à l’instar des pays émergents.
Il appartient au vendeur d’imposer le prix de sa marchandise et non au client de dicter sa loi. Où est l’indépendance dans tout cela ?
Point n’est plus besoin d’ergoter , sur ce que l’on peut appeler avec euphémisme, la faillite de la bande organisée de la république ethnique des proxénètes juges et des procureurs politicards abîmés, serviles, délinquants en capharnaüm et en osmose totale, sont tous travestis en défroqués , détestables, alignés, agissent par le traitre Macky Sall de l’indignité, l’abruti,-faussaire, né, se transforme peu à peu en pion-tyran, déclaré, et dont la brutalité teigneuse constitue son ADN.
Réveillons-nous de notre torpeur et Soyons sérieux et courageux pour démasquer, démythifier, démystifier, et vilipender sans retenue d’aucune sorte, l’ethnocentrisme de la démesure, débridé, coalisé, incarné par la sarabande de la justice hérétique, instrumentalisée, bien vouée aux gémonies du régime moribond, actuel sénégalais reste le plus effroyable, le plus scandaleux, négationniste, pitoyablement discriminatoire, jusqu’à l’abysse, dont le banditisme ne se discute plus !
Alors, que cela plaise ou non, qu’on le veuille ou non, Samba Sall, peu vertueux, abuse dangereusement de sa posture supposée, outrepasse son rôle, agit en service commandé d’en haut, est plus connu sous le nom de mercenaire, attitré, encagoulé, s’adjuge le doyen avéré des minables Doungourou- Alpuulaar n’est pas un juge libre, neutre, indépendant, exemplaire, n’ a moindre étoffe d’un redresseur des consciences.
Le politicard masqué, aligné, s’érige le bras armé du nullard, montre son appartenance ethnique, téléguidé, marche comme un logiciel , a choisi son camp, épargne par la ruse, les forfaitures, les vols, les trahisons incommensurables, dont sont comptables son chef et son clan.
Un tel juge, qui s’est bien lamentablement arrimé à la trajectoire totalitaire du régime ségrégationniste d’apartheid, et dont la compétence haineuse et la singularité démontrent indignement que ceux se ressemblent, s’assemblent.
Le doyen des « doungourous » bénéficie plus que autre des largesses, ne résultent aucunement d’une quelconque virginité plausible, si ce n’est son amplitude suintante qui témoigne absolument d’une idolâtrie, sur fond de culte de personnalité mal placée, ne souffre d’aucune ambigüité.
Sa rarissime image, entretenue délibérément, prouve éloquemment, nettement la complicité directe de la presse de servitude, qui lui voue une fidélité injustifiée, à dessein de cultiver un respect peu crédible de piètre qualité, digne de son espèce, n’a pas sa raison d’être. Le but majeur ne vise qu’à préserver son image salie, qui est totalement par sa partialité déconcertante n’échappe plus à personne.
Les visages singuliers du cartel des politicards, y compris les procureurs affiliés à la pieuvre apr, sont largement connus du grand public sénégalais, mais bizarrement comme par hasard et à contrario, la majorité des sénégalais ignorent totalement la photo grandeur nature du juge Samba Sall , le fantôme politicard-mercenaire Bëk Nek est en bien intelligence totale avec notre ennemi exclusif n° 1 le traitre fourbe , le référent de la françafrique, bien connu en Afrique . Allez savoir ! Il est beaucoup facile de chercher une aiguille dans du foin que trouver l’image du doyen des juges Doungourous fidèles captifs. L’affluence propagandiste a-t-elle donc reçu des instructions pour divulguer sa photo ? Tout ce qui est rare n’est pas forcément source de valeur.
Dans un article pompeux, intitulé : « Traque des biens mal acquis : La Crei lâche Baldé ».
Rien que des mensonges grossiers, monstrueux : Abdoulaye Baldé, mis sous contrôle, a été toujours libre de ses mouvements , voyage à tout vent sur la planète entière- au nom du Geuneu Laté- Macky Sall, le couard – Tapète –lâche- DaF KO Ragal- Deug- Bu Wër, qui bande ses muscles, fait profil bas, abdique pitoyablement, face au maire de Ziguinchor- toujours debout plus coriace, en sait plus que tout autre sur les casseroles innombrable du voyou de la république familiale- et ses crimes imprescriptibles- voilà la réalité qui en dit long sur la liberté accordée à l’édile de Ziguinchor par le crei, qui est devenue étrangement l’instrument politique, défroqué, n’obéit qu’aux pulsions névrotiques et aux doigts et à l’œil du pantin trouillard de naissance, qui est bien connu.
Ce qu’il faut savoir, c’est que trois tribunaux autoproclamés, parallèles, agissent sous la bénédiction du maître des lieux, se travestissent en mercenaires, cohabitent et agissent de concert et en toute impunité , en tête desquels les robots respectifs, Mamadou Badio Camara, le retraité, qui reprend du service , est catapulté président ethnique à la Cour suprêmaciste toucouleur bon teint .
Serigne Bassirou Guèye, proche de mimi Touré, s’accommode lui aussi son rôle de procureur de la République auprès du nul farba, le référent de la françAfrique .
Et Abdoulaye Diagne, prend le grade de procureur, agitateur Spécial près la Crei. Le juge Samba Sall, le chevronné, militant apr, encagoulé, talibanisé, très proche de l’ethniciste, le tyran Macky Sall, est très apprécié par le gotha maléfique de la pieuvre.
Toute cette ribambelle de racailles qui est partie prenante, prend fait et cause pour le triomphalisme de la dictature mackysallienne.
Dans une interview accordée à Jeune Afrique Macky Sall: « Je ne mêle jamais ma famille à la gestion du pays » que fait-il donc des preuves accablantes, matérielles à l’appui, dont Aliou Sall est une illustration plus que parlante ?
Ou bien le minable, le menteur professionnel, profanateur dans l’âme veut nous faire qu’Aliou Sall est venu de la planète mars pour lui tordre les bras ? Et auquel cas la consanguinité, encore moins, la dictature, le népotisme n’existent nulle part dans le monde, mais relèvent simplement d’une pure affabulation.
De toute façon, un menteur professionnel sans égal se cache un voleur pris la main dans le sac et en flagrant délit, qui nie honteusement et balaie d’un de main, non ce n’est pas moi, mais mon sosie. .
L’abondance des politicards capitulards promettent tout et n’importent, mais fois qu’ils seront sur les manettes, ils protègent leur propres intérêts égoïstes, en protégeant ceux de leurs maitres blancs pour lesquels ils se mettent tous au garde-à-vous, comme des talibés ou des carpes. C’est le cas du fourbe, indécrottable, dont les trahisons vis-à-vis du peuple sont si massives. Curieusement, rien n’y fait, car le peuple, qui est pris constamment pour des gueux, dans sa majorité écrasante, vote inconsciemment, irrationnellement, aveuglément et mécaniquement pour les mêmes qui leur mentent sans vergogne.
Le diable par sa cupidité et son ingratitude, le marchand d’illusions, menteur professionnel, profanateur dans l’âme, ne se prive pas, abuse lâchement de la force publique, et dont le point culminant se résume quotidiennement par les ratonnades d’arrestations incongrues, pour tous ceux qui lui font de l’ombre.
Désormais, le Sénégal sous le magistère atypique , bancal du lamentable minable nullard Macky Sall et toute l’Afrique francophone réunie des nègres de services des pires larbins- dictateurs serviles, tous des abrutis , alignés et englués dans des scandales ubuesques, sont les seuls au monde au monde, où la démocratie et le pouvoir se conçoivent exclusivement en familles et en clans, agissent tous à huis clos , usent et abusent bassement dangereusement de la force publique et des moyens d’état peu orthodoxes et au nom de la mécanique des coups de canon.
Nous en avons des preuves matérielles, éloquentes, lors de la plus grande escroquerie politique des municipales de 2014, que l’on baptise le casse du siècle, dans lequel le dispositif impressionnant, sécuritaire, militaire, a permis d’introniser Mansour Faye, l’inculte autoproclamé et maire de pacotille de St Louis et le Ministron de l’hydraulique et de l’assainissement, le beau frère du traitre, encombrant, qui ne s’encombre d’aucune moralité visible, et qui se niche derrière le palais des alpullaar et des féticheurs de la sarabande. Et les Timbo et Cie, y compris Abdou Rahmane Seck dit Homère, les Timbo se taillent tous aussi des postes sur mesure à Pikine et partout Et ce n’est pas tout.
Puisqu’Aliou Sall, un inconnu, un prétendu journaliste, qui n’a jamais rien écrit le moindre article, à notre connaissance, qui est sorti de nulle part , comme par hasard, au moment où son propre frère, Macky Sall himself, a accédé à la haute magistrature suprême, le 25 mars 2012, le pressureur moelleux dans son adn, s’arroge et la qualité de maire de Guédiawaye et président des maires du Sénégal et des élus locaux. L’homme qui ne s’arrête pas là, s’octroie librement des compétences et expériences bidon, gravit allégrement des échelons, devient le prête-nom de son frangin. Comme par magie, maintenant, il se transforme en chef d’entreprises et s’arroge banquier, intimide les journalistes, en leur tordant leurs bras, pour occuper tous les plateaux de télévision, et faire ses numéros spéciaux, rituels, comme tout moelleux.
Les Trois éléments essentiels, suivants qui se tiennent comme un collier, plombent, freinent l’émergence de notre pays, le Sénégal, expliquent incontestablement et notre retard endémique pluriel et nos éternels déboires et notre dépendance systématique, dynamique :
- Les Accords de défense
- Le nazisme monétaire du F CFA
- Le monopole des entreprises coloniales