ACTUALITÉSLE BLOG D'AHMADOU DIOP

L’Etat-APR de Macky Sall ou l’arroseur arrosé : Aliou Aïdara Sylla porte honorablement plainte contre l’Etat du Sénégal et réclame la restitution de son chèque de 3 milliards

aidara syllaRappel des faits : venant de Dubaï, l’histoire étrange se passe dans la nuit du 31 décembre 2012 au 1er janvier 2013. Le remarquable homme d’honneur, en l’occurrence, Aliou Aïdara Sylla ouvre le bal.
Il est le premier agneau du sacrifice. L’ex député libéral, chef d’entreprise et président de la communauté rurale de Thilmakha, dans l’arrondissement de Niakhène, région de Thiès, a été arrêté le 1 janvier 2013, à l’aéroport International Léopold Sédar Senghor, en revenant d’un séjour à Dubaï, sous le commandement effectif d’un chef en locataire, alpulaar, d’un palais maquillé : bonne gouvernance de pacotille.
Aliou Aïdara Sylla fut placé sous mandat de dépôt le 7 janvier 2013, pour blanchiment d’argent, escroquerie, association de malfaiteurs.
Le chef d’entreprise, ancien député libéral et Président du conseil rural de Thilmakha, Aliou Aïdara Sylla dépose maintenant à juste titre, une plainte en bonne et due forme contre L’Etat-APR du Sénégal.
L’ancien député libéral, chef d’entreprise et président de la communauté rurale de Thilmakha Mbacol, arbitrairement écroué dans les geôles du « petit hitler sénégalais », retrouva la liberté et bénéficie d’un non lieu total en mars 2014.
L’homme d’affaires tient la corde dans les localités de Mékhé, Pékesse, Niakhène, Thilmakha Mbacol. Il est bien aimé et adulé dans toute la communauté rurale de Thilmakha. Cette affaire  ttristement célébrissime défraya la chronique pendant plusieurs mois. Au moment de son arrestation brutale, arbitraire dans les pires méthodes fascistes, staliniennes à l’aéroport international Léopold Sédar Senghor à Dakar, l’homme avait entre ses mains, des documents compromettants.
Ce fut la version politique, controversée, fantaisiste de l’Etat-APR, totalitaire pour accabler et détruire l’honorable homme d’affaires. Cette version ridicule n’était pas crédible. Nous l’avions bien écrit. Une commande recommandée du plus haut sommet de l’état. Manipulation, désinformation, chantage, abus de pouvoir. Affabulation qu’on tient à blanchir en vérité. Une grossièreté indigne d’un Etat voyou qui témoigne assurément la pantomime de la république des caïds faisant la pluie et le beau temps.
A l’époque, nous avions martelé, dénoncé de vives voix audibles la tyrannie et l’arbitraire. Deux justices parallèles dans ce pays, agissent de façon concomitante ! Double peine dans un Etat présumé de droit ? Aussi incroyable que cela puisse paraître, il y a deux justiciers qui se tiennent par la même corde. Une justice libre, indépendante du pouvoir politique, pyromane, juge et partie prenante ! Non, au clonage de la justice ! La douane ne peut servir de justice, c’est totalement illégal au regard du droit ! Le ridicule ne tue plus dans ce pays ! On est où ? L’absurdité est à la mesure d’un dilettantisme évident. Pendant qu’Aliou Aidara Sylla, déféré pour blanchiment d’argent, association de malfaiteurs et escroquerie, le scandale de la Société Pétro-Tim Sénégal S.A créée par le propre frère de Macky Sall passe comme une lettre à la poste. On continue à nous rouler dans la farine. Le ménage doit nécessairement commencer par soi-même, n’est-ce pas Monsieur le président ?
Aliou Aïdara Sylla, aujourd’hui, porte plainte honorablement contre l’Etat-APR de Macky Sall et lui réclame la restitution de son chèque de 3 milliards. Pour cette raison, l’Etat-APR de Macky Sall, l’accusateur loufoque, qui s’est pitoyablement ridiculisé à la face du monde, lui est redevable de la bagatelle normale de plusieurs milliards de francs CFA, comme dommages et préjudices subis pour laver son honneur bafoué publiquement. En plus, l’Etat-APR de Macky Sall, le despote et premier fraudeur, nègre de service, lui doit des excuses publiques.
Inculpé , trainé dans la boue, vilipendé, réduit en charpie et placé sous mandat de dépôt le 7 janvier 2013, pour blanchiment d’argent, escroquerie, association de malfaiteurs, détournement de deniers publics et délit douanier, avant d’être blanchi par la Chambre d’accusation en mars 2014.

Le combat continue !
Ahmadou Diop

Articles similaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Bouton retour en haut de la page